Texte 04

De Wikirak

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Episode 4 : L’ILE DE LA PEUR / Ardente est la fougue de la jeunesse

Plusieurs scènes d’affrontements précédents entre Actarus et Alcor. Nous sommes au ranch du Bouleau Blanc. Rigel est sur sa tour et il voit une navette puis fait un appel de son micro.

Rigel : ha ha, voilà un OVNI. Viens mon gros, viens dire bonjour à Tonton Rigel… Ha ha ha, hourra, approche mon gros, je vais te guider. Ha allez, allo, ha allo ? Rigel appelle soucoupe, Rigel appelle soucoupe, Rigel appelle… Soyez les bienvenus, répondez. Quelle est votre identité ? Je n’entends rien, augmentez votre puissance. Ici Rigel, je ne vous entends pas, augmentez votre puissance. De quelle galaxie venez-vous ? Vous êtes à la verticale du Ranch du Bouleau Blanc, nous sommes des amis, répondez. Veuillez décliner votre identité, je vous écoute. Rigel appelle soucoupe. Vous arrivez au Ranch du Bouleau Blanc, répondez. Mais ne craignez rien, nous ne vous voulons aucun mal. Je vous en prie, répondez, ici Rigel. / Que vois-je ? C’est un ovni ! Oui, un ovni ! Une soucoupe volante arrive ! Les extraterrestres sont là ! Fantastique ! Pas de doute, c’est un ovni. Alors… Hello ! This is the Danbei ! Allô, mes chers amis, mot de passe : amitié ! Répondez-moi ! This is Danbei ! Je vais augmenter le volume. Chichirin hari hari chirin gepei pei ! Allô ? D’où viens-tu soucoupe volante ? Viens te poser au Ranch du Bouleau Blanc. Allô ? Hariri piri piri ! Répondez-moi ! Allô, la soucoupe ? Voulez-vous bien me répondre ? Chiririn hari hari ? Venez donc ! Ici, le Ranch du Bouleau Blanc ! Rejoignez-nous et soyons bons amis. Bari bari hoï ! Ovni, pi pi pi !

Venusia, Mizar sortent de la maison. Actarus arrive avec une fourche et Alcor court vers la tour.

Vénusia: écoute, papa, arrête de faire tout ce bruit. / Papa, ça ne va pas de crier de bon matin ?

Rigel : idiote, tu ne te rends pas compte qu’une soucoupe vient nous rendre visite. Nous devons l’accueillir avec tous les honneurs… / Qu’est-ce que tu racontes, Hikaru ? Il y a un ovni. Regarde ! C’est une vraie soucoupe volante.

Vénusia : mais ce n’est pas une raison pour ameuter tout le pays, baisse le son. / Où ça, papa ? Je ne vois rien.

Rigel : Je suis le président du Comité d’Accueil des Hommes de l’Espace. Ma mission est donc de me mettre en contact avec eux et de leur faire savoir que nous sommes prêts à les recevoir à bras ouverts. / Tu ne la vois pas ? Ma mission est d’établir le contact avec les extraterrestres. Que ma voix porte jusqu’au ciel ! Chi chirin hari hari poum poum !

Rigel (avec la voix d’Actarus ?): Rigel appelle soucoupe. / ras

Mizar : Y deviens fou, non ? / Drôle de langage…

Rigel (la navette revient): Rigel appelle soucoupe, ici le Ranch du Bouleau Blanc. Répondez, hommes de l’espace. Rigel appelle soucoupe. M’entendez-vous ? Répondez! / Chirin gepei pei ? Ovni, m’entends-tu ? D’où nous viens-tu ? Viens donc vite nous voir au Ranch du Bouleau Blanc. Chirin hari hari ton ton !

Alcor : il faut absolument que j’aille voir ce qui se passe là-haut. / Bien, je vais le chasser d’ici.

Alcor se précipite sur son OVT. Actarus le rejoint.

Actarus : Es-tu armé ? / Il est armé ?

Alcor : Oh, ne t’inquiète pas pour moi. … En fait j’ai vraiment assez de missiles pour pouvoir leur apprendre à vivre. / Je vais te montrer. En plus des missiles, j’ai une bombe spéciale.

Actarus : Ce sera inutile, ils sont partis. / L’ovni est parti.

Alcor : QUOI ? Oh ! / Eh ?

Il sort regarder le ciel.

Alcor : C’est vrai, ça ?

Rigel : Oh, oh, mais non, pourquoi ont-ils disparu ? Pourquoi n’ont-ils pas atterri ? Pourquoi êtes-vous partis, hommes de l’espace ? Je ne vous voulais pas de mal ! / Ah, là là ! Pourquoi tu ne descends pas, petite soucoupe volante ? Pourquoi es-tu partie ainsi en me snobant ? Pourquoi ? Réponds-moi !

Actarus posant la main sur l’épaule d’Alcor : console-toi, tu aurais pu être blessé. / Ca t’évitera de te blesser.

Alcor : J’aurais aimé savoir qui c’était. / Tu parles !

L’autobus arrive. Vénusia et Mizar parlent en même temps.

Vénusia : Dépêche-toi Mizar. / Dépêchons-nous !

Mizar : Pas si vite, Vénusia! / RAS

Vénusia : Bonjour / Bonjour

Chauffeur : bonjour, mademoiselle. (A Mizar) Salut. (idem)

Mizar : Salut / Salut

Chauffeur : Allez, grimpe, fiston, on va démarrer tout de suite. / On peut y aller ?

Vénusia : Banta n’est pas là aujourd’hui ? / Banta n’est pas encore là.

Chauffeur : Oh, il est toujours en retard, on va pas passer la nuit ici à l’attendre. / Si on attend cette marmotte, on en a pour la journée.

Le bus démarre. Banta arrive…

Banta : Héé hé, attendez-moi. Haa, héé…oh, c’est malin. Vous auriez pu m’attendre. J’vais traverser l’ranch pour rattraper c’t’autocar. Yaah / Hé, attendez-moi ! Hé, attendez-moi ! Attendez-moi ! Tant pis, je vais couper par le ranch. Hop là !

Il saute la clôture et tombe dans un trou plein d’eau.

Banta : Ouh ouh ouh sauvez-moi, à l’aide, je me noie ! / Au secours ! A l’aide ! Au secours, je vais mourir !

Alcor : Ooh ?

Banta : Au secours. Faites quelque chose, j’en ai marre d’être dans la mare. / Aide-moi vite ! S’il te plaît !

Alcor : Et qu’est-ce que tu fais là-dedans, Banta ? Est-ce que l’eau est bonne, au moins ? / Qu’est-ce que tu fiches ? Tu as pied, là où tu es.

Banta : Aaah ? Ah, oh, au lieu de te fiche de moi, tu ferais mieux de me tirer de cette mare. / Tu pouvais pas le dire plus tôt ? Sors-moi de là.

Alcor : Si ça ne t’écorche pas la bouche, tu pourrais ajouter ‘s’il te plaît, mon cher Alcor’ / Quand tu demandes de l’aide, il faut dire : « S’il te plaît ».

Banta : Il faut que je rattrape le car qui emmène tout le monde à l’école. Sors-moi de ce trou, j’t’en supplie, sors-moi de là, mon cher Alcor ! / Oh, j’ai compris. Je voulais aller à l’école avec Hikaru. S’il te plaît, sors-moi vite d’ici, Corniaud Volant.

Alcor : Eh bien voilà, allez, hop ! / « Corniaud Volant » ? Hop là

Banta : J’ai cru ma dernière heure arrivée, oh, merci beaucoup, mon cher Alcor. / Merci beau gosse. Pauvre de moi.

Rigel : Et alors ? Pourquoi l’as-tu tiré de ce trou ? Ca lui apprendra à venir sur mon territoire sans autorisation, à ce gros lard! / Dis donc ! C’était pas la peine de le sortir. Banta, tu es encore entré sur mes terres.

Banta : Rigel, tu n’as pas honte de faire des pièges pareils ? / L’ancien, c’est fourbe de creuser des pièges.

Rigel: Sûrement pas, j’ai horreur des intrus qui se faufilent sur mes terres pour chaparder des choses qui sont à moi. / Je fais ça à cause des hors-la-loi comme toi. Mon ranch n’est pas une voie piétonne.

Banta : L’autocar passe par chez toi, j’suis bien forcé d’y venir. Pourquoi est-ce que l’autocar ne vient pas jusque chez nous, hein ? / Le bus fait demi-tour à votre ranch. Pourquoi il ne va pas jusqu’au nôtre, hein ?

Rigel : Tu sais que tu devrais réfléchir avant de parler. Tu as vu dans quel état est la route qui y mène, jusque chez toi ? Je comprends, moi, qu’il n’y aille pas : il tient à ses pneus, et à ses amortisseurs, voyons. Si tu l’entretenais un peu cette route, peut-être que l’autocar, il irait jusque chez toi / Et si tu ouvrais un peu les yeux, hein ? Tu crois qu’un bus peut passer par ton chemin ? Abruti, regarde comme la route est défoncée ! On dirait presque ma tête ! S’il fallait rouler là-dessus, j’aurais pitié des pneus !

Banta : Puisque tu le prends sur ce ton là, je vais t’prendre un cheval pour rattraper l’autocar. / Et zut, j’en ai marre, moi ! Je vais prendre votre cheval. Ciao !

Rigel : Reste ici, voleur ! Tu m’entends ? Je t’interdis de me prendre un cheval! / Quoi ? Hé ! Stop, voleur de cheval ! Attends !

Alcor (qui rit) : ah ah ah la bagarre va recommencer ! / Ils vont bien ensemble.

Banta : A un de ces jours ! / Hue

Rigel : Arrête, voleur de bétail! Je vais te pendre ! Bandit! / Stop ! Attends un peu, voleur de cheval !

Banta : aaah ah ah ah

Rigel (lance son lasso) : Attends ! Et hop!

Banta : ough

Rigel : Je te tiens! Tu vas me payer ça. / Je t’ai eu, voleur.

Banta (traîné sur le sol) : Oooh ooh / Misère !

Rigel : hahahaaaai Alors, qui c’est qui va faire un joli pendu, hein ? Ha ha haaaaaaaaa Allez, viens, viens là ah haha, haa, tu fais plus le fier, maintenant, hein ? Hop, héhé ahlalaaa / C’est que j’ai encore le coup de main. Bon sang… C’est parfait comme ça. Tu vas voir. Hop !

Banta : Rigel, arrête, voyons ! Tu vas pas me pendre ? / Attendez, l’ancien ! A quoi vous jouez ?

Rigel : Mais bien sûr que si, je vais te pendre. Voleur de bétail ! / C’est pourtant évident. Je vais te pendre.

Banta : Il est malade, ce vieux dingue ! / Mais c’est insensé !

Rigel : Tu sais ce qu’il te dit, le vieux dingue ? Il te dit de présenter ses respects à Lucifer ! / Pardon ? Le vol de cheval, c’est la pendaison immédiate. Compris, crapule ? Eh hop !

Banta : aaaah! / (idem)

Rigel: Ha ha , tu as peur, on dirait ? / Je n’ai encore rien fait !

Banta : Non, ne fais pas ça! / Méchant !

Rigel : Et pourquoi que je le ferais pas ? / Cette fois, c’est la bonne.

Banta : Non, arrête, je t’en supplie. / Stop !

Rigel : aaaaah / (idem)

Vénusia : Papa ! / (idem)

Rigel : oooh!

Vénusia : Qu’est-ce que tu veux faire ? / A quoi tu joues ?

Rigel : Je fais justice. Je prends un sale voleur de chevaux. / J’allais pendre ce voleur de cheval.

Vénusia : Si tu fais ça, tu seras condamné à mort et pendu à ton tour. / Si tu fais ça, c’est toi qui seras exécuté.

Rigel : c’est insensé, on ne peut même plus se fier à la justice de son pays ! / Qu’est-ce que tu racontes ? On ne peut pas me faire ça !

Au Camp de la Lune Noire

Minos : Comment ?! Tu n’as pas encore découvert la base de départ de Goldorak ? / Quoi ? Vous ne parvenez pas à localiser la base de Grendizer ?

Hydargos (agenouillé) : J’ai envoyé une navette spatiale explorer tout le secteur. Goldorak reste introuvable. / Tout à fait. J’ai envoyé un Mini-Fo survoler tout le Japon, mais Grendizer reste introuvable.

Minos : Si nous voulons vaincre, nous devons éliminer Goldorak et Actarus. Personne ne peut me donner un moyen d’y parvenir ? / Tant qu’on aura pas écrasé Duke Fleed et Grendizer, la victoire nous échappera. Y a-t-il d’autres moyens ?

Minas : Si !

Hydargos: hein ?

Minas : Moi, j’ai un moyen ! / Il y en a un.

Hydargos : Oh, Minas. Et quel moyen préconises-tu ? / Lady Gandal ?

Minos : Ne l’écoute pas, Hydargos. / Tais-toi, femme !

Minas : Ne sois pas stupide. Vous savez très bien qu’il n’y a qu’un seul et unique moyen. / Tu te permettras de dire ça après avoir tué Duke Fleed. Blakki !

Hydargos : Parle! / Oui ?

Minas : Déclenche l’Opération ‘Tous Azimuts’. / Lance une offensive générale.

Hydargos : Tous azimuts ? / Générale ?

Minas : Exactement! La seule façon de faire sortir Actarus de son trou, c’est de tout détruire. Alors là, il sera bien obligé de finir par se montrer. / Exactement. Vous allez attaquer toutes les caches possibles de Duke Fleed. Comme ça, il sera obligé de se montrer.

Hydargos : C’est une idée géniale. / Je vois.

Minos : C’est en effet un plan qui peut réussir… / J’ai eu la même idée.

Minas : Ah ? Tiens ? Tu trouves ? / Mais bien sûr.

Minos : Aah, fiche-moi donc la paix! / Pauvre mégère.

Minas : Tu as dit quelque chose ? / (idem)

Minos : Non, je n’ai rien dit. / Non, rien du tout.

Minas : Hydargos,qu’est-ce que tu attends ? Donne immédiatement les ordres nécessaires pour déclencher cette opération. / Tu vas arrêter de rêvasser, Blakki ? L’attaque préventive, c’est la clef de la victoire !

Hydargos : Oui, j’y vais à l’instant, Minas. / Entendu ! Je pars sur-le-champ.

La soucoupe-amirale décolle et se dirige vers la Terre. Une impressionnante flottille de navettes en sortent et attaquent une ville.

Habitants qui fuient : aaaah / Des ovnis !

Les navettes attaquent le ranch.

Rigel (grimpant sur la tour) : Hourraaa, revoilà les hommes de l’espace! Attendez-moi, j’arrive. Ici le Président du Comité d’accueil! Soyez les bienvenus, n’ayez pas peur, nous ne vous voulons pas de mal. Aaaaaaaaaaaaaaaah oohoho houlà hola houla aaah ouille aaaaaaaaah ouh! / Hé, attends un peu, soucoupe volante ! Attends ! Chirin hari chirin gepei pei ! Nous sommes tous amis ! Soyons amis, chère soucoupe volante !

Une navette frôle la tour. Rigel, suspendu en l’air, bat des bras et des jambes avant de s’écraser en bas.

Riguel : Chirin hari hari chirin gepei pei ? Oh non ! Oh non ! Ouh là !

La soucoupe-amirale largue un golgoth.

Foule qui fuit : aaah attention là-haut

Hydargos : Golgoth 2, pas de pitié, brûle et détruit toute la ville ! / Bien. Maintenant, Gol-Gol, écrase tout sur ton passage et brûle ce qui reste !

Au centre

Alcor : Alors ? Est-ce que nous allons rester là sans essayer de faire quoi que ce soit ? / C’en est trop, je n’y tiens plus !

Actarus : Ne te mêle pas de ça, Alcor. C’est uniquement MOI qu’ils veulent! / Attends, j’y vais. C’est moi qu’ils veulent.

Procyon: Actarus, si tu sors maintenant, ils en profiteront pour tout mettre à feu et à sang. / Si tu sors, ils enverront des renforts et la situation s’aggravera.

Alcor : Il a raison, cette fois, je te demande de me laisser agir, Actarus. / Le professeur a raison. Cette fois-ci, laisse-moi agir.

Actarus : Sois prudent. / Kôji-kun,

Alcor : Ne te fais aucun souci, mon frère. Je t’en prie, fais-moi confiance. Laisse-moi les pourchasser. / Tout ira bien, je me débrouillerai pour éloigner l’ennemi. Compte sur moi.

Actarus : Sois prudent (il lui glisse discrètement quelque chose dans sa ceinture). / Bonne chance.

Alcor (tout content): Enfin, tu es d’accord avec moi ? A bientôt. / Hé, tu es bien conciliant, aujourd’hui. J’y vais !

Rigel pousse l’OVT

Rigel : Ah, quelle saleté d’engin. Tu démarres ou tu démarres pas ? / Allez, encore un effort.

Alcor : Pousse plus fort, Rigel! T’as rien dans les bras ? / Plus vite! Tu as mangé, ce matin ?

Rigel : Ah, j’voudrais bien te voir à ma place, dis! Pousse plus fort, pousse plus fort ! J’suis quand même pas un boeuf! / Tu veux ma mort, ou quoi ? Je fais de mon mieux.

Alcor : Du nerf! Comment veux-tu que je décolle ? Pousse! / Ah, tu me fatigues. Pousse plus fort !

Rigel : J’abandonne, moi j’en ai marre, tiens, décolle comme tu pourras! / Ca va, j’en ai marre ! Saleté ! Hein ?

Il donne un coup de pied dans la machine qui décolle illico.

Alcor : Merci!

Rigel: Ah, va-t’en, tu pollues-hu (il tousse) / J’en ai marre !

Alcor : Formidable, Rigel! / Merci, l’ancien !

Rigel : Fiche-moi le camp, eh (?) / Oh, et puis fais ce que tu veux !

Combat d’Alcor contre les navettes et le golgoth. (Nous pouvons admirer l’audace d’Alcor et ses prouesses de pilote.)

Alcor : Allez, approche ! Feu ! Ca t’apprendra ! Ouh là ! Le gros, il va falloir l’éloigner. C’est parti ! Par ici ! Allez, encore une fois. Viens me chercher !

Procyon : Ce garçon fait un excellent travail / Kôji se débrouille plutôt bien.

Actarus : Oui, mais le tout est de savoir comment il va leur échapper. / Ca se corse. Comment va-t-il s’enfuir ?

Alcor élimine toutes les navettes

Alcor : Bon, je vais me débarrasser d’eux. A l’attaque.

Mais est finalement touché par le golgoth. L’OVT s’abat sur une île et Alcor est éjecté de la soucoupe et s’abat sur la plage. Alcor reprend connaissance.

Alcor : Oh. Ah. Oh. Oh. Oh. Ah, et où suis-je ? Ah… hhh …Alcor appelle le Centre. Alcor appelle le Centre, répondez. Ooh, je me suis abattu sur une île, répondez, Alcor appelle le Centre. HHH. Ici Alcor, répondez-moi, je vous en prie, Alcor appelle le Centre. Oh, ça ne fonctionne plus. Qu’est-ce que je vais faire ? Oh. Ah. Oh…. Oh. Ah. Oh. Je vais… Je vais mourir ici, tout seul. Oah. Oh. Oh, je ne résisterai pas longtemps à ce soleil de plomb. Oh. Mh … Il faut que j’arrive à… à réparer… l’ové…terre, ah. Aoh, mon bras. / Et zut… Ici, Kôji Kabuto. Centre spatial, répondez-moi. Ici, Kôji Kabuto. Répondez-moi. Centre spatial ? Ici, Kôji Kabuto. Répondez-moi, s’il vous plait. Ça ne marche pas. Vu les dégâts, c’est normal. J’ai atterri sur une île perdue. Pas question de mourir dans un lieu pareil. Bon je vais réparer le T-FO. Argh, Bon sang…

Au centre.

Procyon: Alcor, réponds-moi. Réponds-moi, Alcor ! / Kôji ! Kôji ? Réponds-nous !

Argoli : Je n’ai plus rien sur mon scope. / Rien sur le radar !

Procyon : IL lui est arrivé quelque chose. Ou il s’est perdu, ou il a été abattu. / Il s’est passé quelque chose. C’est la seule possibilité.

Actarus : Bien, je vais aller le chercher. / Je pars le secourir.

Procyon : Tu crois que tu le retrouveras ? / Tu t’en tireras ?

Actarus : Il le faudra bien. / Ne t’inquiète pas.

Procyon : Alors, vas-y. / Je compte sur toi.

Actarus : métamorphose! Goldorak GO! / Duke Fleed ! Grendizer Go !

Alcor (œuvrant à réparer l’OVT avec sa clé anglaise): Qu’est-ce que c’est ? OH ! Un … un transmetteur ! / Un émetteur !

Actarus : Oh ! son transmetteur s’est déclenché. / 200 km au sud-ouest. Bien

Hydargos (voit Goldorak sur son écran) : ha ha ha ha ha ha! Cet imbécile s’est laissé prendre au piège, ah ah ah ah! / Il est tombé dans notre piège. Je vais t’observer un peu. Ne viens pas pleurer après.

Actarus (arrive en vue de l’île) : Le voilà. / RAS

Il se pose, descend de Goldorak et court vers Alcor.

Alcor : oh oh ah arhh

Actarus : Alcor ! / Kôji-kun !

Alcor (juste avant de tourner de l’oeil): Oh ah! J’ai une nouvelle dette envers toi. / Je te cause encore des ennuis.

Actarus : Alcor! Alcor! Alcor! Réponds-moi. / Kôji ? Kôji ! Kôji ! Kôji, accroche-toi !

Actarus plonge pour pêcher poissons et coquillages, puis les fait cuire au soleil couchant.

Actarus : Mange. Cela te donnera des forces, tiens. / Tiens, c’est délicieux. Mange.

Alcor : Quelle merveille! / C’est bon.

Actarus : Ne mange pas trop vite. / Mange bien.

Alcor : C’est étrange. J’ignorais qu’un Prince de l’Espace pouvait aussi savoir faire cuire les poissons et les coquillages. / Tu es quelqu’un d’étrange. Tu viens de l’espace, mais tu connais nos poissons.

Actarus : Plonge ta main dans le sable, maintenant…. Tu vois, je sais aussi que le sable humide protège contre le soleil. / Plonge ta main dans le sable. Tu sens la chaleur du soleil ?

Alcor : Mmhmh

Actarus : Nous avions des plages semblables à celle-ci, sur Euphor. / Les plages de Fleed étaient pareilles.

Alcor : Et aussi des poissons et des coquillages ? / Alors, on y trouvait les mêmes poissons ?

Actarus : Mhmmh. Tu vois que nous ne sommes pas différents. / Le soleil couchant est le même.

Alcor : Aviez-vous aussi cette étoile au coucher du soleil ? / Comment appelle-t-on cette étoile sur Fleed ?

Actarus : Oui, comment l’appelles-tu ? / La croix du Sud.

Alcor : L’étoile du berger. / Evidemment.

Actarus : Quel joli nom. / Evidemment.

Alcor (rit) : Aha ah Aille ouh! Mon bras me fait encore un peu mal. Ahaa… oh ! / Uniquement des rires

(il voit une navette)

Actarus : Attention, viens ! / Attention !

Navettes et soldats leur tirent dessus.

Alcor : Il faut que tu te sauves. Ne t’occupe pas de moi. / Laisse-moi et enfuis-toi.

Actarus : Ne dis pas de bêtises / (idem)

Alcor : Nous ne pourrons pas leur échapper très longtemps / On ne pourra pas s’enfuir comme ça.

Actarus : Reste là, et surtout ne bouge pas! / Ne bouge pas d’ici, compris ?

Il fonce vers Goldorak en échappant aux tirs des soldats et à des chiens-robots (pas très solides). Dans Goldorak, il remet son casque (qu’il avait enlevé seulement quand il s’est approché d’Alcor). Golgoth 2 réapparaît.

Actarus : Enfer !

Hydargos : Et maintenant, réduis moi Goldorak et Actarus en poussières ! / Ca a fonctionné. Et maintenant, Gol-Gol, réduis Grendizer en miettes !

Alcor : Arrêtez! Si vous avancez d’un mètre, je vous jure que nous allons sauter tous ensemble. / Stop ! Si tu nous écrases, Je fais sauter l’île avec cette bombe !

Hydargos: Stoppez les machines! / Stop !

Actarus : Alcor, vas-t’en! Vas-t’en vite!! / Kôji, c’est dangereux ! Enfuis-toi !

Alcor : C’est l’étoile qui m’a dit d’intervenir! / Cette étoile m’ordonne de ne pas fuir.

Actarus : La Croix du Sud! (sic) / idem

Hydargos : ahahaha! Golgoth, anéantis-les tous les deux. / Gol-Gol, écrase-les vite !

Alcor (jetant son missile dans la gueule du golgoth) : Je vous aurai prévenus!… Ca vous apprendra. / Cadeau ! A toi, Daisuke !

Alcor s’écarte et Goldorak redémarre.

Actarus : Transfert. Goldorak, GO ! Fulguro-poing! Rétrolazer! / Chute in ! Dizer, go ! Screw Crusher Punch ! Storm antigravité !

Le golgoth attaque Goldorak.

Actarus : Bon sang !

Intervention d’Alcor, dont l’OVT est miraculeusement réparé.

Actarus : Alcor! / Kôji-kun !

Alcor : Actarus! Chacun son tour d’aider l’autre! / Daisuke-san, cette fois, à moi de t’aider !

Actarus : Clavico-gyres! (détruit les deux têtes) Cabré! Arrimage! Ovostable! Planitronk! Comment fait-il pour voler encore ?! Mégavolts! Corno-fulgur! / Shoulder Boomerang ! Dizer Jump ! Spacer cross ! spin saucer ! Bon sang, il s’accroche. Melt shower ! Space Thunder !

Explosion finale du golgoth.

Hydargos : Par le Diable, il s’échappe encore. / Malédiction, il l’a détruit !

Alcor : Fantastique, tu as un armement formidable! / Impressionnant. Rien à voir avec mes missiles.

Actarus lève le poing et fait un clin d’œil.

Scène finale sur la plage. Le soleil est couché.

Alcor (rend le transmetteur à Actarus): J’te remercie. Reprends-le. Il pourra encore servir. Mhmh / Merci. Je te le rends.

FIN

Prochain épisode : Amour flamboyant au soleil couchant Je pensais passer une journée tranquille en Cessna, mais non, l’ennemi m’a descendu et me voilà en sale posture. Ce maudit Blakki a envoyé le monstronef Dom-dom pour ramener Daisuke sur Vega. Que va-t-il donc advenir ?