WWW.GOLDORAKGO.COM

Review :

http://super-shogun.blogspot.fr/2016/02 ... ments.html" onclick="window.open(this.href);return false;

vieux vieux souvenir...

Je ne l'ai jamais eu personnellement.

Mon dieu que c'est vieux tout ça... J'ai eu un mal de chien à le revendre ce truc, même dans l'état où il était. Les maths, c'est vraiment le turn off...

donne ca a un gamin maintenant, il te le renvoi en pleine tronche.

Pambou a écrit : ↑mar. sept. 17, 2019 16:27 pm donne ca a un gamin maintenant, il te le renvoi en pleine tronche.

Et oui les temps changent...

Pourtant on les aimait nous ces joujoux là!

Pambou a écrit : ↑mar. sept. 17, 2019 16:27 pm donne ca a un gamin maintenant, il te le renvoi en pleine tronche.

Et il aura raison! Comme je hais les maths... J'ai encore en tête le nom de certains profs que j'ai eu, j'espère qu'ils sont morts et qu'ils ont souffert comme ils m'ont fait souffrir!

Les maths, le calcul, les chiffres ont toujours été mon cauchemar...

Récemment, je suis tombé sur ce livre de vulgarisation, sorte de «maths pour les nuls» :



J'avoue avoir été accroché par la formule «Si vous n'avez jamais rien compris aux maths, s'il vous est même arrivé de les détester, que diriez-vous de leur donner une seconde chance ? Vous risqueriez d'être surpris...».

J'ai donc eu envie de la leur donner, cette seconde chance et j'ai lu le livre.
Au début, c'était : «Ouais, génial ! Ça, je comprends enfin !». L'ABC, ça allait sans problème, c'était même plaisant...
Et puis, au fil des chapitres, c'est devenu de plus en plus nébuleux. Équations, nombres complexes, nombres imaginaires, logarithmes, trigonométrie...
Et très vite, la conclusion s'est imposée d'elle-même : je suis à jamais perdu pour les maths.

Cela dit, je ne regrette absolument pas la lecture de ce livre, agréablement écrit et réellement instructif car chaque domaine des maths, qu'on le comprenne ou non, est replacé dans son contexte historique. L'auteur a aussi fait œuvre d'historien et, sur ce plan, j'y ai trouvé mon compte et mon plaisir.

Pour le reste, je détestais les maths... et je les déteste toujours autant !

Chaque matière a ses profs peau de vache mais j'ai vraiment remarqué que question sadisme, les maths attiraient bien plus les tortionnaires. J'ai pas le souvenir d'avoir eu dans ma scolarité un prof du même niveau de sadisme qu'un prof de maths, ou alors c'était moi qui en rajoutais tellement cette matière (fécale) me révulsait. Mais je ne pense pas. Ils prenaient plaisir à te poser des question-piège pour mieux t'humilier ou te punir. Jamais je n'oublierai ma classe de 6e 83/84 et "soutien de maths" le lundi matin en première heure avec une tarée qui distribuait punitions et mandales si tu ne répondais pas bien. Je les hais, je veux les voir morts!

De mon côté j'ai toujours adoré les maths. C'était de très loin ma matière préférée avec le français et le sport.
En français j'aimais moins étudier la grammaire et l’orthographe mais j’essayais de m’appliquer. J'aimais surtout lire, rédiger, disserter...
En maths j’aimais tout. Je ne connais pas ce M. Launay mais il a raison quand il écrit que les maths sont poétiques.
C'est l'histoire que je détestais. Je n'ai jamais compris l’intérêt d'apprendre des dates par cœur.
Je ne connaissais même pas avec certitude la date de naissance de mes parents et il fallait que j'apprenne par cœur celle d'un dictateur comme Napoléon ?
Mais qu'est-ce que ça peut bien foutre qu'il soit né le 15 août 1769 et pas le 17 ? Ben ça fait deux points en moins.
Je n'ai jamais compris comment on pouvait aimer l'histoire et pire comment on pouvait avoir l'idée de l'enseigner.

Ah ben perso c'est exactement le contraire (je suis passionne d'Histoire), mais l'Histoire ce n'est pas ca. Apprendre les dates n'a aucun interet, je suis d'accord avec toi. Ce qui est passionnant, c'est la vie tant des grands personnages que du peuple d'autrefois, des differents evenements qui ont mene a telle ou telle chose, de ce qui a fonde le monde tel que nous le connaissons aujourd'hui, c'est aussi l'etude de la mentalite des gens des siecles precedents, de leur rapport au monde...
Connaitre a peu pres les periodes est evidemment necessaire pour recontextualiser mais la date exacte on s'en fout totalement. Je serais bien incapable de te donner les dates de naissance et de mort de Louis XIV, mais je sais en gros que c'est 1ere moitie du XVII-debut du XVIII, et ca suffit largement.


De la meme maniere, il y a maths et maths. C'est un domaine tres vaste qui englobe de nombreuses sous-categories.
L'algebre de base (addition, soustraction, etc) ne me pose aucun probleme, et j'espere qu'il en est de meme pour l'ecrasante majorite de la population, sinon ca rend la vie quotidienne tres difficile (ne serait-ce que pour tenir un budget). Les regles de proportionnalite, c'est a la portee du premier venu aussi et ca rend souvent service.
Maintenant le reste... Je suis incapable d'aller plus loin. La geometrie particulierement, etait mon cauchemar au lycee. Et des qu'on utilise des symboles autres que +-*÷ pour moi c'est aussi lisible que des ieroglyphes egyptiens.

J'ai dû tomber sur des profs d'histoire de la vieille école qui m’ont fait détester la matière.
Il est certain que la sociologie m'aurait plus passionné qu'apprendre bêtement des dates par cœur.

Y'a pas mieux pour te faire détester l'histoire que de te faire apprendre par coeur des dates à la con... C'est comme le français avec ses dictées ou la géographie avec ses fleuves et embouchures... Ça intéresse personne. Ou te filer un pipeau pour la musique.

D’accord avec toi sauf sur les dictées.
C'était chiant sans doute, mais c'est grâce aux dictées que l'on peut communiquer ensemble plus facilement sur ce forum par exemple.
Tu peux faire un contresens ne serait-ce qu'avec une virgule, tout le monde connaît cet exemple :
"Et si on mangeait les enfants ?" "Et si on mangeait, les enfants ?"

Alors je ne suis pas un Ayatollah de l'orthographe et je fais sans doute encore pas mal de fautes !
Mais enfin quand tu lis ça :







Bon après, les fautes peuvent être drôles :

J'ai été un très mauvaise élève, toute ma scolarité a été un cauchemar. Maintenant je peux analysé que j'étais très immature, que je ne comprenais pas ce qu'on attendait de moi. En sport j'étais nul. Je n'étais bon que dans les matières ou il y avait de l'oral. Donc, le Français.
Avoir son BAC me semblait être l'horizon à atteindre et je croyais qu'après on me laisserai tranquille.

J'ai pas le souvenir que les prof de maths aient été sadiques. Plus les prof de sciences physiques ou d'Allemand.

Il doit y avoir des problèmes de pédagogie, parce que j'étais à peine bon en histoire alors que j'adore l'histoire. Je peux m'intéresser à tout par ce prisme. L'histoire du bidet au XX sciecle, l'histoire des idées, l'histoire de l'étrier, des animes japonais. Je suis même devenu un connaisseur des champions de la musique d'ascenseur des années 70/80 sans avoir écouté leurs disques mais je peux en parler.

Effectivement, je ne connais pas les dates, mais je connais les périodes, à 10/20 ans près. Si en plus j'ai des images en tête qui coïncident avec ce que j'apprends, c'est encore mieux. J'ai toujours l'impression que mon cerveau est comme une console de jeux et que plus j'ai d'infos et d'images mieux je rêve, je visualise.

Je suis très faible sur l'histoire du Japon et même de l'Asie en général. Mais je connais mieux depuis 3 ans, les dessous du show biz Nippon, les lieux de concerts, les cabarets de luxe de l'ère showa, avec leurs hôtesses, leurs espions.
Je n'aime pas trop l'après-guerre, mais je suis avide de tout ce qui touche au Japon de 1955 à 80.

fugazi a écrit : ↑mer. sept. 18, 2019 11:14 am D’accord avec toi sauf sur les dictées.
C'était chiant sans doute, mais c'est grâce aux dictées que l'on peut communiquer ensemble plus facilement sur ce forum par exemple.
Tu peux faire un contresens ne serait-ce qu'avec une virgule, tout le monde connaît cet exemple :
"Et si on mangeait les enfants ?" "Et si on mangeait, les enfants ?"

Je suis d'accord, c'est en écrivant qu'on apprend le mieux mais ça n'empêche pas que les dictées cassent les couilles à tout le monde, surtout que ces textes ne sont jamais intéressants à écrire. Ça m'emmerdait tellement que moi et mes potes en 3e faisions des fautes exprès dedans et c'est celui qui en avait le plus à la correction qui gagnait...