"Deus Ex Machina". 6 parties, terminé.
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Re: Deus Ex Machina - Récit
CINQUIEME PARTIE:
Nous partons pour le Ranch en fin de matinée comme convenu.
-Tu sembles nerveux, mon garçon !
-Depuis que je suis arrivé, je n’ai jusque là rencontre que des médecins, des politiciens et des ingénieurs, c’est ma première visite de courtoisie depuis longtemps...
-Tu sais Actarus, ce Ranch et ces terres m’appartiennent de moitié et, puisque tu es mon fils, tu y es aussi chez toi.
-C’est donc le fermier, ce Rigel qui en est possède l’autre moitié ?
-Fermier ? Oh mon Dieu, m’étouffant de rire, ne prononce jamais ce mot devant lui !!!
Il est un cow-boy et il tient à ce titre. C’est mon père qui lui a appris l’amour des bêtes. Il a pas mal bourlingué dans sa jeunesse aux Etats-Unis. Il en est revenu riche avec à son bras une ancienne Miss Texas. Grâce à cet argent, nous avons beaucoup agrandi les terres de ma famille et tandis que j’y créais le Centre, il y bâtissait ce Ranch.
Il a du sang de cheval dans les veines et un lasso à la place des os. Tu vas voir, c’est un sacré personnage. Tout le monde l’aime dans la région malgré son fichu caractère.
Malheureusement, il a eu son lot de malheur lui aussi. Il y a quelques temps, sa femme a été emportée par une leucémie en lui laissant deux beaux enfants. Même s’il fait face et n’en laisse rien paraître, il en souffre énormément.
Ce drame lui a quelque peu fêlé la tête et même s’il reste encore et de loin le meilleur éleveur de chevaux du pays, il attend désormais l’arrivée des extraterrestres...
-Oh, je devrais peut-être alors revêtir mon costume de Prince ? dit-il dans un sourire.
Je me retourne vers lui, étonné, et manque de nous envoyer dans le décors.
-Mon fils, tu fais de l’humour ? ? ? Je lui rétorque un peu moqueur, les yeux exagérément exorbités.
Décidément, cette journée est un délice...
Nous arrivons et je gare la Jeep et nous descendons.
-Allo Allo, ici Rigel, hommes de l’espace vous m’entendez ? trompettent les haut-parleurs.
-Et bien l’ancien, toujours pas de réponse ? dis-je amusé.
Un visage de bouffon s’avance au dessus de la rambarde du mirador qui trône au milieu de la cour.
-Ah te voilà faux frère, tu es encore venu me narguer et me faire respirer les secrets que tu me caches hein ?
-Pas du tout, je ne te cache aucun secret. Je suis venu te présenter mon fils.
-Ton fils ? Ton fils ? ? ? ? ? ? ? Ah mais tu vois que tu me caches des choses, j’arrive ! ! !
Tel un singe, le vieil homme qui semble débordant d’une incroyable énergie glisse le long de l’échelle et se plante devant nous.
-Ton fils... dit-il en tournant autour d’Actarus, l’examinant comme un marchant examine un esclave. Ah ça c’est une surprise. Comment se fait-il que tu ne m’en ais jamais parlé, moi qui t’ai tenu sur mes genoux quand tu étais tout bébé ?
-J’ai adopté Actarus quand il a perdu ses parents, c’est très récent, dis-je pour couper court. Peut-être un jour t’en dira-t-il plus mais pour l’instant, ce n’est pas un sujet qu’il est souhaitable d’aborder.
Est-ce la solidarité des orphelins du cœur qui parle ? Je l’ignore mais je vois immédiatement se dessiner sur le visage de mon vieil ami une empathie sincère pour mon fils.
-Bien, répond Rigel, je n’en demanderai pas plus. Il est bientôt l’heure de passer à table, venez, je vous ai fait préparer un bon repas.
Nous entrons dans un grande salle à manger de type western, avec des bancs en bois de chaque coté d’une longue table assortie. Rigel nous sert cérémonieusement le Saké.
-Dis donc prof, c’est quoi tous ces camions qui depuis quelques jours bombardent ton labo ?
Je regarde Actarus du coin de l’œil.
-Et bien le gouvernement nous a confié une mission sur la recherche spatiale, nous avons besoin de beaucoup de matériel et il nous l’envoie, voilà tout.
-Est-ce que cela a un rapport avec les extraterrestres ? Demande-t-il avec une curiosité gourmande.
-Non, répond Actarus tandis qu’un éclair de haine passe dans ses yeux, les extraterrestres ne semblent pas encore s’intéresser à nous.
-Et bien il ont tort, nous les accueillerions avec joie. Nous savons recevoir tu sais. Je suis sur qu’ils ne connaissent pas le Whisky et qu’ils s’en régaleraient !
En disant cela, il part chercher une poussiéreuse bouteille et s’en sert une grande rasade.
-Ahhhh, j’ai acheté cette bouteille, et quelques une de ses sœurs (clin d’œil), le jour où j’ai rencontré ma défunte épouse, dans une boutique de Houston, c’est vous dire s’il est bon.
Notre discussion va d’un sujet à l’autre pendant un moment quand soudain nous entendons une porte qui s’ouvre. Quelques bruits de pas suivent puis un petit garçon qui doit avoir autour de cinq ans ainsi qu’une jeune adolescente inondent la pièce de leur bonheur innocent.
-C’est nous ! ! ! ! ! !
-Ah mes enfants, venez, venez, nous avons des invités.
-Oh, Oncle Procyon ! ! ! dit le plus jeune en se jetant dans ses bras.
-Bonjour Mizar, alors tu as bien travaillé à l’école ?
-Oh oui, j’ai fais un beau dessin de ton labo, la maîtresse m’a félicité.
-C’est merveilleux, tu me le montreras ce dessin j’espère ?
-Oh oui, regarde il est dans mon cartable mais je le garde pour ta fête.
-Merci mon petit. Et toi, Vénusia, toujours première de ta classe ?
-Oui, nous étudions l’alimentation des ruminants en ce moment, c’est assez facile pour moi.
-C’est bien ! Mais je ne vous ai pas présenté. Mizar, Vénusia, voici Actarus, mon fils.
-Bonjour, intervient Actarus avec un sourire apaisé que je ne lui avais jamais vu jusque là.
-Bonjour, répond Vénusia, rougissant plus que de mesure ce qui fait grogner son père.
-Bonjour, dit Mizar en avançant sa main, mais si tu es le fils de tonton, nous sommes cousins alors ! ! !
Les heures qui suivent sont un bonheur pour moi. Je vois pour la première fois mon fils détendu, insouciant et souriant.
Le repas est simple mais délicieux. Nous qui ne mangeons que des barquettes précuites au Centre, nous dégustons un riz extraordinaire parfumé à l’amour paternel par celui qui nous accueille.
Nous faisons tous ensembles le tour du Ranch et je suis médusé de voir Actarus caresser les chevaux et de voir ceux-ci se laisser faire. Je sais que la race qu’élève Rigel est particulièrement sauvage et le vieil homme est vraiment très impressionné de la docilité des équidés envers Actarus.
-Mais mon garçon, dit-il, tu as un don, je n’ai jamais vu ça. Ou alors tu as déjà eu des chevaux auparavant.
-Non, jamais. J’en ai monté quelques uns mais je n’en ai jamais eu. Ce sont de gentilles bêtes que vous avez là.
En entendant ces mots, Rigel manque de s’étrangler tandis que le plus fougueux de ses chevaux mange paisiblement une poignée d’herbes à même la main d’Actarus.
Nous partons pour le Ranch en fin de matinée comme convenu.
-Tu sembles nerveux, mon garçon !
-Depuis que je suis arrivé, je n’ai jusque là rencontre que des médecins, des politiciens et des ingénieurs, c’est ma première visite de courtoisie depuis longtemps...
-Tu sais Actarus, ce Ranch et ces terres m’appartiennent de moitié et, puisque tu es mon fils, tu y es aussi chez toi.
-C’est donc le fermier, ce Rigel qui en est possède l’autre moitié ?
-Fermier ? Oh mon Dieu, m’étouffant de rire, ne prononce jamais ce mot devant lui !!!
Il est un cow-boy et il tient à ce titre. C’est mon père qui lui a appris l’amour des bêtes. Il a pas mal bourlingué dans sa jeunesse aux Etats-Unis. Il en est revenu riche avec à son bras une ancienne Miss Texas. Grâce à cet argent, nous avons beaucoup agrandi les terres de ma famille et tandis que j’y créais le Centre, il y bâtissait ce Ranch.
Il a du sang de cheval dans les veines et un lasso à la place des os. Tu vas voir, c’est un sacré personnage. Tout le monde l’aime dans la région malgré son fichu caractère.
Malheureusement, il a eu son lot de malheur lui aussi. Il y a quelques temps, sa femme a été emportée par une leucémie en lui laissant deux beaux enfants. Même s’il fait face et n’en laisse rien paraître, il en souffre énormément.
Ce drame lui a quelque peu fêlé la tête et même s’il reste encore et de loin le meilleur éleveur de chevaux du pays, il attend désormais l’arrivée des extraterrestres...
-Oh, je devrais peut-être alors revêtir mon costume de Prince ? dit-il dans un sourire.
Je me retourne vers lui, étonné, et manque de nous envoyer dans le décors.
-Mon fils, tu fais de l’humour ? ? ? Je lui rétorque un peu moqueur, les yeux exagérément exorbités.
Décidément, cette journée est un délice...
Nous arrivons et je gare la Jeep et nous descendons.
-Allo Allo, ici Rigel, hommes de l’espace vous m’entendez ? trompettent les haut-parleurs.
-Et bien l’ancien, toujours pas de réponse ? dis-je amusé.
Un visage de bouffon s’avance au dessus de la rambarde du mirador qui trône au milieu de la cour.
-Ah te voilà faux frère, tu es encore venu me narguer et me faire respirer les secrets que tu me caches hein ?
-Pas du tout, je ne te cache aucun secret. Je suis venu te présenter mon fils.
-Ton fils ? Ton fils ? ? ? ? ? ? ? Ah mais tu vois que tu me caches des choses, j’arrive ! ! !
Tel un singe, le vieil homme qui semble débordant d’une incroyable énergie glisse le long de l’échelle et se plante devant nous.
-Ton fils... dit-il en tournant autour d’Actarus, l’examinant comme un marchant examine un esclave. Ah ça c’est une surprise. Comment se fait-il que tu ne m’en ais jamais parlé, moi qui t’ai tenu sur mes genoux quand tu étais tout bébé ?
-J’ai adopté Actarus quand il a perdu ses parents, c’est très récent, dis-je pour couper court. Peut-être un jour t’en dira-t-il plus mais pour l’instant, ce n’est pas un sujet qu’il est souhaitable d’aborder.
Est-ce la solidarité des orphelins du cœur qui parle ? Je l’ignore mais je vois immédiatement se dessiner sur le visage de mon vieil ami une empathie sincère pour mon fils.
-Bien, répond Rigel, je n’en demanderai pas plus. Il est bientôt l’heure de passer à table, venez, je vous ai fait préparer un bon repas.
Nous entrons dans un grande salle à manger de type western, avec des bancs en bois de chaque coté d’une longue table assortie. Rigel nous sert cérémonieusement le Saké.
-Dis donc prof, c’est quoi tous ces camions qui depuis quelques jours bombardent ton labo ?
Je regarde Actarus du coin de l’œil.
-Et bien le gouvernement nous a confié une mission sur la recherche spatiale, nous avons besoin de beaucoup de matériel et il nous l’envoie, voilà tout.
-Est-ce que cela a un rapport avec les extraterrestres ? Demande-t-il avec une curiosité gourmande.
-Non, répond Actarus tandis qu’un éclair de haine passe dans ses yeux, les extraterrestres ne semblent pas encore s’intéresser à nous.
-Et bien il ont tort, nous les accueillerions avec joie. Nous savons recevoir tu sais. Je suis sur qu’ils ne connaissent pas le Whisky et qu’ils s’en régaleraient !
En disant cela, il part chercher une poussiéreuse bouteille et s’en sert une grande rasade.
-Ahhhh, j’ai acheté cette bouteille, et quelques une de ses sœurs (clin d’œil), le jour où j’ai rencontré ma défunte épouse, dans une boutique de Houston, c’est vous dire s’il est bon.
Notre discussion va d’un sujet à l’autre pendant un moment quand soudain nous entendons une porte qui s’ouvre. Quelques bruits de pas suivent puis un petit garçon qui doit avoir autour de cinq ans ainsi qu’une jeune adolescente inondent la pièce de leur bonheur innocent.
-C’est nous ! ! ! ! ! !
-Ah mes enfants, venez, venez, nous avons des invités.
-Oh, Oncle Procyon ! ! ! dit le plus jeune en se jetant dans ses bras.
-Bonjour Mizar, alors tu as bien travaillé à l’école ?
-Oh oui, j’ai fais un beau dessin de ton labo, la maîtresse m’a félicité.
-C’est merveilleux, tu me le montreras ce dessin j’espère ?
-Oh oui, regarde il est dans mon cartable mais je le garde pour ta fête.
-Merci mon petit. Et toi, Vénusia, toujours première de ta classe ?
-Oui, nous étudions l’alimentation des ruminants en ce moment, c’est assez facile pour moi.
-C’est bien ! Mais je ne vous ai pas présenté. Mizar, Vénusia, voici Actarus, mon fils.
-Bonjour, intervient Actarus avec un sourire apaisé que je ne lui avais jamais vu jusque là.
-Bonjour, répond Vénusia, rougissant plus que de mesure ce qui fait grogner son père.
-Bonjour, dit Mizar en avançant sa main, mais si tu es le fils de tonton, nous sommes cousins alors ! ! !
Les heures qui suivent sont un bonheur pour moi. Je vois pour la première fois mon fils détendu, insouciant et souriant.
Le repas est simple mais délicieux. Nous qui ne mangeons que des barquettes précuites au Centre, nous dégustons un riz extraordinaire parfumé à l’amour paternel par celui qui nous accueille.
Nous faisons tous ensembles le tour du Ranch et je suis médusé de voir Actarus caresser les chevaux et de voir ceux-ci se laisser faire. Je sais que la race qu’élève Rigel est particulièrement sauvage et le vieil homme est vraiment très impressionné de la docilité des équidés envers Actarus.
-Mais mon garçon, dit-il, tu as un don, je n’ai jamais vu ça. Ou alors tu as déjà eu des chevaux auparavant.
-Non, jamais. J’en ai monté quelques uns mais je n’en ai jamais eu. Ce sont de gentilles bêtes que vous avez là.
En entendant ces mots, Rigel manque de s’étrangler tandis que le plus fougueux de ses chevaux mange paisiblement une poignée d’herbes à même la main d’Actarus.
Prend Goldorak, parles-en, rassemble les gens qui partagent cette passion et rend la plus vivante.
Au final, il y aura encore plus de Goldorak pour toi-même et pour le monde.
Merci Monsieur Huchez...
WIKIRAK
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- ActarusProcyon
- Grand Goldorak
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Re: Deus Ex Machina - Récit
je me régale toujours autant à te lire...
nous sommes tous nés pour mourir un jour, n'est ce pas ?...
Re: Deus Ex Machina - Récit
C'est un pur plaisir de te lire Christian
- Gurendaizä
- Grand Goldorak
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Re: Deus Ex Machina - Récit
Magnifique ! Enfin un peu de bonheur pour Actarus !
J'aime beaucoup le passage où tu racontes le passé de Rigel, la série ne l'évoque pratiquement pas.
Vivement la suite !!!
J'aime beaucoup le passage où tu racontes le passé de Rigel, la série ne l'évoque pratiquement pas.
Vivement la suite !!!
グレンダイザー
- Monsieur Vilak
- Grand Goldorak
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Re: Deus Ex Machina - Récit
Merci.Gurendaizä a écrit :Magnifique ! Enfin un peu de bonheur pour Actarus !
J'aime beaucoup le passage où tu racontes le passé de Rigel, la série ne l'évoque pratiquement pas.
Vivement la suite !!!
Oui j'ai essayé de recomposer le passé de Rigel avec le peu qui en est dit dans la série.
Pour la suite il va vous falloir encore un peu de patience, mon temps libre est bouffé par d'autres loisirs...
Prend Goldorak, parles-en, rassemble les gens qui partagent cette passion et rend la plus vivante.
Au final, il y aura encore plus de Goldorak pour toi-même et pour le monde.
Merci Monsieur Huchez...
WIKIRAK
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- Gurendaizä
- Grand Goldorak
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Re: Deus Ex Machina - Récit
Je patienterai en attendant je te souhaite de bonnes vacances ! (à moins que ce soit déjà bien entamé, comme moi ! )
グレンダイザー
Re: Deus Ex Machina - Récit
On patientera
Homnorak
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Re: Deus Ex Machina - Récit
Promis, je serai sage comme une image
- Monsieur Vilak
- Grand Goldorak
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- Enregistré le : lun. janv. 02, 2006 23:32 pm
Re: Deus Ex Machina - Récit
babeth a écrit :Promis, je serai sage comme une image
Tu parles!!!!!!!!
Prend Goldorak, parles-en, rassemble les gens qui partagent cette passion et rend la plus vivante.
Au final, il y aura encore plus de Goldorak pour toi-même et pour le monde.
Merci Monsieur Huchez...
WIKIRAK
Au final, il y aura encore plus de Goldorak pour toi-même et pour le monde.
Merci Monsieur Huchez...
WIKIRAK
Re: Deus Ex Machina - Récit
Bon d'accord Christian : Je ne serais pas trop sage
Mais comment as-tu su que je n'étais pas très sage comme une image ?
Mais comment as-tu su que je n'étais pas très sage comme une image ?
- Gurendaizä
- Grand Goldorak
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Re: Deus Ex Machina - Récit
Gurendaizä a écrit :A cause du sujet des images détournées ?
Meuh non, je ne les détourne pas, elles parlent elles-mêmes c'est tout
- Gurendaizä
- Grand Goldorak
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- Monsieur Vilak
- Grand Goldorak
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Re: Deus Ex Machina - Récit
Bon pour la sixième partie j'ai du mal, ce sera sans doute la dernière.
Prenez patience...
Prenez patience...
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