Texte 49

De Wikirak

Episode 49 : Texte VF-VOSTFR La dernière survivante / J’ai vu mon frère dans le soleil couchant !

Au camp de la lune noire, une explosion a lieu dans un entrepôt.

Minos : Qu’est-ce qui se passe ? / Que se passe-t-il ?

Soldat : Le hangar d’Antérak 149 a explosé au moment du chargement des piles / On équipait le Monstronef de bombes végatroniques, mais elles ont explosé. Minos : Comment ? / Quoi ? L’antérak sort du feu Minos : Extraordinaire ! L’antérak n’a même pas été égratigné par l’explosion. C’est incroyable ! / Oh, malgré l’explosion des bombes végatroniques, Deki-Deki est indemne. L’antérak quitte la lune. Minos : Reviens Antérak 149 ! Tu dois attendre les ordres. La mission n’est pas encore commencée. Reviens ! Retour immédiat ! / Reviens, Monstronef Deki-Deki ! C’est trop tôt. On ne ta pas attribué de mission. Reviens ! Horos : Il est déconnecté. / Il est hors de contrôle. Minos : Vous dites ? / Quoi ? Horos : Ses circuits ont été surchargés par l’explosion et ont dû être endommagé. / L’explosion a dû perturber ses circuits. Minos : Alors, que pouvons-nous faire, commandant ? / Qu’allons-nous faire, prof Zuril ? Horos : Son électro programme a été perturbé. Espérons que ses mémoires ne sont pas atteintes et qu’il accomplira la mission programmée. / Il est incontrôlable, il n’y a plus rien à faire, sinon espérer qu’il ira semer la panique sur Terre.

Au centre. Argoli : Un ovni vient de pénétrer dans l’atmosphère. / Un Monstronef a pénétré dans l’atmosphère. Procyon : Sa vitesse est anormale. Il faut que Goldorak décolle immédiatement. / Il est incroyablement rapide. Grendizer, intervention !

Scène de la métamorphose. Départ par la route n° 7 : Paré pour le décollage. / Stand-by, ok. Procyon : Route n° 7, ouvrez les sas. / Route n° 7. Ouverture. Actarus : Goldorak, go ! / Grendizer, go ! Procyon : Actarus, l’ovni se dirige vers la mer d’écumes à la vitesse de mag30 / Duke Fleed, le Monstronef descend vers la mer du Japon. Actarus : Bien reçu. J’y vais. / Bien compris, j’y vais. L’antérak plonge dans l’eau puis ressort et détruit une ville. Procyon : Actarus, c’est un antérak. Il vient d’attaquer Ecumeville. / Duke Fleed, le Monstronef s’attaque à une petite ville du littoral. Actarus : Quel est l’intérêt stratégique d’Ecumeville ? / Quel peut être leur objectif ? Procyon : Aucun. C’est une petite ville calme et paisible dont les habitants vivent de la pêche. / Je l’ignore. C’est une ville paisible sans rien qui puisse les intéresser. Actarus : Une ville paisible ? Je me demande ce que signifie sa destruction. / C’était une petite ville tranquille. Qu’ont-ils donc en tête ? Procyon : L’antérak bifurque vers les hauts plateaux de la Cordillère. / Le Monstronef se dirige vers les Alpes japonaises. Actarus : J’y fonce. / Compris

Sur une route de campagne, des jeunes font une course à moto. Phénicia : You ouh. Gars : Phénicia, attends-nous. Ne vas pas si vite. / Au secours ! Ils tombent et Phénicia se moque d’eux. Phénicia : Ah, c’est encore moi qui ai gagné. / J’ai encore gagné. Gars : Ah tu gagnes toujours. On arrivera jamais à être aussi forts que toi. Je vais finir par y renoncer. Ah, je n’en peux plus. / Oui, on a perdu. Des fois, tu pourrais nous laisser gagner. T’es trop forte pour nous. On arrête là. J’en ai marre. L’antérak passe au-dessus d’eux. Gars : Qu’est-ce que c’est ? D’où peut bien venir cet engin ? / C’était quoi, cet engin ? L’antérak se dirige dans une forêt. Il détruit une maison. Un morceau de bois frappe l’arrière du crâne d’un vieil homme. Actarus : Ah, le voilà. / Ah, le voilà. Grand-père : Oh, Goldorak ! / Grendizer ! Phénicia arrive en moto : Grand-père ! Grand-père ! Pourquoi as-tu crié ? Grand-père, qu’est-ce qu’il y a ? / Grand-père, tu n’as rien ? Grand-père, accroche-toi ! Grand-père : C’est… c’est… Goldorak. / Grendizer… Phénicia : Hein ? Grand-père : C’est lui, c’est lui qui a attaqué Euphor. / Le dieu protecteur de la planète Fleed. Phénicia : Qu’est-ce qu’Euphor, Grand-père ? Et qu’est-ce que c’est que cette étrange machine dont tu parles ? Je ne comprends rien. / De quoi parles-tu ? Grendizer ? La planète Fleed ? Grand-père : Phénicia. / Maria… Phénicia : Ne bouge pas. Je vais te ramener à la maison et bien te soigner, Grand-père. / Grand-père, tiens bon ! Grand-père !

Goldorak continue de poursuivre l’antérak.

Grand-père : Phénicia ! / Maria Phénicia : Ne t’inquiète pas Grand-père, je vais rester auprès de toi. Je ferais tout ce que tu voudras. Je ne te quitterai plus. Et si tu veux, je renoncerai même à faire de la moto. Sois tranquille. / Pardon, Grand-père. Je t’avais laissé tout seul. Je ne ferai plus de moto. Je t’obéirai, et je serai très sage. Grand-père : Tout ce que je souhaitais, c’était de t’élever comme une enfant normale. / J’ai essayé de t’éduquer comme une jeune fille ordinaire. Phénicia : Mais je suis très heureuse auprès de toi. / Je te promets que je serai sage. Grand-père : Mais il y a le sang, l’hérédité. / On ne peut pas lutter contre son propre sang. Phénicia : Mais… Je ne comprends pas. Non, ne bouge pas, tu dois te reposer. / Que veux-tu dire ? Non, tu dois rester couché ! Grand-père : Je n’ai plus le temps, je dois te parler. Il faut que tu saches. Mon enfant, je ne suis pas ton Grand-père. / Je dois tout te dire. Oui, le moment est venu. Tu n’es pas ma petite-fille. Phénicia : Quoi ? Qu’est-ce que tu racontes ? / Grand-père. Grand-père : Phénicia, tu n’es pas née sur cette planète. / Tu n’es pas non plus de cette planète. Phénicia : Tu devrais te recoucher Grand-père, c’est la fièvre qui te fait délirer. / Qu’est-ce que tu racontes ? Reprends-toi, Grand-père ! Gp : Ton pendentif est la preuve de ce que je dis. La preuve que tu es la fille du roi d’Euphor et de la reine Astrida. / Ce pendentif en est la preuve. Tu es la fille du roi de la planète Fleed. Phénicia : Le roi d’Euphor ? / La planète Fleed ? Grand-père : Oui. Euphor se trouve près de la Croix du sud. Nous y étions tous heureux. Le bonheur et la paix y régnaient. C’était un paradis. Et un jour la division ruine des forces de Vega débarquait pour nous asservir. Elle a tout massacré. Ils ont tué le roi, la reine, le prince ton frère. Dieu merci, toi et moi n’étions pas au palais. J’ai réussi à te prendre à bord d’une des navettes royales et à te soustraire à la bestialité de nos envahisseurs. C’est ainsi que nous avons pu gagner la planète bleue. / C’était une magnifique planète située bien loin de la Terre. La nature y resplendissait, et nous vivions en paix. Mais un jour, elle fut attaquée par les Forces de Vega. Ils mirent Fleed à feu et à sang. Le roi… la reine… et même le prince Duke Fleed… Ils ont tous péri. J’ai pris avec moi la princesse, désormais orpheline, et nous avons réussi à nous échapper de cet enfer. Nous nous sommes ensuite réfugiés sur cette planète. Phénicia : Alors, je suis la princesse d’Euphor ? / Je suis la princesse de Fleed ? Grand-père : Oui, tu es sa Grâce, Phénicia d’Euphor. / Oui. Grace Maria Fleed. Phénicia : Sa Grâce, Phénicia d’Euphor… Sa Grâce, Phénicia d’Euphor… et toute ma famille a été massacrée. / Grace Maria Fleed ? Donc mon père, ma mère… et mon frère sont morts ?

C’est la nuit. Goldorak poursuit toujours l’antérak. Actarus : Planitrons ! Missiles Gama ! Cornofulgure ! / Spin Saucer ! Spin Drill ! Space Thunder ! Il est touché. Sa blessure se réveille Actarus : Ma blessure se réveille. Je dois être dans un champ de force radioactive. / Enfer, le Vegatron réveille ma vieille blessure. Il s’écrase et il s’évanouit.

Minos : C’est le moment ou jamais de se débarrasser de Goldorak. Antérak 149, détruit Goldorak. / C’est maintenant ou jamais. Pulvérise Grendizer ! Que fais-tu ? Ecrase-le ! Horos : Il ne vous entend pas. Ses circuits sont hors d’usage. / Il est complètement hors de contrôle. Minos : Décidément, nous jouons vraiment de mal chance / Il était à deux doigts de le détruire.

Alcor et Vénusia prennent leurs appareils et partent à la recherche d’Actarus. // Go, go, Kôji. Une fois que tu es déterminé, rien ne t’arrête. Tu es le cheval fougueux de l’espace. Avec la force de ta jeunesse, tu pars à l’assaut. Nous comptons sur toi, Kôji. La fougue est dans ton sang…

Phénicia : Grand-père, pourquoi m’as-tu révélé que j’étais la princesse d’Euphor ? Je veux savoir pourquoi. / Mais pourquoi me révéler maintenant que je suis la princesse de Fleed ? Grand-père : Parce que j’ai revu Goldorak. / J’ai vu Grendizer. Phénicia : Et tu crois qu’il est venu pour ravager la Terre ? / Grendizer ? Cette soucoupe volante ? Grand-père : Oui, j’en suis à peu près certain. Va prévenir le professeur Procyon; il doit encore travailler pour la défense nationale. / Ce n’est pas une simple soucoupe. C’est Grendizer, le robot spatial. Le dieu protecteur de Fleed. Phénicia : Est-ce que tu lui as révélé mon existence ? / Le dieu protecteur de Fleed ? Grand-père : Non, l’anonymat était notre seule sauvegarde. Je dois aussi te dire que ton sang comme celui de toute ta famille royale a des propriétés diamagnétiques et que nos observatoires communiquaient par les ondes avec le professeur dont je viens de te parler. C’est lui qu’il faut contacter. / Notre peuple a été entièrement décimé. L’homme qui se trouve à bord de Grendizer ne peut être qu’un des sbires de Vega qui a ravagé notre planète. Princesse, vous devez reprendre Grendizer à ces monstres. Phénicia : Mais je risque d’être prise pour une espionne. Au Centre, ils ne connaissent pas le pendentif. / Je veux bien, mais… je ne sais même pas où il est. Grand-père : Le pendentif prouvera scientifiquement qui tu es. / Fiez-vous à votre pendentif. Phénicia : Comment, Grand-père ? / Mon pendentif ? Grand-père : Il fait pivoter l’aiguille d’une boussole vers le sud s’il est porté par un être au sang diamagnétique. / Lorsque vous serez à proximité de Grendizer, il se mettra à briller. Phénicia : Ils le savent ? / Ah bon ? Grand-père : Je viens de te dire que nous échangions des informations scientifiques avant l’invasion de notre planète. Je compte sur toi pour accomplir ton devoir Phénicia d’Euphor. / Vous pouvez le faire. Récupérez Grendizer, notre dieu protecteur ! Je compte sur vous, Grace Maria Fleed… Phénicia : Grand-père ! Grand-père ! / Grand-père ! Grand-père! Grand-père. Grand-père !

Le matin. Alcor : On a quadrillé toute la région sans apercevoir la moindre trace d’Actarus. / Impossible de localiser Duke. Où peut-il bien être ? Vénusia : Il a dû se poser en catastrophe dans ses montagnes. Passons-les au peigne fin. / Il a dû atterrir en urgence dans les environs. On y retourne. Alcor : D’accord. / Ok

Phénicia : J’ai lu dans ton journal que sur Euphor, tu étais notre précepteur. Mais c’est du Grand-père que je garderai le souvenir. Je suis la princesse Phénicia d’Euphor. Je défendrai la planète qui m’a accueillie contre la cruauté des Forces de Vega. / Grand-père. Merci d’avoir pris soin de moi. Je suis Grace Maria Fleed. Je fais le serment de reprendre Grendizer à ces démons.

Vénusia : Alcor, il est là-bas ! / Oh, il est là ! Alcor : J’ai vu. Actarus ! / Duke. Duke Fleed ! Vénusia : Actarus ! Réponds-nous. / Duke, ça va ? Alcor : Actarus, tu m’entends ? / Que se passe-t-il ? Réponds-nous ! Actarus : Salut, ça va mieux. Désolé de vous avoir fait peur. / Ça va. Désolé de vous avoir causé du souci.

Le pendentif de Phénicia s’allume quand elle voit passer les navettes de la patrouille. Phénicia : J’en ai fait le serment. Je poursuivrais les faiseurs de ténèbres jusqu’en enfer s’il le faut. / Misérable, tu as volé notre dieu protecteur. Je ne te lâcherai pas.

Actarus : Où est passé l’antérak ? / Où a-t-il bien pu passer ? Procyon : Actarus, l’antérak se dirige maintenant vers la côte dorée. Les complexes industriels risquent d’être attaqués. / Duke Fleed, le Monstronef est apparu au-dessus du Pacifique. Il attaque une zone industrielle. Actarus : Bien reçu, j’y vais. / Compris. On y va. Alcor : On te suit. On ne va tout de même pas le laisser faire. Tu vas avoir de mes nouvelles. / Reçu ! Bon sang, il s’en donne à cœur joie. Je ne le laisserai pas faire. Actarus : Alcor, attends ! / Kôji, attends ! Alcor : Mortanium ! / Cyclone Beam ! Actarus : Alcor, attention. Laisse-le-moi. Alcor, tu es blessé ? / Kôji, attention ! Ecarte-toi ! Kôji, ça va ? Alcor : Non, seulement un peu secoué. Je me demande par quoi. / J’ignore ce que c’était mais j’ai pris un sacré choc. Actarus : Par la radioactivité qui émane de cet antérak. / Il émet de la radioactivité végatronique. Vénusia : On ne peut pas s’en approcher. / On ne peut pas s’en approcher Actarus : Si je trouvais le moyen de bloquer son rayonnement. / Comment faire pour éviter sa radioactivité ? Alcor : Il y a urgence, sinon, il va tout ravager. / Il faut en finir avec lui, il est déchaîné. Actarus : Il y a une solution. On va le maintenir au sol. Comme ça, je pourrais contrôler ses mouvements. Alcor, pendant qu’on s’en occupe, va chercher Fossoirak. / J’ai trouvé. On va l’enfoncer dans le sol. C’est comme ça qu’on pourra le coincer. Bon, Kôji. Va chercher le Drill Spazer. Je vais l’occuper. Alcor : Entendu. / Bien compris. Actarus : Cornofulgure ! / Space Thunder ! Vénusia : Missiles Omega ! / Marine Missiles ! Actarus : Missiles Gama ! / Spin Drill ! Vénusia : Mécronium ! / Marine Beam !

Alcor décolle avec Fossoirak.

Actarus : J’ai compris. Ses circuits ont été endommagés par une surcharge des piles. / Ce sont les radiations végatroniques qui le rendent fou. Vénusia : Actarus ! Alcor est revenu. / Duke, kôji est revenu. Actarus : Parfait ! Transfert ! Autolargue ! Retournement ! A toi Alcor. Accrochage ! / Parfait. Chute in ! Dizer, go ! Scramble Turn ! Combinaison Cross ! Ils s’enfoncent dans le sol pour coincer le golgoth dans le sol Vénusia : Missiles Oméga ! / Marine Missiles ! Actarus : Alcor, feu ! / Kôji, maintenant ! Alcor : Tarieropulseur ! / Drill Missiles ! Actarus : Séparation ! Cornofulgure ! Fulguropoing ! Astérohaches ! / Separation go ! Space Thunder ! Screw Crusher ! Double Harkin ! Alcor : Bien joué. / Ça y est.

Au centre, au coucher du soleil. Alcor : Vous voyez, le rêve se serait de compléter notre escadrille avec un 4e aigle. Ça nous ferait gagner un temps précieux et Fossoirak accompagnerait toujours Goldorak. / Si on avait eu un quatrième équipier, pour venir en renfort avec le Drill Spazer, on aurait été bien plus efficaces. Actarus : Oui, tu as raison. Phénicia : C’est le Centre dont Grand-père parle dans son journal. Ils ont parlé de Goldorak. Aurait-il déjà occupé le Centre ? / C’est ici que se trouve Grendizer. J’ai enfin trouvé le repaire de ces démons. Alcor : Oh ! Eh toi ! Qui es-tu ? J’aimerais savoir ce que tu fais par ici. / Eh, attends ! Méfiez-vous ! C’est sûrement l’une des leurs. Phénicia : Vous êtes des monstres. / Faites vos prières ! Actarus : Arrête ! D’où tiens-tu ce pendentif ? A qui l’as-tu volé ? Qui es-tu ? / Attends ! D’où sors-tu ce pendentif ? Qui es-tu ? Phénicia : Il est à moi. Je suis la princesse d’Euphor, fille du roi et de la reine Astrida. / Je suis la princesse de Fleed, Grace Maria Fleed ! Et je suis venue récupérer Grendizer. Actarus : Phénicia ! Phénicia ? Phénicia… Phénicia, je suis le prince d’Euphor. / La princesse de Fleed ? Maria ! Maria ! Oui. Je suis Duke Fleed. Phénicia : Toi ? Le prince d’Euphor ? / Duke Fleed.

Flashback. Phénicia : Au secours ! Au secours ! / Grand frère ! Grand frère ! Actarus : Tu dois rester avec notre précepteur. / Pardonne-moi, Maria. Phénicia : Ne me laisse pas. / Grand frère ! Actarus : Il faut que j’aille défendre le palais. / Grendizer… Phénicia : Non, emmène-moi. Ne me laisse pas. / Grand frère ! Grand frère !

Phénicia : Je t’ai retrouvé. C’est toi. Tu es bien vivant. Et c’est toi qui possèdes Goldorak ? / Grand frère. C’est bien toi, grand frère ? Actarus : Oui, petite sœur. / Oui. Phénicia : Ah, quel bonheur ! / Grand frère, tu as survécu. Actarus : Phénicia, c’est un miracle que tu sois là. Jamais, je n’osais espérer te revoir. Tu n’as plus rien à craindre maintenant. / Maria. Maria, quel bonheur de te retrouver ! Toi aussi, tu as dû beaucoup souffrir. Mais on ne se séparera jamais plus.

Procyon : Pourquoi est-ce que vous pleurez ? / Que se passe-t-il ? Alcor : Qu’est-ce qui pleure ici ? Ou alors c’est de joie. Je vous présente la sœur d’Actarus, Phénicia. Vous aviez un fils, vous allez maintenant avoir une fille. / Duke… Duke… Je ne sais pas comment l’exprimer… Demandez donc à ce magnifique soleil couchant. Procyon : Et c’est une grande joie. / Au soleil couchant ?

Prochain épisode : L’assassinat de Kôji Kabuto Des assassins de Vega tentent de m’éliminer en pleine nuit. Mais grâce à Maria, j’échappe de peu à la mort. Leur plan diabolique m’empêche cependant d’intervenir. Duke Fleed, ne t’inquiète pas pour moi. Occupe-toi du Monstronef !