Texte 65

De Wikirak

Un grand entre les grands / Kôji Kabuto, quitte ou double ! Base sous-marine Horos : Voici la Centrale de traitement d’hyperanium des terriens. Si nous arrivons à faire sauter cette centrale par vent de Nord-Ouest, la ville sera immédiatement recouverte de poussières mortelles. / Ici, se trouve un dépôt militaire de transuraniens en amont de Tôkyô. Des cendres radioactives couvriront Tôkyô si nous le faisons sauter quand souffle un vent de nord-ouest. Minos : Ce qui signifie que nous pourrons éliminer la population et nous emparer de la ville sans la détruire. Nous posséderions par conséquent la possibilité d’édifier une base pour l’invasion de la Terre. / Nous n’anéantirons que les humains et nous nous emparerons de Tôkyô intacte. Nous ferons alors de la ville notre base de conquête de la Terre. Horos : C’est exactement mon intention mais la Centrale est bien protégée. Non seulement par des barrières naturelles mais par un système de sécurité efficace. Elle est inattaquable tant par air et par terre. La seule solution est de lui introduire un espion qui implantera des explosifs. / C’est exactement ça. Mais ce dépôt militaire de transuraniens est entouré de plusieurs barrières. Les attaques terriennes ou aériennes sont impossibles. Il faut s’y infiltrer et le faire sauter. Minos : Commandant Sadone, vous avez entendu ? C’est vous qui serez chargé de mener à bien cette opération. / Capitaine Sadon ! Tu as tout entendu. Tu dirigeras l’unité qui détruira ce dépôt. Sadone : Minos, je ne crois pas être l’homme qu’il vous faut pour accomplir cette mission. / Général ! Malheureusement, je ne peux accepter cette mission. Minos : Comment ? / Quoi ? Sadone : La tâche pour laquelle j’ai été désignée est de détruire Goldorak et le Prince d’Euphor par tous les moyens. Ce n’est que dans ce but que j’ai suivi un entraînement intensif. / Mon objectif est d’abattre moi-même Grendizer avec un Végamonstre. Je m’y prépare jour et nuit avec le Végamonstre Zasu-Zasu. Minos : Je sais pertinemment tout cela. / Ça, je le sais ! Sadone : Alors ? / Dans ce cas… Minos : Silence ! J’ai décidé de vous charger de détruire cette centrale et je n’accepterai aucune échappatoire. En conséquence, commandant Sadone, exécution ! / Tais-toi ! Cette mission est cruciale. Je t’ai choisi car toi seul peux l’accomplir. C’est un ordre ! Pars, commandant Sadon. Sadone (voix off) : Imbécile, des mois d’entraînement réduit à néant. Quelle bêtise ! Décidément nous sommes commandés par des incompétents. Il faudra bien que ça change. / Malédiction… Il se moque de ma volonté et veut m’exploiter jusqu’au bout. Mais j’ai ma petite idée. Je vais m’en donner à cœur joie.

Centre Argoli : Oh, professeur ! / Qu’est-ce que c’est ? Procyon : Qu’y a-t-il, Argoli ? / Qu’y a-t-il, Hayashi-kun ? Argoli : Des missiles. Toute une bande de missiles s’approche de la ville. / Plusieurs missiles se dirigent vers Tôkyô ! Procyon : Quoi ? Leur position ? / Quoi ? Position ? Argoli : Dans le 304 noir à moins de 13mn 20 secondes de l’objectif. / Ils atteindront Tôkyô dans 13 min et 20 sec. La sirène retentit dans le Centre. Procyon : Alerte générale ! Patrouille des aigles, prête ? Des missiles s’approchent de la ville. Que chacun d’entre vous soit paré au décollage. / Grendizer Team. Déployez-vous immédiatement ! Des missiles se dirigent sur Tôkyô. Sortez tous les vaisseaux !

Chaque membre rejoint sa navette. Alcor : Cours plus vite, Phénicia. / Tu traines, Maria-chan. Phénicia : Oh mais rattrape-moi, si tu peux, si c’est tout ce que tu sais faire ! / Qui est lent ? Suis-moi vite ! Alcor : Attends-moi, tu n’es qu’une sale gamine. / Je fais ce que je veux ! Métamorphose. Phénicia : Phénicia, paré ! / Paré au décollage Alcor : Alcor, paré ! / Paré au décollage Vénusia : Vénusiak, paré ! / Paré au décollage Actarus : Goldorak, go ! / Grendizer, go ! Les trois : Alcorak, go ! Vénusiak, go ! Fossoirak, go ! / Double Spazer, go ! Marine Spazer, go ! Drill Spazer, go ! Actarus : Dites donc, c’est pas une bande c’est toute une armée. Ça ne va sûrement pas être du gâteau. Attaque dégroupée ! Allez, on fonce ! / Une dizaine de missiles s’approchent de Tôkyô. Il faut tous les abattre en vol. C’est une course contre la montre. Mettez les gaz. Filles : Bien reçu ! / Bien reçu ! Actarus : Ils seront sur la ville, dans 5 mn et 30 sec. Dépêchons-nous. Les voilà. Missiles à 12h. Cornofulgure ! Planitrons ! / Ils atteindront Tôkyô dans 5 min 30 sec. Dépêchez-vous ! Les missiles ! Missiles repérés ! Space Thunder ! Spin Saucer ! Alcor : Vénusia, Phénicia, vite ! Mortanium ! / Hika-chan, Maria-chan, vite ! Cyclone Beam ! Vénusia : Missiles Omega ! / Marine Missiles ! Phénicia : Missiles Sygma ! / En avant, Drill Missiles Actarus : Missiles Gama ! Faites attention, il faut les avoir tous. / Spin Drill ! N’en laissez pas un s’échapper ! Alcor : D’accord. Mortanium ! / Ok. Cyclone Beam ! Vénusia : Deltalame ! / Marine Cutter ! Actarus : Cornofulgure ! / Space Thunder ! Alcor : Vous direz ce que vous voudrez. A nous 4, on fait une sacrée équipe. Victorang ! Eh, vous avez vu ça ? Un autre à 9h. Toi, ça va être ta fête. Tiens, celui-là va beaucoup plus vite que ses copains. Missiles Alpha ! Et en voilà d’autres. Mais ça va durer longtemps ce cirque ? / L’équipe Grendizer tient le bon bout. Pas un missile ne passera ! Prenez ça ! Double Cutter ! Trop simple ! Loupé ! Misérable, tu ne m’échapperas pas ! Bon sang, il va vite. Double Missiles ! Rien à faire. Je dois plus m’approcher. Actarus : Allez, les filles, occupez-vous en ! / On a presque fini. Courage ! Vénusia : Bien, mon commandant. / Marine Missiles ! Phénicia : Eh, laisse-m’en un peu. / Drill Missiles ! Actarus : Bravo, mesdemoiselles. Planitrons ! / Parfait. Spin Saucer ! Vénusia : Je crois qu’on les a tous eus ! / Duke, on les a tous eus ? Actarus : Oui, oui, l’horizon a l’air dégagé. En formation ! Mais, où est Alcor ? / Oui, on les a tous détruits. Bravo à tous. Où est Kôji ? Phénicia : Quoi ? Mais il était derrière moi. Vénusia, tu ne l’as pas vu, dis-moi ? / Tiens, Kôji a disparu. Kôji a disparu ! Vénusia : Non. Où est-il passé ? / Que fait-il ? Phénicia : Il a été touché ! / Ne me dis pas que… Actarus : Pas de panique. S’il avait été touché, on s’en serait aperçu. / Ne sois pas stupide. Jamais il n’aurait été pris dans une explosion. Phénicia : Oh, alors, il est allé surement se promener. / Alors, où est-il passé ? Vénusia : Dans ce cas, il faut aller à sa recherche. / En tout cas, cherchons-le. Phénicia : Alcor ! / Kôji ! Actarus : Alcor ! / Kôji-kun ! Phénicia : Oh, quel sale gosse ! / Kôji ! Alcor : Oh, mais où est-ce qu’il va ? Il va vite en tout cas. Tiens ? Il a dépassé la ville ! Quel autre but peut-il bien avoir ? Bon, quel que soit sa cible, il faut que je le descende tout de suite. Oh ! Mortanium ! / Bon sang, je ne vais pas assez vite. Fonce, Double Spazer ! On a passé Tôkyô. Alors, ils ne visaient pas Tôkyô ? Mais quelle que soit sa cible, je dois vite l’abattre. Cyclone Beam ! Alors que la bombe explose en forêt, une navette se détache de la capsule de tête. Une maisonnette a été détruite par l’explosion Mère : Au secours ! Au secours ! / Tarô ! Tarô ! A l’aide ! Alcor : Ils sont vivants ! / Un enfant ! Mère : Au secours ! Mon enfant ! Sauvez-vous ! / Quelqu’un, à l’aide ! Vite ! Tarô !

Phénicia et Alcor sortent d’un hôpital. – Clinique Uchikawa. Alcor : Je suis vraiment désolé. Prenez soin de vous. Phénicia : Ne t’inquiète pas. Le docteur a dit qu’il ferait l’impossible pour sauver l’enfant. Mais voyons Alcor, qu’est-ce qui te prend. Tu sais bien que tu n’es pas responsable de ce qui est arrivé ! / Tout finit bien, Kôji. La blessure de Tarô est superficielle. Qu’est-ce que tu as, Kôji ? Le docteur a dit que Tarô ne risquait rien. Alcor : Si, je suis responsable. J’aurais dû attaquer et descendre ce missile beaucoup plus tôt et j’ai agis inconsidérément en quittant la patrouille. Rien ne serait arrivé avec vous à mes côtés. / Désolé. Si j’avais détruit ce missile en plein vol, on n’en serait pas là. Non, si je n’avais pas agi seul, rien de tout ça ne serait arrivé. Phénicia : Allons… / Kôji Ils décollent Phénicia : Alcor, attends-moi ! Alcor, tu ne dois pas agir seul. / Kôji, attends ! Kôji ! Espèce de lâche !

Un périscope sort de terre. Sadone : Alors, est-ce que tout se présente bien ? / Alors, rien à signaler ? Soldat : Oui. Il n’y a rien de particulier à signaler depuis le déclenchement de l’attaque de diversion. / Tout à l’heure, un hélicoptère de l’armée a inspecté le site. A part ça, rien. Sadone : Parfait ! J’appelle base sous-marine, base sous-marine. Ici le commandant Sadone. / Très bien. Base sous-marine ! Ici, capitaine Sadon. Minos : Ici Minos. / Ici, Gandal. Sadone : L’équipe de ménage a atteint les objectifs qui lui avaient été assignés, commandant. / Notre unité vient d’arriver au point cible. Minos : Bien, demain va se lever un vent de Nord-Ouest. Vous agirez selon les instructions que je vous ai données. / Bien. Demain matin, un vent de nord-ouest soufflera. Tu feras sauter le dépôt de transuraniens, comme prévu. Sadone : Oui, commandant. / Bien reçu. Communication coupée. Sadone : Je crois que va enfin se présenter la chance de ma vie. Dès que j’en aurais terminé avec cette mission stupide, je m’occuperai de notre ami Goldorak. J’en ai assez d’obéir aux ordres de ce lamentable Minos. J’ai une tâche beaucoup plus importante à entreprendre. Je ne me suis pas entraîné pour rien. Ils verront si je ne suis qu’un subalterne. / La chance me sourit enfin. Une fois cette mission accomplie, je tuerai Grendizer de mes mains. Si on obéit à ces incapables de gradés, on ne pourra jamais terrasser Grendizer. Et la conquête de la Terre sera impossible. Notre époque commence maintenant.

Au Centre. Alcor entre précipitamment dans le bureau de Procyon où le reste de la patrouille est là. Alcor : Professeur ! Est-il exact que le missile que je poursuivais se dirigeait vers la Centrale nucléaire ? / Professeur ! Professeur, est-il vrai que ce missile visait la montagne ? Procyon : Oui, Alcor, c’est exact. Il est évident qu’il s’est séparé des autres, intentionnellement. Reste à savoir pourquoi il s’est enfoncé dans la zone interdite. Précisément là où se trouve une centrale indispensable à notre défense. / C’est vrai. Le missile a frappé un versant à l’opposé duquel se trouve une forêt protégée et interdite d’accès. C’est là que se trouve un dépôt militaire de transuraniens. Alcor : Il était donc programmé pour attaquer la Centrale ? / Alors, c’est ce dépôt qu’ils visaient ? Procyon : Peut-être. Mais ne t’inquiète pas, elle est merveilleusement protégée. J’ai l’impression que l’attaque des missiles n’était qu’une diversion et que le but réel était de s’infiltrer à l’intérieur de la Centrale. J’ignore encore comment et qui. / Peut-être, le dépôt est protégé par plusieurs systèmes de protection situés tout autour. Il ne craint aucune attaque de missiles. Mais si on s’introduit tout près, il n’est pas impossible de l’attaquer. Actarus : Tu veux dire que le missile qu’Alcor a suivi peut avoir été piloté et que le pilote est entré dans la Centrale ? / Mais alors, père, ce missile leur aurait servi à s’infiltrer clandestinement ? Procyon : Un missile peut toujours dévier de sa trajectoire et prendre brusquement une direction imprévue. Mais il est possible aussi que les Forces de Vega veuillent s’emparer de la Centrale. / Un seul missile a dévié de sa trajectoire pour se crasher là-bas. Ce n’est peut-être qu’un hasard, mais si les Forces de Vega ont eu vent de ce dépôt secret… Actarus : Je vais aller voir. / Je pars enquêter. Alcor : Non. Tout ceci expliquerait ma méprise. C’est moi qui est provoqué un malheur alors c’est à moi de le réparer. Si un ennemi est dans la Centrale, je le découvrirai. Toi et les filles, restez ici et tenez-vous prêts à venir me donner un coup de main. / Attends, Daisuke. Je suis responsable de cette bavure. C’est moi qui irai. Je retrouverai leur trace. Vous autres, tenez-vous prêts à sortir à tout moment. Procyon : Alcor, une seconde. / Kôji !

Alcor sur sa moto : Quand je pense que l’ennemi s’est peut-être infiltré dans la Centrale en me filant sous le nez… S’il s’imagine à avoir réussi à m’avoir, je vais leur faire voir de quel bois, je me chauffe. / Les félons, ils osent s’infiltrer sous mon nez. Ils se paient ma tête ! Si ces ordures parviennent à attaquer le dépôt, mon nom sera déshonoré. Il croise des randonneurs. Alcor : Poussez-vous ! Merci / Excusez-moi ! Merci ! Un randonneur : De rien. / Pas de quoi. Alcor : Bon, la base n’est plus loin. Allons-y. Tiens, cette route n’est plus gardée./ La base secrète est là-bas. Bon. Cela dit, c’est complètement désert. Panneau : Accès interdit. Alcor : Réserve nationale, défense d’entrée. J’y suis. A part la disparition des gardes, je n’ai rien vu d’anormal. Je vais brancher mon compteur, s’il y a une radioactivité bizarre, il la détectera. Non, il n’y a rien. Si j’essayais de me souvenir comment les choses se sont passées ? Mais bien sûr ! Je ne peux trouver qu’à l’endroit où le missile s’est écrasé hier. Bon sang de bon sang, j’aurais dû penser à cela plus tôt. Détends-toi, mon vieux. Ça ne sert à rien de s’énerver. Oh, ces gars-là ignorent ce qu’ils risquent. Si jamais la Centrale est attaquée… Mais d’abord, qu’est-ce qu’ils font là ?/ La forêt protégée. C’est ici. La base secrète se trouve dans cette zone. Je ne vois personne de suspect. Même s’ils se cachent, je peux les débusquer grâce à ce détecteur de Vegatron. Où sont-ils cachés ? Je sais. Je trouverai peut-être un indice au point de chute du missile. Calme-toi. Kôji, cette catastrophe est arrivée par ta faute. Ressaisis-toi ! Ils sont insouciants, ces types. Si la base est attaquée, ils y passeront. Je dois vite trouver l’ennemi. Un randonneur : Qui c’est ce gars ? / C’était qui ? Sadonne déguisé : Un nommé Alcor. / Kôji Kabuto. Randonneur : Il n’arrête pas d’aller et venir depuis quelques minutes. / Depuis tout à l’heure, il balaie le terrain. Randonneur : Vous ne croyez pas qu’il nous a peut-être repérés ? / Est-ce qu’il nous a repérés ? Sadonne : Non, ça m’étonnerait. Mais on n’est jamais trop prudent. Préparez-vous à attaquer maintenant. / Pas encore, on dirait. Mais restez sur vos gardes. Préparez-vous à l’attaque. Randonneurs : A vos ordres. / Entendu.

Alcor arrive sur les lieux du missile. Un soldat regarde au périscope. Alcor : C’est là que le missile s’est écrasé. Rien d’anormal. En tout cas, s’ils se cachent, ils se cachent bien. / Les dégâts sont importants. Rien d’anormal. Mais qu’est-ce qu’ils complotent ?

Sur le bord de la rivière. Sadonne : Ecoutez. Nous allons nous frayer un chemin grâce aux rayons hydroélectriques. La Centrale est divisée en plusieurs secteurs. Seul nous intéresse celui où il y a la turbine. C’est de là que partiront les cendres mortelles. Bien, vous êtes tous prêts ? / Ecoutez, nous allons franchir la barrière avec ce laser et nous infiltrer par la rivière. Les transuraniens sont répartis dans plusieurs containers, mais on n’aura qu’à faire sauter le plus proche. Couvrir Tôkyô de cendres radioactives suffira. Vérifiez vos explosifs. Soldats : Oui. / Entendu ! Ok. Sadonne : En route, suivez–moi. / Bien, allons-y. Alcor arrive. Alcor : Où sont-ils passés ? Ils sont partis à la pêche ? Hein ? Mais ce n’est pas une heure pour aller se baigner. Ah, de la radioactivité ! Des hommes de Vega ! Ils s’étaient déguisés ? Les bandits ! Voyons, mais cette rivière traverse la Centrale. Ici, Alcor. Amenez-vous, vite ! / Où sont-ils passés ? Ils sont allés pêcher ? Ils ne nagent quand même pas par ce froid. Du Vegatron ! J’ai compris, c’étaient eux ! Ils étaient déguisés. Malédiction ! Mais oui ! Cette rivière mène à la base. Ici, Kôji.

Décollage de Goldorak et de la patrouille. (erreur : Phénicia décolle avec Fossoirak alors que sur l’image suivante, on voit Alcorak puis plus loin dans une autre scène, on retrouve Fossoirak) Alcor : Ils tentent d’entrer dans la Centrale en suivant la rivière ! Faites-vite ! / Ils veulent s’infiltrer par la rivière ! Faites-vite ! Actarus : Compris ! / Entendu. Alcor : Où peuvent-ils bien être ? Ah voilà les autres. Dépêchez-vous et ouvrez les yeux. J’ai perdu leur trace. / Bon sang, où sont-ils ? Ah, enfin. Hé, je vous attendais ! Cherchez-les d’en haut ! Actarus : D’accord. Phénicia, longe la rivière. Vénusia survole la forêt. / Ok. Maria, va en amont. Hikaru, cherche dans la forêt. Filles : Bien reçu ! / Bien reçu ! Actarus : Oh ! Les voilà. Alcor, je les ai trouvés. Je vais y aller. / Ce sont eux. Kôji, je les ai trouvés ! Dépêche-toi. Alcor : Entendu. / Compris ! Actarus : Transfert ! Autolargue ! Rétrolaser ! / Chute in ! Dizer go ! Antigravity Storm ! Les veghiens sortent de l’eau en volant et explosent en atterrissant sur le bord de rive. Un homme réussit à s’échapper. Alcor : Parfait, je vais m’occuper d’eux. / Misérable, tu ne m’échapperas pas ! Actarus : Alcor, il faut essayer de les coincer. Ne t’éloigne pas. / Kôji, je pars le chercher en amont. Continuer de fouiller là où tu es. Alcor : D’accord. / Ok Sadonne sort de l’eau : Voilà Goldorak. Je ne suis pas mécontent de me trouver en face de lui. Je vais lui régler son compte. / Maudit Grendizer, tu as ruiné mon plan. Très bien, je me ferai un plaisir de te tuer de mes propres mains. Alcor : Halte ! / Stop ! Sadonne : Qu’est-ce que tu veux, toi ? Tu ne m’intéresses pas. C’est Goldorak que je veux avoir. / Kabuto Kôji, je n’ai rien contre toi ! Mon adversaire est Grendizer ! Alcor : Moi, tu m’intéresses. / Quoi ? Sadonne : Tu n’es que le valet de chambre du Prince d’Euphor, tu ne peux rien contre moi. Vas dire à ton chef que je l’attends ! / Petit pion de Grendizer ! Tu ne peux rien tout seul ! Dis à Grendizer que je lui règlerai son compte ! Alcor : Ne bouge pas ! Sors de là et bats-toi ! / Hé, attends ! Stop ! Viens plutôt m’affronter ! Dans la soucoupe. Sadonne : Puis-je combattre avec Anterak 65 ? / Appelle Zasu-Zasu ! Minos : Une seconde, commandant Sadonne. L’essentiel est de détruire la Centrale. Vous avez compris ? Si vous n’obéissez pas, je vous fais traduire en cours martiale, comm… / Pas si vite, capitaine Sadon. Tu dois d’abord faire sauter la base. Telle est ta mission. Si tu n’obéis pas, tu seras traduit en cour martiale et… Sadonne coupe la communication. Soldat : Commandant Sadon ! / Capitaine Sadon ! Sadonne : Je détruirai Goldorak de mes propres mains. L’heure est enfin venue de lui régler son compte pour le plus grand bien de Vega et c’est à moi que reviendra l’honneur de l’abattre. Je me moque de ce que Minos ou Horos peuvent en penser. Je leur montrerai que c’est moi le plus fort. Préparez Antérak. / Je vaincrai Grendizer. Je le vaincrai de mes propres mains ! Afin de conquérir et habiter la Terre, nous autres, les jeunes, devons nous dresser ! Que savent donc faire Gandal et Zuril ? je vais montrer ce que j’ai dans le ventre. Appelle vite Zasu-Zasu ! Soldat : A vos ordres ! / Oui !

Vénusia : Oh un Antérak ! / Végamonstre ! Phénicia : Très bien. / A nous. Vénusia : Missiles Omega ! / Marine Missiles ! Phénicia : Missiles Sygma ! / Drill Missiles ! Sadonne : Allez-vous-en ! Je n’ai rien à faire de vous. A nous deux, Goldorak ! / Dégagez, vous ne m’intéressez pas ! Grendizer, à nous ! Actarus : Astérohaches ! Fulguropoing ! / Double Harkin ! Screw Crusher Punch ! Vénusia : Missiles Omega ! / Marine Missiles ! Phénicia : Missles Sygma ! / Drill Missiles ! Vénusia : Ça ne lui fait rien ! / Raté. Phénicia : Ah, ça ne l’égratigne même pas ! / Ça ne lui fait rien ! Alcor : Oh, Goldorak ! Phénicia, qu’est-ce que tu attends ? Il faut aider Actarus ! / Grendizer ! Maria-chan, qu’est-ce que tu fiches ? Va vite aider Duke ! Phénicia : Missiles Sygma ! / Drill Missiles ! Vénusia : Deltalame ! / Marine Cutter ! Actarus : Rétrolaser ! / Antigravity Storm ! Alcor : Laisse-moi m’en occuper ! Je peux l’avoir ! Phénicia ! / Laissez-moi le finir ! Je le tente ! Maria-chan ! Phénicia : J’arrive ! / Ok. Alcor : Merci Phénicia. / Merci, Maria. Phénicia : Alcor, il faut que tu sauves mon frère. / Prends les commandes ! Alcor : Alors, tu m’as sous-estimé, tout à l’heure. Tu vas voir ! Oh, Actarus ! Arrête ! C’est à moi que tu vas avoir à faire ! Oh, Missiles Sygma ! Perforation ! Ça y est, je l’ai eu. / Ordure, tu t’es bien payé ma tête ! En avant ! Duke ! Attends ! C’est à moi que tu as affaire ! Dégage, microbe ! Stop ! Drill Missiles ! Drill on ! Je l’ai eu ! Je l’ai eu ! Actarus : Alcor ! / Kôji ! Phénicia : Alcor, tu es le plus grand d’entre les grands / Tu restes quand même un garçon, Kôji. Quelle classe ! (j’entends plutôt « je t’aime / je t’adore »…) Alcor : Phénicia, lâche-moi ! Attention !/ Arrête, Maria ! Hé, attention !

Prochain épisode : A 400 mètres dans les mortels abysses. Dès le jour de l’an, un incident se produit. Une nouvelle île apparaît suite à un séisme près d’Ogasawara. Maria et moi partons enquêter, mais nous sommes blessés par de terribles requins-scies et des algues artificielles. Duke Fleed, viens vite ! Un végamonstre est apparu !