Texte 47

De Wikirak

Episode 47 Le lac embrasé / Le lac qui crachait le feu de l’enfer !

Au camp de la Lune noire.

Minos : Tout est prêt pour l’opération Geyser. / Lancez l’opération secrète.

Des capsules rondes quittent le camp. Plan titre

La patrouille est en ballade avec Mizar et Riguel. Alcor a Mizar sur sa moto tandis qu’Actarus est chargé de Vénusia, Riguel et des bagages. Riguel : Ah, quelle belle journée mes enfants. / Il fait beau, hein ? Vénusia : Oh oui. / Oui. Riguel : Quand je décide d’emmener tout mon petit monde faire du camping, je m’arrange toujours pour avoir un temps magnifique. / Quand j’emmène tout le monde en camping, le beau temps est forcément de la partie. Vénusia : Alors, je me demande pourquoi tu n’as pas arrêté de regarder le baromètre depuis ce matin. / Et qui s’inquiétait du temps jusqu’à la veille du départ ? Riguel : C’était pour l’influencer, tiens. Eh, les garçons, vous savez que la vitesse n’est pas limitée sur cette route. Alors, allez-y, foncez. / Hein, de quoi tu parles ? Dites donc, vous ne pouvez pas aller plus vite ? Bon sang. Alcor : Entendu, Riguel. Puisque vous y tenez, on va mettre les gaz. Allez Mizar, accroche-toi. / On accélère un peu ? Accroche-toi bien, Gorô. Vénusia : Alors Actarus, tu te laisses distancer ? / Daisuke, accélère. Riguel : Vas-y mon garçon. / En avant. Vénusia : Appuis à fond, Actarus. Vas-y, appuies. Tu vas le battre ce minus. Appuis. / Daisuke, tiens bon ! Ne laisse pas Kôji gagner. Vite ! Alcor : Tu vas voir ce qu’il sait faire, minus. / Alors ça, pas question. Vénusia : Dépasse-le, dépasse-le. Tu es mille fois plus fort que lui. Allez, fonce, tu vas l’avaler. / Allez, Daisuke ! Comme ça, parfait ! Kôji ne doit surtout pas gagner. Alcor : Tu peux toujours essayer. / « Surtout pas » ? Vénusia lui fait un clin d’œil. Alcor : On va bien voir qui est le plus fort. Ah elle me prend pour un minus. Mizar, tiens bon la rampe. / Je vais lui clouer le bec ! J’accélère. Gorô, accroche-toi bien. Actarus : Alcor, tu deviens fou. Ralentis, bon sang. Tu risques de te tuer bêtement. / Kôji, ne fais pas l’idiot ! Hé, Kôji ! Ne fais pas l’idiot, Kôji. Alcor : Tiens, on dirait qu’il a la frousse, le caïd. / Pas question de perdre. Mizar : Oh, arrête, j’ai mal au cœur. / J’ai peur !

Camp de la Lune noire. Ordi d’Horos : Tout est prêt. La première phase de l’opération geyzer est terminée. / Et de 50 ! Première phase de l’opération achevée. Minos : Nous allons assister à un spectacle exceptionnel. / J’ai hâte de voir la suite. Horos : Surement.

Au bord du lac. Alcor pêche. Vénusia prépare le repas, Actarus et Riguel montent la tente Alcor : Ça ne mord pas. Actarus : Voilà, les tentes sont montées. / Et voilà. La tente est montée. Riguel : Ouais, c’est de l’excellent travail. Mais n’oubliez pas que sans moi, vous dormiriez à la belle étoile. / Impeccable. C’est grâce à mes instructions. Mizar : Tire-toi donc de mes jambes. Tiens voilà les provisions. (en pensée) Qu’est-ce qu’il a, Alcor, aujourd’hui ? / Poussez-vous ! Hop là. Kôji a-t-il attrapé du poisson ? Alcor : Oh la barbe ! J’en ai assez. / Ah y en a marre ! Mizar (en pensée): Il est drôle. Il est bizarre depuis quelques temps. / Kôji n’est pas dans son état habituel. Alcor : L’étoile du berger. / La première étoile.

Ce ne sont pas des étoiles mais les capsules qui arrivent dans l’atmosphère terrestre. Minos : Ça n’a pas l’air d’avancer très vite, commandant Horos. / Tout semble se dérouler normalement, professeur Zuril. Horos : Ne vous inquiétez pas. Tout a été prévu au millimètre. Ça va être un jeu d’enfants. / Ça m’en a tout l’air. Attendez sagement nos ordres, chères petites capsules.

Au camping, Actarus joue de la guitare. (Musique de fond : « Chi-i sana ainohuta » sans les paroles) Riguel : Ah, j’adore la musique. Tiens, plus Alcor est fatigué plus il mange. / Eh ben. Ton ventre a ses limites, fais un peu attention. Vénusia : Le ciel, la musique, les étoiles. Qu’est-ce que c’est romantique ! / Un air de guitare sous les étoiles, c’est si romantique. Riguel : Les enfants, ça me rappelle ma jeunesse. C’était le bon temps. Allons Mizar, souris. / Ah, ce qu’on est bien ! Alcor : Je vais aller faire un tour. Qui m’aime me suive. / J’ai bien mangé. Je vais marcher pour digérer. Un peu plus tard, il est assis sur des rochers face au lac. Mizar le rejoint. Mizar : Salut. / Salut. Alcor : C’est toi. Tu viens te reposer avec moi ? / C’est toi, Gorô ? Mizar : Dis Alcor ? / Kôji. Alcor : Hum ?/ Oui. Mizar : Qu’est-ce que tu as ? / Tu es bizarre. Alcor : Moi ? Pourquoi ? / Comment ça ? Mizar : Tu as un drôle d’air aujourd’hui. Pourquoi t’as fait la course contre Actarus tout à l’heure ? / Tu es vraiment bizarre. Tout à l’heure, tu as roulé à toute vitesse. Alcor : Quelle course ? On est en promenade, pas en course. Je ne vois pas de quoi tu veux parler. / Désolé. Je me suis laissé aller sans savoir pourquoi. Mizar : Tu ne te souviens vraiment pas ? / Vraiment, tu ne sais pas ? Alcor : Non. Je ne me souviens vraiment pas. C’est embêtant d’avoir des trous de mémoire. C’est peut-être dû au traitement de choc que j’ai subi quand les hommes de Vega m’ont enlevé. / Non, ce n’est pas clair. Je suis nerveux, en fait. A force d’affronter les Forces de Vega, je dois fatiguer un peu. Mizar : Tu ne te souviens réellement de rien ? / Moi, je sais. Alcor : Non ! De quoi ? / De quoi ? Mizar : Dis donc, Alcor. Tu ne serais pas un peu amoureux de Vénusia ? / Kôji. Tu aimes ma sœur, n’est-ce pas ? Alcor : Quoi ? Est-ce que tu te fiches de moi ? Où as-tu été cherché ça ? (en pensée) On dit que la vérité sort de la bouche des enfants. Quel petit imbécile ! / Tu plaisantes ? Jamais de la vie. Je serais bizarre parce que j’aime Hikaru ? Certainement pas. Mizar : Alors c’est que tu dois être fou. / Dis, tu es fâché, Kôji ? Alcor : C’est toi qui es malade. / Pas du tout ! Mizar : Pourquoi tu cries ? Tu m’as fait peur. / Tu me fais peur, Kôji. Alcor : Excuse-moi, Mizar. Je suis touché que tu t’inquiètes de ma santé mais rassure-toi, je suis seulement un peu fatigué. / Désolé, Gorô. Je te cause du souci. Je suis fatigué, rien de plus. Mizar et Alcor poussent une exclamation en voyant des phares au loin. Alcor : Des motards ! / Une bande de motards. Mizar : Oh, ils se dirigent vers notre campement. / Ils se dirigent vers le camp. Riguel : Allez jouer ailleurs, sauvages ! / Qu’est-ce que vous nous voulez ? Alcor : Mizar, ne bouge surtout pas ! Actarus ! / Gorô, reste ici sans bouger. Daisuke ! Actarus : Tais-toi ! Ils ne sont pas dangereux. / On a des casse-pieds. Alcor : Tu crois ça ? Ne les sous-estime pas. Donne-moi ça. / Tu n’as pas l’air concerné. Passe-moi ça. Bon sang, je vais leur botter les fesses. Riguel : S’ils continuent, je vais les pulvériser. Allons-y Alcor. Si ce n’est pas malheureux de voir ça. / Bien dit ! Donnons une leçon à ces voyous. Danbei vient en renfort ! Actarus : Non, restez tranquille. Alcor ! / Attendez ! Danbei ! Riguel : Arrêtez ! / En avant ! Actarus : Alcor, reste ici. Mais tu es fou ! / Stop ! Arrête, Kôji. Alcor : Toi, fiche-moi la paix. / Ne me retiens pas, Daisuke. Vénusia : Alcor ! Je t’en prie. Fais ce que te dis Actarus. / Kôji ! Arrête, écoute ce que dit Daisuke ! Alcor : Oh, toi, la barbe ! / Bon sang. Pousse-toi, Daisuke ! Vénusia : Tu es fou. Arrête-toi. / Kôji, arrête ! Riguel : Je vais prendre les choses en main. Vous allez arrêter de jouer tous les deux ? / Ah, c’est insensé ! Ça suffit ! Alcor : Tu veux toujours que je reste tranquille ? / Et on ne devrait pas réagir ? Actarus : Oui. Ou je te casse la figure. / Exactement. Ne bouge pas. Alcor lance la guitare qu’Actarus rattrappe. Alcor : Y en a marre ! Les motards s’arrêtent en les entourant. Motard : Alors, vous voulez camper tranquillement ? Vous ignorez sans doute que vous êtes sur mon territoire. / C’est plus sage de ne pas nous tenir tête. Maintenant, vous allez nous libérer la place. Alcor : Salut. / Bon sang. Chef motard arrive : Qui c’est ceux-là ? / Que faisaient-ils ? Motard : Des gens qui campent dans les bois, c’est tout. / Ils campaient. Il n’y a plus de souci. Chef motard : Laissons-les. / Très bien. Motard à Horos : Rien de particulier à signaler dans le secteur. Nous sommes prêts. / Ici, section d’espions de Vega. Tout est prêt. Minos : L’opération parait bien engager. / Ça y est, professeur Zuril. Ordi d’Horos : Nos engins ont rejoint le point de rassemblement sans avoir été repéré par les radars ennemis. / Les capsules sont arrivées à bon port sans être repérées par l’ennemi. Minos : Bien, nous allons donc pouvoir procéder très vite à l’attaque du Centre de Recherches. / Parfait, l’attaque du Centre Spatial ne tardera plus. Les capsules tombent dans le lac, elles s’ouvrent pour laisser sortir du matériel qui se rattache en golgoth.

Alcor est sur sa moto, il slalome sur la route. Il croise une voiture avec des filles. Alcor : Bonsoir mesdemoiselles. / Tout va bien ? Demoiselle 1 : Quel rodéo ! Vous avez failli nous expédier en enfer. / Faites attention ! On a bien cru qu’on allait y passer. Alcor : Excusez-moi, jolies comme vous êtes, cela aurait été dommage. / Désolé, je me suis laissé aller. Demoiselle 2 : Oh vous n’êtes qu’un vil flatteur. / Oh, vous êtes conciliant. Alcor : Non, je suis un gentilhomme. A un de ces quatre. Au revoir. / Oh, pas tant que ça. Faites attention. Bye ! Les filles : A vous de faire attention. Alcor va jusqu’en haut d’une montagne. Alcor :Ça fait du bien de respirer. Mais, qu’est-ce que c’est que ça ? / A fond ! Je me sens mieux. Qu’est-ce que c’est ? Se pourrait-il que… Les filles sont poursuivies par les motards. Alcor : Arrêtez ! Arrêtez ! Bandes de sauvages. Fichez-moi le camp d’ici. / Arrêtez ! Stop ! Là, vous allez trop loin ! Ça ne passe plus ! Vous allez voir ! Chef motard : Allez, attrapez-le ! / Débarrassez-vous de lui ! Il est bousculé à moto et tombe. Il est ébloui par les lumières Chef motard : Jeune homme, tu vas mourir. / Tu vas voir, blanc-bec ! Actarus arrive. Chef motard : Allez vite repliez-vous. / On se replie ! Alcor : On se reverra. / Ça vous apprendra ! Actarus : Alcor ! / Kôji. Alcor : C’est toi. Je faisais un peu d’exercices avant d’aller me coucher. / Salut ! Je faisais juste un peu d’exercice. Les filles : Vous n’avez rien ? Ils auraient pu vous tuer. / Vous nous avez défendues. Vous êtes blessé ! Alcor : Mais non, mais non.

Au matin. Un missile se dirige vers le Centre. Argoli : Prof, voilà des ovnis. / Prof, un missile ! Procyon : Encore ! / Quoi ? Argoli : Ils se dirigent droit sur le Centre. / Il se dirige vers le Centre. Procyon : Déclenchez immédiatement l’alerte rouge. / Passez en mode défensif. Actarus du camping : L’alerte rouge ! On remballe tout. Le Centre est attaqué. / Comment ? Le Centre est attaqué par des missiles ? Riguel : On n’est jamais tranquille. / Le Centre est attaqué ? Procyon : Actarus, je n’ai pas encore toutes les données. Mais il faudrait que tu fasses une sortie. / On ne sait pas d’où on nous attaque. Sors immédiatement avec Grendizer. Actarus : Oui, père. / Père ! Procyon : Rentre vite ! L’épreuve de force est imminente. / Les tirs continuent, fais vite ! Actarus : J’arrive tout de suite. / Compris. Riguel : Les enfants, on rentre à la maison. / Rentrons vite ! Mizar : Eh, où est passé Alcor ? / Kôji n’est pas là. Actarus : J’en sais rien. Alcor, réponds ! Alcor ! Est-ce que tu me reçois ? Réponds-moi ! / Quoi ? Kôji ! Kôji ! Kôji, réponds-moi. Alcor joue dans l’eau avec les filles. Il n’entend pas l’appel. Actarus : Il ne répond pas. On ne peut pas l’attendre. / Tant pis, on rentre sans lui. Riguel : Allez grimpe, fiston. Hop ! / Monte vite. Ils démarrent. Vénusia : Alcor, tu m’entends ? / Kôji ? Kôji ! Actarus se métamorphose et prend la route normal (alors que le Centre est attaqué donc sous les radars des ennemis ?) : Planitrons ! / Spin Saucer Vénusia : Vénusiak go ! / Marine Spazer, go ! Actarus : Vénusia, je m’occupe des missiles. Essaye de localiser leur rampe de lancement. / Hikaru ! Je m’occupe des missiles. Toi, trouve l’origine des tirs. Vénusia : Entendu ! / Bien reçu. Alcor rentre avec les filles et voit passer Vénusiak : Oh, c’est Vénusiak ! / C’est le Marine Spazer. Vénusia : Un missile vient de sortir du lac. / Les missiles partent du lac ! Elle est touchée et s’abat sur le sol. Vénusia : Actarus, j’ai trouvé la rampe. / Duke, j’ai trouvé d’où partent les missiles. Alcor arrive : Vénusia ! / Hikaru ! Hikaru, ressaisis-toi ! Vénusia : Actarus ! Je vais mourir, je vais mourir pour ta planète bleue. Actarus, ne l’abandonne pas. Il faut que tu leur tiennes tête. / Duke Fleed… Ça m’est égal de mourir… Duke Fleed, courage… Pour les autres… Alcor : Il n’y a que lui qui compte. Et moi alors ? Réveille-toi, je t’en prie. Mon dieu, qu’est-ce que je peux faire ? / Pour les autres ? Hikaru ! Hikaru, tu sais… C’est pour ça que je t’aime. Vénusia : Alcor ! Tu te souviens du bois où on avait dressé le campement ? Il y a un lac tout près. Les missiles partent de là. / Kôji ! Les missiles des Forces de Vega partent du lac près duquel on a campé ! Alcor : Tu en es sûre ? / Comment ? Vénusia : Alcor, il faut les prévenir. / Kôji, dépêche-toi. Alcor : Oui. / Compris. Vénusia décolle. Actarus : Vénusia, tu y es ? / Hikaru, on y va ! Vénusia : J’y suis. / Entendu. Actarus : Transfet ! Autolargue ! Renversement ! Assemblage ! Eloigne celui-là. / Chute in ! Dizer, go ! Scramble Turn ! Combination Cross ! Hikaru, à toi ! Vénusia : Missiles Omega ! / Marine Missile ! Actarus : La rampe doit être enterrée au fond du lac. Alcor, essaye de l’avoir avec Fossoirak. / Leur base a l’air d’être enterrée. Kôji ! Sors avec le Drill Spazer. Alcor : Bien reçu. / Bien reçu. Procyon : Fossoirak, prêt au décollage ? / Drill Spazer, stand by. Actarus : Missiles Beta ! / Hand Missiles ! Vénusia : Missiles Oméga ! / Marine Missiles ! //Paroles de Go, go Kôji Kimi wa uchuu no nekketsuji Tu es le cheval fougueux… De l’espace Wakai chikara de tosshin da Avec la force de ta jeunesse, tu pars à l’assaut. Tanomu zo Kouji Chishio ni moete Nous comptons sur toi… Seigi no kokoro de aku wo utsu Avec ton cœur épris de justice, tu pourfends le mal… Boku-ra no hoshi chikyuu wo mamore Défends notre planète, la Terre Sutaato Dasshu! GO! GO! GO! Démarre, pleine vitesse ! Go ! Go ! Go ! Omoikondara doko made mo Une fois que tu es déterminé, rien ne t’arrête. Kimi wa chikyuu no nekketsuji Tu es le cheval fougueux de la Terre… Wakai chishio de bakushin da

Makeru na Kouji Yuuki wo motte Heiwa wo negatte aku wo utsu Boku-ra no hoshi chikyuu wo mamore Sutaato Dasshu! GO! GO! GO!

[Instrumental] Tanomu zo Kouji Chishio ni moete Seigi no kokoro de aku wo utsu Boku-ra no hoshi chikyuu wo mamore Sutaato Dasshu! GO! GO! GO! // Actarus : Alcor, la base est enterrée. Attaque-là. / Kôji ! L’ennemi est sous terre. Attaque-le. Alcor : D’accord. Tarriéropulseur ! Vous allez apprécier. Missiles Alpha ! Actarus, je te laisse terminer le ménage. / Entendu. Drill on ! A nous, maudit Monstronef ! Drill Missiles ! Bon sang… Duke, à toi de jouer ! Actarus : Compte sur moi. Clavicogyre ! / Compte sur moi ! Shoulder Boomerang ! Vénusia : Missiles Oméga ! / Marine Missile ! Actarus : Astérohaches ! Hélicopunch ! Cornofulgure ! Ah zut, je me serais bien passé d’une panne. / Double Harkin ! Bon sang ! Screw Punch ! Space Thunder ! Enfer, il m’en empêche ! Alcor : Vénusia, couvre-moi. / Hikaru, avec moi ! Vénusia : D’accord. Missiles Omega ! / Entendu ! Marine Missiles ! Actarus : Cornofulgure ! Clavicogyre ! Hélicopunch ! / Bon sang… Space Thunder ! Shoulder Boomerang ! Screw Punch ! Quand le golgoth est détruit, Goldorak récupère Alcor et Vénusia sur ses mains. Ils se mettent à danser. Alcor : Oui, je suis amoureux de Vénusia. Mais je suis l’ami d’Actarus. Et rien ne doit nous désunir. Ce serait trop stupide. / J’aime Daisuke. J’aime aussi Hikaru. C’est bien comme ça. On fait partie de la même équipe.

Prochain épisode : Le démon caché dans les entrailles de la terre ! Des mouvements anormaux de la croûte terrestre ont été détectés. Ils sont dus à un Monstronef qui tente de détruire le Centre Spatial. Si on ne le stoppe pas vite, ce sera terrible. Grendizer, vient vite ! Seul, je ne suis pas de taille.