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Monsieur Vilak a écrit : ↑mer. déc. 30, 2020 21:58 pm

Ce son déchirant...
Je me demande si n'entend pas le RS202 dans Rémi.

Possible, les japonais avaient l'embarras du choix entre Roland, Korg & Yamaha qui faisaient aussi bien des cheap que des machines sublimes.
Des SCI, Moog ou ARP, on devait pas trop en entendre là-bas.

Concours de preset japonais!!!!!!

Seb, je te laisse choisir le vainqueur, moi mon choix est déjà fait!

KORG 900 PS (1975):


KORG 500 MICRO PRESET (1976 - version mini du 900 PS) :


ROLAND SH-1000 (1973) :


ROLAND SH-2000 (1974 - plus de preset, moins de fonctions que le SH-1000 et 10% + cher) :


YAMAHA SY-1 (1974) :


YAMAHA SY-2 (1975 - amélioration esthétique du SY-1, même son et même nombre de preset) :

J'aime pas trop ces synthés d'avant 1975, et encore. Je trouve que ça ressemble le plus souvent à des orgues électroniques qu'autre chose. Les sons sont les mêmes ou presque d'un clavier à l'autre, des espèces de pets synthétiques très limités, j'aime pas ça. Ça manque de belles grandes lead. Je préfère les claviers qui sont arrivés après 77, là ça commençait à être intéressant. Avant, mis à part quelques exceptions, c'est du bzzz fshhhh bip...

Ah c'est très typé c'est sur, mais ça a le charme désuet de cette période.

Je les trouve quand même différents.
Korg, ben c'est le son type, très flûte et organique.
Roland c'est un peu plus ciselé.
Et Yamaha, c'est à un côté plastique que j'aime beaucoup.
Mon préféré de tous est le 900PS.

Monsieur Vilak a écrit : ↑sam. déc. 19, 2020 12:22 pm Seb, toi qui aime le P-5, cette musique ne contient que lui :

-Vidéos de "L'aventure des plantes"

Joel Fajerman avait répondu à un membre du forum de synthés que je fréquente et qui dit :

"La mélodie et les accords sont au P5, et la séquence à l'ARP2600 si je me souviens bien de sa sympathique réponse...
Il me semble qu'il y avait aussi quelques arpèges au Minimoog..."

Korg ressort son mythique 700S (1974) !!!!!

Le premier synthé de Kitaro, The Cure, Daniel Miller et tant d'autres (meilleure ventes des 70's, une légende).

2000 euros, vous vous cotisez pour mon annif le 17 juillet?

J'en ai appris beaucoup plus sur la façon dont le groupe The Cure fonctionnait.

A leur début à la fin des années 70, légalement le groupe c'est Smith (chants & guitares), Tolhurst (batterie) et Dempsey (Basse), ses trois membres fondateurs.

Quand Dempsey et Smith/Tolhurst décident de ne plus travailler ensemble. Les deux derniers proposent au bassiste de lui laisser le nom "The Cure" et eux de redémarrer sous un autre nom. Dempsey a dit merci pour l'offre mais l'a déclinée.
Fin 79, Le groupe c'est donc Smith et Tolhurst.

Tous ceux qui viendront par la suite auront des contrats annexes de musiciens additionnels (le terme anglais est "contract performer") et n'auront aucun pouvoir décisionnaire sur la musique et le business du groupe. Même s'ils seront financièrement traités sur un pied d'égalité, ils resteront des employés, des exécutants, et seront donc virables à tout moment.

En 86, le contrat avec la maison de disque est arrivé à sa fin, les négociations sont serrées mais on re-signe avec les mêmes.... Avec un gros changement.
Désormais, The Cure, c'est Smith tout seul car Tolhurst, dont la productivité, le professionnalisme et le bon sens suivent une pente effrayante, se voit proposer et signe un contrat annexe. Il devient donc un musicien additionnel, n'a plus son mot à dire sur la musique et le business du groupe. Comme les autres, il est devenu un employé de la société "Smith Music" et peut être viré à tout moment (ce qui arrivera en 89).

Et désormais tout marchera comme ça, The Cure, c'est Smith, Il engage et vire qui il veut quand il veut et Il est le seul à décider de la direction musicale du groupe, du business, des tournées, de tout quoi.

Oh merci!

Eh bien moi je me suis offert un Korg Minilogue XD et je peux vous dire que je m'amuse beaucoup avec.

Pas mal! J'avais acheté un mini clavier Akai en 2015, un truc rouge avec de gros pads dessus. J'avais pas le temps de m'en occuper, je l'ai revendu.
J'ai plus le temps pour ça, c'est triste.