Texte 64

De Wikirak

Cinq minutes pour mourir / Cinq minutes avant l’anéantissement de Tôkyô Base sous-marine. Soldat : Explosion dans 15 secondes. 10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1, 0 / 15 secondes avant l’explosion. 10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1, 0 Explosion nucléaire sur une ile volcanique qui disparait. Tsunami. Pluie. Soldat : Essai terminé. L’ile a été complètement anéantie. / Expérience terminée. L’île Birds est totalement submergée. Minos : C’est ce qu’on appelle un triomphe. Nous avons réussi à engloutir une ile aussi grande que les plus grandes villes du monde avec une seule bombe au lasernium. / C’est un grand succès, Pr Zuril. L’île Birds a la même superficie que Tôkyô, et une seule bombe à Vegatron a suffi à l’anéantir totalement. Horos : C’est parfait. Cela nous a permis de vérifier la puissance des bombes au lasernium. Minos, c’est à toi que revient l’honneur d’utiliser notre nouvelle arme. / Parfait. Maintenant, la terrible puissance de la bombe à Vegatron est démontrée. Général Gandal, c’est à vous de mener à bien cette stratégie. Minos : Avec joie. Cette fois, si le prince d’Euphor arrive à s’en sortir, je veux bien être pendu. Allez, préparez-vous à lancer une attaque avec Golgoth 64. / D’accord. Cette fois-ci, j’écraserai ce maudit Duke Fleed. Préparez immédiatement la sortie du Végamonstre Gudo-Gudo. Soldat : A tes ordres ! / Entendu.

Ranch. Phénicia tire les cartes à Alcor. Actarus arrive avec un journal. Phénicia : Voilà. / Actarus : Alors, soeurette, tu veux connaitre ton avenir ? / Oh, Maria, que nous prédis-tu ? Phénicia : Ah non. Je cherche à connaitre celui d’Alcor. / La chance en amour pour Kôji cette année. Alcor : Je n’ai qu’une confiance très limitée dans les dons de tireuse de cartes de ta sœur. / Ah oui ? Je doute que tes prévisions soient bien fiables. Phénicia : Oh, tu peux raconter ce que tu veux. Crois-le ou ne le crois pas mais je dis toujours la vérité. Tiens, cette carte-là révèle beaucoup de chose. / Gare à ce que tu dis ! Sache qu’aucune de mes prédictions ne s’est jamais démentie. Je savais que je visais juste. Alcor : Si tu me dis que je vais avoir de la chance, je suis disposé à faire un petit effort pour te croire. / Si j’ai une « grande chance », je te ferai un peu confiance. Phénicia : Ça m’étonnerait que tu aies de la chance, ces jours-ci. L’as de pique à côté d’un cœur veut dire que tu es incapable d’avoir une petite amie et ça, ça ne m’étonne pas du tout. / Cette année, ta chance en amour sera… nullissime. En clair, tu ne sortiras avec aucune fille. Tu vois que j’ai raison. Alcor : Pfft, qu’est-ce que tu peux être bête. / Peuh, rien du tout ! Phénicia : Quoi ? Mais c’est la stricte vérité. Je ne connais aucune fille capable de s’intéresser à un garçon comme toi à part moi et… / Je te dis que si ! En règle générale, il n’y a que moi pour t’aimer… Mizar : Phénicia, pourquoi est-ce que tu deviens toute rouge ? / Maria-san, pourquoi tu deviens toute rouge ? Phénicia : Oh, occupe-toi de toi. Qu’est-ce que les cartes vont dire maintenant ? / C’est rien ! Que vais-je prédire maintenant ? Actarus : Phénicia, c’est plutôt toi qui devrais faire attention à ce que tu dis. Tu parles trop. / Allons, Maria, n’embête pas les gens avec tes prédictions irresponsables. Phénicia : Hein ? Ah, Mr Actarus ne me crois pas non plus. Eh bien, je vais demander aux cartes si aujourd’hui sera pour nous un bon ou un mauvais jour. / Tu ne me crois pas, hein ? Pour savoir si j’ai raison ou pas, je vais prédire ta fortune du jour. Actarus : Et si tu vois que c’est un mauvais, garde-le pour toi. / Epargne-moi un mauvais horoscope. Sa montre sonne. Procyon : Actarus. / Daisuke ! Actarus : Oui, je t’écoute, père. / Qu’y a-t-il, père ? Procyon : Si vous n’avez rien à faire, venez au Centre, Alcor et toi. J’aimerais discuter de deux ou trois choses avec vous. / Un événement me préoccupe. Kôji-kun et toi, vous voulez bien venir en urgence au Centre ? Actarus : Bien, nous arrivons. En route, petit frère. / C’est entendu. Allons-y, Kôji ! Alcor : Je te suis. / OK. Phénicia : Actarus, tu ne veux pas savoir ce qui va se passer ? / Nii-san (grand-frère), et ton horoscope ? Actarus : Tu me raconteras la suite quand je reviendrai. / J’écouterai ça à mon retour. Les garçons quittent la pièce. Phénicia : Personne ne me prend jamais au sérieux. / Même mon frère se moque de moi. Elle tire l’as de pique. Phénicia : Encore l’as de pique ? Pourvu qu’il ne leur arrive pas malheur. / Un as de pique. Mon frère serait en danger ?

Les garçons arrivent au Centre en buggy. Bureau de Procyon. Actarus : Que se passe-t-il père ? / Qu’y a-t-il, père ? Procyon : Oh, d’après un rapport que nous avons reçu, ce matin, une des grandes iles du Pacifique Sud aurait soudain été engloutie. Le rapport ne mentionne pas dans quelles circonstances. De plus, nous avons reçu un autre message, non confirmé. Un énorme champignon pouvant provenir d’une explosion nucléaire aurait été aperçue dans le secteur de l’ile engloutie. / Eh bien, l’armée nous a contactés en urgence, tout à l’heure. L’île Birds, dans les eaux méridionales, aurait subitement sombré. Les causes sont encore inconnues, mais au même moment, un énorme nuage en forme de champignon aurait été aperçu dans les environs de Birds. Actarus : Une explosion nucléaire ? / En forme de champignon ? Procyon : L’ile avait plus de 2000 km², soit une superficie égale à celle de nos plus grandes villes. Il se pourrait que l’ile est servie de test à une arme extrêmement puissante. / La superficie de Birds est de 2000 m². C’est à peu près la superficie de Tôkyô. Si cette île a été utilisée pour expérimenter une bombe… Actarus : Ce serait épouvantable. / C’est intrigant. Alcor : A mon avis, ça ressemble fort à la manière d’agir de Vega. Qu’est-ce que tu en penses, toi ? / Si ça se trouve, ce sont les Forces de Vega qui sont derrière ça. Procyon : Nous ne pouvons le dire d’une façon définitive néanmoins il serait peut-être prudent de faire une reconnaissance. / On ne peut encore rien affirmer, mais il faut enquêter au plus vite. Alcor : Professeur, voulez-vous m’autoriser à y aller voir ? / Professeur, je vais aller voir sur place. Procyon : Oui, prends Vénusiak, tu pourrais avoir à plonger mais surtout pas d’imprudence. / Très bien, mais sois très prudent. Alcor : Non, soyez tranquille. / Compris. Il quitte la pièce. Actarus : Si c’est encore une des charmantes idées des forces de Vega, que penses-tu que nous puissions faire ? / Si les Forces de Vega sont bien derrière ça, quel est leur but ? Procyon : Tout ce que nous pouvons pour l’instant, c’est attendre qu’Alcor nous apporte des informations. / Pour le moment, nous devons attendre le rapport de Kôji. Départ de Vénusiak. Procyon : Alcor, tu peux décoller. / Alcor : Vénusiak, go ! / Marine Spazer, paré au décollage. Marine Spazer, go ! Procyon : Alcor, préviens-nous immédiatement si jamais tu vois quelque chose d’anormal. / Kôji, s’il y a quoi que ce soit, préviens-moi de suite. Alcor : Bien reçu. Vénusiak, maxi puissance. / Bien reçu. Marine Spazer, puissance maximale ! Il dépasse un avion. Alcor : Ah ah, ils se demandent ce qui se passe. J’étais arrivé à mag20. / Désolé, je vous double ! J’ai passé le mur du son.

Base sous-marine. Minos : Ah ah, il montre son nez. C’est bien ce que j’avais espéré. On va rire. Envoyez les navettes. / Il arrive comme prévu. Il ne se méfie pas. Mini-FO, commencez l’opération !

Alcor : Je suis à la verticale de l’ile. Professeur, les poissons en ont pris un coup. / L’île était bel et bien ici. C’est affreux. Il y a des poissons morts partout. Procyon : Oui, les poissons n’ont que peu d’importance. Est-ce que tu vois autre chose ? / Des poissons morts ? Et tu ne vois rien d’autre ? Alcor : Ce qu’il y a de certain, c’est que je ne vois pas d’ile. / Pas la moindre trace de l’île Birds. Actarus : La présence de poissons morts confirme la possibilité d’une explosion sous-marine. / Ces poissons morts renforcent la probabilité qu’il y a bien eu une explosion. Procyon : Alcor, il faut que tu ailles voir en-dessous ce qu’il se passe. / Kôji, examine ça plus en détail. Alcor : Entendu. Immergation ! Il n’y a aucun doute, c’est le résultat d’une explosion. Oh, il réagit au lasernium. C’est donc un coup de Vega. Oh, des navettes ! Alcor appelle le Centre, répondez-moi ! / Compris. Diving, go ! Ce sont clairement les traces d’une explosion. De la radioactivité vegatronienne. C’étaient bien les Forces de Vega. Il fallait s’y attendre. Ici, Kôji Kabuto.

Actarus prend Goldorak par la route 1. Procyon : Actarus, j’ignore exactement où en est la situation mais Alcor est en danger. Il faut que tu le tires de là. / Daisuke, je ne sais pas ce qu’ils mijotent, mais Kôji est en danger. Rejoins-le au plus vite. Actarus : Ne te fais aucune soucis, père, je vais foncer. Megamac. / Entendu. Grendizer, puissance maximale !

Vénusiak sort de l’eau et entame le combat. Alcor : Deltalame ! Missiles Omega ! Missiles Omega ! / Marine Cutter ! Marine Missiles ! Marine Missiles ! Par une manoeuvre serrée, il se cogne en haut d’une falaise. Une navette est sur le point de tirer sur lui quand il reçoit un cornofulgure. Actarus : Alcor, ça va ? / Kôji-kun, ça va ? Alcor : Ah, Actarus ! / Daisuke-san ! Actarus : C’est la forme ? Attention, en voilà d’autres. Alcor, chacun pour soi. / Tu n’as rien. Encore une unité. Kôji, on se sépare ! Alcor : D’accord. / OK.

Base sous-marine. Minos : Ah ah, le prince d’Euphor s’est laissé berner comme un débutant. A vous de jouer. Que Golgoth 64 entre en action ! / Tu es tombé en plein dans le piège, maudit Duke Fleed. Envoyez le Végamonstre Gudo-Gudo. Le golgoth qui ressemble à une araignée, sort des rives d’une ville. Il détruit un bateau, un train…

Retour au combat au-dessus de la mer. Actarus : Planitrons ! / Spin Saucer ! Alcor : Deltalame ! Celui-là, je l’aurais. / Marine Cutter ! Je vous aurai ! Actarus : Ça suffit, Alcor. / Laisse-les, Kôji ! Alcor : On ne peut pas les laisser s’enfuir. / Mais il faut les pourchasser ! Actarus : C’est peut-être une feinte pour nous attirer ailleurs. / Non, c’est une diversion. Ils ont un autre objectif. Procyon: Actarus ! Alcor ! / Daisuke ! Kôji ! Actarus : Je t’écoute, père. / Que se passe-t-il, père ? Procyon : Un golgoth attaque la ville. / Un Végamonstre est apparu dans Tôkyô. Actarus : Comment ? / Comment ? Alcor : Il ne manquait plus que ça ! / Un Végamonstre dans Tôkyô ? Procyon : Ils ont profité de votre absence pour déclencher leur attaque. Laissez tomber les navettes et revenez immédiatement. L’explosion de l’ile n’était qu’une manœuvre de diversion. Les choses se gâtent en ville. / Ils ont profité de votre absence pour envoyer un Végamonstre sur Tôkyô. Je suis sûr que cela cache un terrible projet. Actarus : NA / Un terrible projet ? Procyon : J’envoie Vénusia et Phénicia attaquer le golgoth mais elles ne tiendront pas longtemps sans vous. / Hikaru et Maria se dirigent déjà vers Tôkyô. Vous aussi, rejoignez Tôkyô de toute urgence. Actarus : On arrive. Alcor, on fait demi-tour. / Compris. Kôji, allons vite à Tôkyô. Alcor : Quand tu veux, je suis prêt. / Bon sang, que complotent-ils ?

Vénusia et Phénicia sont au-dessus de la ville. Vénusia : Regarde, il se dirige vers le centre de la ville. / Oh non, il se dirige vers le centre ! Phénicia : Et alors, nous sommes capables de nous débrouiller toutes seules, non ? / On sera bien assez de deux pour l’abattre ! Vénusia : Phénicia, il serait quand même plus prudent d’attendre l’arrivée des garçons pour attaquer ce monstre. Pourquoi s’est-il arrêté ? / Maria, il faut observer la situation en attendant Daisuke et Kôji. Il ne faut pas attaquer l’ennemi sans savoir ce qu’il mijote. Le Golgoth dépose une bombe. Vénusia : Qu’est-ce que c’est ? / Il s’est arrêté ! Regarde ! Procyon : C’est une bombe. Identique à celle qui a détruit l’ile. Une bombe au lasernium. / C’est une bombe. C’est une bombe à vegatron comme celle qui a détruit Birds. Cochyr : Une bombe au lasernium ? / Une bombe à vegatron ? Antares : Professeur, vous vous rendez compte qu’ils peuvent détruire la ville avec une seule de ces bombes ! / Ils vont utiliser cette bombe pour anéantir Tôkyô ? La radio émet des ondes. Antares : Oh professeur ! Quelqu’un essaie d’entrer en contact. / Professeur, on tente de nous contacter. Procyon : Oui, je vois. / Quoi ? Il règle l’écran et voit apparaître Minos. Procyon : Que voulez-vous ? / Qui êtes-vous ? Minos : Professeur Procyon, je suis le commandant Minos, chef suprême des Forces de Vega. / Pr Umon. Je suis le général Gandal des Forces de Vega. Procyon : Oui, je vois que vous n’êtes pas le bon Dieu. Que voulez-vous ? / Que voulez-vous, général Gandal ? Minos : Vous donnez un bon conseil. Si vous ne souhaitez pas que la ville ne soit entièrement rayée du monde, remettez-moi Goldorak immédiatement ! Je vous signale, professeur, que la vie de 12 millions d’individus dépend de votre décision. Réfléchissez ! Mais réfléchissez vite. J’attends votre réponse. / Vous le savez déjà ! Si vous voulez sauver Tôkyô, livrez-nous immédiatement Grendizer. Sinon, les douze millions d’âmes qui peuplent Tôkyô seront soufflées en un instant. Pr Umon, j’attends votre réponse ! Procyon : S’il ne s’agissait que de moi, je vous dirais non, mais vous devez comprendre que je ne peux en décider tout seul. / J’aimerais dire non si je le pouvais. Mais la réponse ne peut venir de moi. Minos : Vous pensez que c’est au prince d’Euphor de prendre la décision ? Je suis d’accord avec vous. Mais laissez-moi vous montrer quelque chose. / C’est donc à Duke Fleed de répondre ? Très bien. Mais avant ça, je vous rappelle une chose. Procyon : Quoi donc ? / Quoi ? Minos : Mettez la bombe sur explosion à retardement ! / Lance le compte à rebours. Soldat : Oui. Explosion à retardement branché. / Entendu ! Compte à rebours enclenché. Minos : Vous avez maintenant cinq minutes pour vous décider. 300 petites secondes, ça passe vite professeur. / Le délai est de 5 minutes. Passé ce délai, la bombe à Vegatron explosera. Procyon : Cinq minutes, seulement ? / 5 minutes. Minos : C’est beaucoup plus qu’il n’en faut pour sacrifier ou sauver la vie de 12 millions d’hommes, professeur. Quand vous serez prêt, vous me donnerez votre réponse. / Tant que la télécommande ne sera pas désactivée, vous n’aurez aucun moyen d’empêcher l’explosion. Professeur, j’attends votre réponse. Fin de la communication. Procyon : Que dois-je faire ? Je n’ai pas 36 solutions. J’ai le choix entre mon fils et la population. / 5 minutes. 5 minutes, et la bombe à Vegatron explosera. Actarus apparait à l’écran. Actarus : Père ! J’ai entendu la conversation. / Père, j’ai entendu votre échange. Procyon : Si j’en avais la possibilité, j’aimerais pouvoir me livrer à ta place. Malheureusement, cela ne sauverait pas la population. Pour une fois, je suis impuissant. Actarus, il n’y a que toi qui puisses prendre une décision en la circonstance. / Daisuke… Si c’était possible, j’aimerais prendre ta place. Mais je ne peux rien faire, sinon être spectateur. C’est à toi de donner ta réponse, Daisuke. Actarus : Leur remettre Goldorak signifierait nous livrer à eux, pieds et poings liés. Ils entreprendraient aussitôt la conquête de la planète bleue. Cette planète que j’ai juré de défendre, fusse au péril de ma vie. Crois-tu donc que j’ai le droit d’abandonner sans tenter quelque chose ? Père ! Laisse-moi combattre. Une chance, si mince soit-elle, mérite d’être saisie. / Père, leur livrer Grendizer reviendrait à capituler totalement. Ils conquerraient immédiatement cette Terre si unique. Cette planète est faite pour les gens qui s’entraident, pas pour des envahisseurs à l’âme diabolique. Père, laissez-moi me battre. Quoi qu’il m’arrive, je défendrai Tôkyô jusqu’au bout. Alcor : Professeur, vous savez qu’il a raison. Je vous en supplie, on a encore le temps d’agir. / Professeur, Daisuke a raison. Nous sauverons Tôkyô même si cela doit nous coûter la vie. Procyon : Non. Phénicia : Mon oncle, je suis moi aussi prête à combattre. / Ojisama (oncle), moi aussi, je me battrai ! Vénusia : Nous sommes 4. Et la patrouille des aigles a parfois réussi plus difficile. Nous pouvons encore faire l’impossible. / Et moi aussi. Il faut garder espoir jusqu’au bout, plutôt que renoncer à se battre. Procyon : D’accord, vous avez carte blanche. Mais n’oubliez pas qu’il vous reste que 4 minutes pour vous débarrasser de cette bombe. Que Dieu vous protège, mes enfants. / Très bien. Battez-vous. Mais il ne reste que 4 minutes avant l’explosion. Il faut sauver Tôkyô avant la fin du compte à rebours. Actarus : Merci, père. Tout le monde est prêt ? Go ! / Compris. Bien, tout le monde… En avant ! Le golgoth active sa barrière de protection.

Base sous-marine Minos : Terriens imbéciles ! C’est vous qui l’aurez voulu. / Misérables ! Est-ce là votre réponse ? Horos : Quelle bande de fous ! Cette fois, ils n’ont aucune chance ! / Vous pensez pouvoir vaincre Gudo-Gudo en à peine 4 minutes ?

Retour en ville. Alcor : Tant qu’il restera à côté de la bombe, on ne pourra pas l’attaquer. / Bon sang, s’il ne s’éloigne pas de la bombe, on ne pourra pas l’attaquer. Actarus : Oui, bien sûr, mais j’ai une idée. Je vais attirer son attention. Frappez le sol juste derrière lui. / Bon, j’ai une idée. Pendant que j’attire son attention, faites sauter le sol derrière lui. Alcor : D’accord, qu’est-ce qu’on risque. Ça y est, il est bloqué. / OK, c’est compris ! On a réussi, Daisuke ! Actarus : Autolargue ! / Dizer go ! Il attrape la bombe avant de tomber sous le rayon du golgoth. Procyon : Surtout ne la lâche pas ! / Ne la brusque pas ! Vénusia : Victorang ! / Double Cutter ! Vénusia est touchée par le rayon et s’écrase contre un bâtiment. Elle est éjectée au sol. Actarus : Oh, Clavicogyre ! Emportez cette bombe, vite ! Phénicia, attaque ! / Oh ! Shoulder Boomerang ! Occupez-vous vite de la bombe ! Maria, à toi ! Phénicia : Pyrobombe ! / Spark Bomber ! Le golgoth la touche à son tour et Fossoirak perd une aile. Actarus : Phénicia ! Cornofulgure ! / Maria ! Bon sang… Space Thunder ! Alcor a rejoint Vénusia. Alcor : Vénusia ! Vénusia, réponds-moi ! Vénusia ! / Hikaru, ça va ? Hikaru ! Vénusia : Ne t’occupe pas de moi, ça va aller. Dépêche-toi, Alcor. Vas-vite aider Actarus. / Le temps presse. Ne t’occupe pas de moi. Monte dans le Double Spazer et aide Daisuke. Alcor : Surtout ne bouge pas, je vais revenir. / Garde espoir, Hikaru. Les hélicoptères emportent la bombe

Base sous-marine. Horos : Il ne faut pas qu’ils emportent la bombe. / Ils emportent la bombe ! Minos : Oh non, ils ne vont pas s’en tirer aussi facilement. La bombe fera sauter Golgoth et Goldorak. / Tant pis. Gudo-Gudo ! Fais tout sauter avec Grendizer !

Le golgoth tire sur un hélicoptère Actarus : Clavicogyre ! / Shoulder Boomerang ! Il se délivre des fils du golgoth et donne un coup de pied. Alcor qui a repris Alcorak reprend le combat. Alcor : Mortanium ! Actarus, achève-le ! / Cyclone Beam ! Daisuke, maintenant. Achève-le ! Actarus: Cornofulgure ! / Space Thunder ! Le Golgoth explose. Actarus : Alcor, jumelage; Cabré ! Retournement ! Accrochage ! / Kôji, jumelage. Scramble Turn ! Combination Cross ! La bombe se détache du dernier hélico. Elle est attrapée de justesse par Goldorak. Procyon : Actarus, essaye de l’emmener le plus loin possible. Il ne reste que quelques secondes. / Daisuke, il faut vite la transporter en lieu sûr. Il reste très peu de temps. Actarus : Séparation ! / Séparation, go ! Alcor : Actarus, pourquoi fais-tu ça ? / Daisuke, que fais-tu ? Actarus : Arrimage ! Alcor, s’il m’arrive quelque chose, je te laisse le soin de protéger la Terre. / Spazer Cross ! Kôji, quoi qu’il m’arrive, tâche de défendre la Terre jusqu’au bout ! Alcor : Actarus ! / Daisuke… Argoli : Même s’il réussit à emmener cette bombe assez loin, il n’aura pas le temps de dégager. / Même s’il parvient à éloigner la bombe, il aura peu de temps pour s’enfuir. Procyon : Actarus, reviens vivant. / Daisuke, reviens-nous vivant.

Base sous-marine Minos : Prince d’Euphor, rends-toi ! C’est ta seule chance de rester en vie. / Duke Fleed (les trad ont mis Daisuke, pfft), si tu veux capituler, c’est maintenant !

Procyon : Mets toute la puissance. / Daisuke, enfuis-toi vite ! La bombe explose. Alcor : Actarus ! / Daisuke… Goldorak plonge sur le sol, son pilote évanoui. Procyon : Actarus ! Actarus ! / Daisuke… Daisuke ! Goldorak s’écrase au sol.

Infirmerie du Centre. Tout le monde est autour du lit d’Actarus qui se réveille. Actarus : Où suis-je ? / Où suis-je ? Procyon : Ne bouge pas, Actarus. / Tu es réveillé ? Alcor : Veinard, tu as fait un gros dodo pendant 48h. / Tu es resté inconscient une nuit entière. Vénusia : Je ne suis pas mécontente que tu sois enfin réveillé. / Heureusement, tes jours ne sont pas en danger. Actarus se lève. Alcor : Appuies-toi sur moi. Actarus, où est-ce que tu veux aller ? / Daisuke. Que veux-tu voir ? Actarus : Je veux regarder la ville. / Tôkyô. Alcor : La ville ? Mais tu ne peux pas la voir d’ici. / Tôkyô ? On ne voit pas Tôkyô d’ici. Actarus : L’essentiel est de savoir qu’elle est là. Avec des gens dont le cœur bat. Et débarrassé de ceux qui voulaient la détruire. / Si je peux la voir. Cette ville où vivent des gens au cœur bon, et non des démons impitoyables. Alcor : Je comprends. Moi aussi, je sens revivre la ville. Ce qui me rend le plus heureux, c’est que les aigles sont toujours là pour la défendre. / Je comprends. Moi aussi, je peux la voir, Daisuke. Cette ville que tu as défendue au péril de ta vie.

Prochain épisode : Kôji Kabuto : quitte ou double. Des missiles par dizaines foncent vers Tôkyô ! Nous sortons en urgence pour les détruire, mais le dernier que je poursuis passe Tôkyô et explose en montagne. Son point de chute est voisin d’un dépôt de transuraniens. C’est étrange. Duke, je m’en charge !