Texte 57

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Le monstre et l’enfant / Hurle, mon monstre ! Dans un immeuble, un enfant joue seul avec un scarabée. C’est le soir. Il attend sa maman. Achénor : Allez, encore un petit effort. Voilà. La maison est finie. Vas-y, avance Scaravageur, démolis la maison. Très bien bravo, Scaravageur. Peut-être que tu es un grand guerrier. Qu’est-ce que t’as, Scaravageur ? Oh, tu frissonnes ? Tu as froid ? Ne t’inquiète pas. On va arranger ça. Alors, Scaravageur, tu te sens mieux ? Tiens, maman est très en retard aujourd’hui. C’est pas drôle d’être tout seul. Heureusement que tu es là, toi. / Ensuite, je mets ça… Je dépose ça, et c’est fini. Vas-y, Budo-Budo ! Déchaîne-toi et détruis tout ! C’est bien, Budo-Budo ! Tu es vraiment fort. Qu’est-ce qu’il y a, Budo-Budo ? Eh ben, tu as froid ? On dirait que tu trembles. Bon, je vais te réchauffer. Ça tient chaud, hein ? Maman en met du temps. Toi aussi, tu te sens seul ? Il regarde par les jumelles. Il voit des camions coincés par une voiture de police. Achénor : Encore un accident on dirait. / Il y a eu un accident ?

Policier : Quel est votre chargement ? / Que transportez-vous ? Chauffeur : Matériaux de construction. / Du matériel de construction. Policier : Parfait, on va jeter un coup d’œil. / On va inspecter ça. Horos pointe une arme de la remorque d’un camion. Horos : Allez au diable. / Adieu. En tirant, il fait disparaître les policiers. Une dizaine de camion entre dans un hangar. Puis la voiture de police disparait sous l’œil d’Achénor.

Achénor : Le car de police, il a disparu. T’as vu Scaravageur ? On n’a tout de même pas rêvé ? Je vais prévenir le commissariat. / La voiture a disparu ! Tu as vu ça, toi aussi ? Je n’ai pas rêvé. Je dois prévenir la police.

Achénor accompagné d’un policier devant le hangar. Achénor : Tenez, c’est là qu’ils sont entrés, monsieur l’agent. / C’est ici ! J’ai vu entrer dix camions. Policier : 10 camions là-dedans ? / 10 camions ? Achénor : Oui monsieur. / Oui. Policier : Hum, tu as du faire un cauchemar. C’est beaucoup trop petit, voyons, pour contenir 10 camions. / Ce bâtiment est presque terminé. Impossible que dix camions entrent là-dedans. Achénor : Ah, je l’ai vu et tout d’un coup, la voiture de police s’est évanouie comme parti en fumée. On aurait dit du cinéma. / C’est la vérité ! La voiture de police là-bas a brillé et a disparu ! C’est un pistolet laser qui l’a désintégrée ! Le policier reçoit un appel. Policier : Allo, ici patrouille 84, secteur A. / Ici Ôtomo, chargé du secteur A. Centrale : Ici régulateur central. La voiture 807 qui aurait disparu est rentrée après avoir terminé sa mission. Les deux patrouilleurs ont fait leur rapport. Rien d’anormal à signaler. Aucun problème. Tout va bien. / Ici, le central. J’ai des informations concernant votre requête sur la voiture n° 807. Elle vient de finir sa ronde et de rentrer. Enfin, les deux agents Suzuki et Yamazaki vont très bien. Ne vous inquiétez pas. Policier : Merci. / Merci. Achénor : Et pourtant c’est vrai. J’ai vu la voiture disparaître. / C’est la vérité, j’ai tout vu ! Mère : Achénor ! / C’est toi, Kiyoshi ? Achénor : Maman ! / Maman ! Mère : Mais que fais-tu là ? / Que fais-tu là ? Policier : Je suis ennuyé, madame. / On a un problème, madame. Mère : Il a fait des bêtises ? / Kiyoshi a fait quelque chose ? Policier : Il en raconte. Il aurait vu 10 camions entrer dans ce bâtiment et une de nos voitures de patrouille disparaître en fumée. Et il y a peu de temps, il a prétendu avoir vu un ovni et un extraterrestre. Je crois que votre fils est un menteur. / Oui, il a dit que dix camions étaient entrés dans ce chantier et qu’une voiture de police s’était volatilisée. L’autre soir, il a dit avoir vu une soucoupe et un extraterrestre. Il raconte n’importe quoi. Achénor : Non, je ne mens pas. Hein, Scaravageur ? / Je ne mens pas ! Hein, Budo-Budo ? Mère : Je vous prie de m’excuser. Son imagination vagabonde parce que je le laisse tout seul à cause de mon travail. / Je suis vraiment désolée. Comme je rentre tard, il se sent seul et invente des histoires. Policier : Nous aussi, nous avons du travail. Demandez-lui de ne plus nous déranger. / Nous sommes aussi occupés. Réprimandez-le sévèrement. Mère : Comptez sur moi. / Je suis désolée. Achénor : Je ne mens jamais. Je te jure que je dis la vérité, maman. Hein, Scaravageur ? / J’ai dit la vérité ! Budo-Budo aussi dit qu’il a tout vu. Hein, Budo-Budo ? Mère : Entrons à la maison. / Viens, on rentre. Kiyoshi Achénor : J’ai pas envie. C’est tout de même malheureux. Personne ne veut jamais me croire. / Personne ne me croit ! Mère : Achénor ! Reviens. / Kiyoshi ! Kiyoshi !

Hangar. Construction d’un golgoth. Horos : Ah parfait ! Allez, mettez-vous au travail. / Très bien. Au travail ! Il s’aperçoit qu’Achénor regarde par les jumelles. Horos : Ah maudit gamin ! / Sale mioche !

Au parc, Achénor joue avec son scarabée. Achénor : Allez, fonce. Mets tout en pièce. Allez Scaravageur, vas-y. Voilà, très bien, Scaravageur. / Vas-y, Budo-Budo ! Vas-y, Budo-Budo ! Déchaîne-toi et détruis tout ! C’est bien ! Voilà, c’est bien, Budo-Budo ! Il est accosté par Horos déguisé. Horos : Scaravageur. Quel joli nom ! Et il a l’air d’être très très fort ton scarabée. / Budo-Budo ? C’est un chouette nom. En plus, il est très fort. Achénor : Il est encore plus fort que ça. Mais c’est encore un bébé. Quand il sera devenu grand, il sera capable de détruire une maison. / Et ce n’est pas fini. Un jour, il deviendra encore plus grand et il pourra tout détruire, même des bâtiments ! Horos : Tu crois qu’il sera capable de faire cela ? / Oh, même des bâtiments ? Achénor : Je l’entraîne tous les soirs. Allez, vas-y. / C’est bien, Budo-Budo ! Continue ! Horos (off) : Un enfant esseulé est une proie facile à manipuler. C’est l’occasion rêvée. Et une excellente couverture. – Ecoute. Si tu veux, je peux faire grandir ton scarabée, beaucoup plus vite que tu ne le crois. Et il sera capable de détruire une ville entière. Nous allons bien nous amuser tous les deux. Viens avec moi mon garçon. Je te promets que ton scarabée sera le plus beau et le plus fort de tous. Allez, jeune homme, viens. / Je sens un grand mal-être dans le cœur de ce petit garçon toujours seul. Je sais. Je vais me servir de lui. – Petit. Je vais exaucer ton souhait. On va transformer Budo-Budo en monstre géant, et il détruira tous les bâtiments de Tôkyô. Ce sera amusant, tu ne penses pas ? Suis-moi. Je ferai de Budo-Budo un monstre géant. Viens, suis-moi. Achénor hypnotisé suit Horos.

Phénicia et Alcor sont à motos, en jour de congé et de shopping. Alcor : Eh, Phénicia, tu pourrais ralentir un peu, tout de même. / Hé, Maria, ralentis encore un peu ! Phénicia : Hum, je veux pouvoir avoir le temps de visiter la Capitale. / Je veux vite voir Tôkyô ! Alcor : Toi, tu es vraiment une provinciale. / Bonjour la campagnarde… Phénicia : Et toi, tu es vraiment lent. / Va un peu plus vite ! Alcor : C’est un vrai garçon manqué. Je vais lui faire voir, si je suis lent. / Eh ben, quelle idée j’ai eue de traîner ce garçon manqué…

Achénor est sous un casque. Un implant de pulsations électriques est implanté dans sa casquette. Soldat : Général, une bonne nouvelle. Alcor et Phénicia sont en ville. / Professeur ! Mauvaise nouvelle, Kôji et maria sont à Tôkyô. Horos : Quoi ! Deux des aigles en ville. Débrouillez-vous pour me les capturer. Exécution. / Quoi ? Kôji et Maria ? Très bien. Préparons leur capture. Il communique avec Minos. Minos : As-tu terminé la construction de golgoth 57 ? / Le Végamonstre n’est pas encore terminé ? Horos : Ça y est depuis longtemps, Minos. Laisse-moi te présenter, Scaravageur. / Si, il est terminé ! Voici le Végamonstre Budo-Budo ! Minos : Alors, qu’est-ce que tu attends pour commencer l’attaque de la Capitale ? Le plus tôt sera le mieux. / Alors, lancez vite l’opération de prise de contrôle de Tôkyô. Vous avez assez traîné comme ça ! Horos : Sois donc un peu plus patient, Minos. J’ai un joli petit paquet d’atouts dans ma manche. / Pas de précipitation, général ! Je vais vous montrer quelque chose d’amusant.

Alcor et Phénicia sont dans une bijouterie Phénicia : Hum, oui, c’est pas mal. / J’hésite. Bijoutier : Je pense que c’est exactement votre style, chère mademoiselle. / Cela vous va à ravir, mademoiselle. Phénicia : Entendu, je le prends. / Je le prends. Elle part avec le collier sans payer. Alcor boude. Bijoutier : oh, mademoiselle, n’oubliez de payer, s’il vous plait. / Mademoiselle, il faut d’abord payer, s’il vous plaît ! Alcor : Phénicia ! / Maria ! Ils sont dans la rue. Alcor : Phénicia, on ne visitera rien du tout si tu continues longtemps à lécher les vitrines. Ah, tu crois que tes achats te seront utiles dans Fossoirak ? / Maria, terminons d’abord notre tour de Tôkyô. On n’a pas de temps à perdre dans un endroit pareil. Tôkyô est vaste, on n’en aura jamais fini. Phénicia (s’arrête devant une robe) : Oh regarde, quelle merveille. Je sens que je vais me l’offrir. / Quelle jolie robe ! Il me la faut absolument ! Alcor : Oh là là. Oh, elle n’a pas vu le prix ! Bon maintenant, ça suffit, je veux profiter de mon jour de congé. Tu t’amènes ? Moi je refuse de perdre tout mon temps à continuer de courir les magasins. / 70 000 yens ? Maintenant, ça suffit ! On a un seul jour de congé ! On doit retourner au Centre avant la nuit. S’il te plaît, Maria. Phénicia : Ah, tu as peur de dépenser tout ton argent au cas où je te demanderai de me l’offrir. Allez, avoue-le ! / « Si je lui paie sa robe, tout mon argent de mars y passe. » C’est ça que tu penses, hein ? Alcor : Oui, tu as raison. Euh, enfin, oh et puis et puis fais ce que tu veux. / Exactement ! Oui et alors ? Phénicia : Tu n’es qu’un radin. / Espèce de radin. Alcor : Crois ce que tu veux, moi je fiche le camp. / Fais ce que tu veux. Moi, je m’en vais. Il prend sa moto la planter là. Phénicia : Attends-moi, ne me laisse pas toute seule. / Hé, t’en va pas ! Kôji, attends-moi !

Horos : Attaquez d’abord la fille. Elle est seule. Quant au garçon, vous vous en occuperez un tout petit peu plus tard. / Occupez-vous d’abord de Maria. Passez ensuite à Kôji Kabuto. Soldat : A tes ordres. / A vos ordres !

Phénicia cherche Alcor dans les rues et à moto. Phénicia : Allez mais où est donc passé cet imbécile d’Alcor. / Où a pu passer Kôji ? Achénor : Tu veux un conseil ? Quand deux amis se perdent, il faut qu’il y en ait qui ne bouge pas. Si tu attends ici, tu trouveras ton copain. / Mademoiselle. Si tu as perdu de vue ton amie, mieux vaut ne pas s’éloigner. Attends ici et tu le reverras. Phénicia : Tu as raison, tu es très gentil. / Tu as raison. Vien vu, petit. Achénor : Je m’appelle Achénor, moi. / Je m’appelle Kiyoshi. Phénicia : Et moi, je m’appelle Phénicia. Tu vas bien ? / Ah oui ? Moi, C’est Maria. Enchantée. Un groupe de motards arrive. Phénicia : Ah ! Non mais, vous n’êtes pas malade ? Mais voyons, vous risquez de tuer ce gosse avec toutes vos imbécilités ! / Qu’est-ce que vous me voulez ? Arrêtez vos idioties ! Il y a un enfant à côté de moi ! Arrêtez ! Les motards tournent autour d’elle et lancent un gaz. Phénicia : Ils vont m’asphyxier. / Qu’est-ce qui m’arrive ? Je perds conscience… Elle tombe de moto endormie. Achénor prend le collier. Motard : Et maintenant mon petit, il nous faut le garçon aussi. Regarde-le bien et trouve-le. / Cet homme la cherchera. Fais ton travail.

Alcor arrive dans un parc. Alcor : Je me demande où est passée Phénicia. Je n’aurais jamais dû l’emmener, c’est vrai. Elle est infernale cette gamine. / Où est passée cette satanée Maria ? Je n’aurais pas dû emmener cette chipie. Achénor : Mon Scaravageur va devenir un énorme monstre. Il ravagera tout sur son passage. / Budo-Budo, tu vas devenir un monstre géant. Et tu te déchaîneras. Alcor : Dis, fiston. Tu as bien dit Scaravageur ? / Il s’appelle Budo-Budo ? Achénor : Ouais et alors ? / Oui. Alcor : Dis-moi, c’est à toi ce beau collier ? / Petit, où as-tu trouvé ce collier ? Achénor : C’est une dame qui me l’a donné. Elle était jolie. Elle s’appelle Phénicia, je ne sais plus quoi. / Une demoiselle me l’a donné. Elle était belle. Elle a dit qu’elle s’appelait Maria. Alcor : Et tu sais où elle se trouve cette dame ? / Et où est partie cette Maria ? Achénor : Elle est entrée dans un immeuble. Là ! / Dans un bâtiment construit récemment. Suis-moi ! Alcor : C’est la moto de Phénicia ! / C’est la moto de Maria. Actarus : Elle est entrée à l’intérieur pour faire des achats. / Elle fait ses emplettes ici. Alcor : Merci mon garçon, je vais aller voir. / Merci, petit. Je te laisse.

Alcor pénètre dans le bâtiment au niveau -1 : Centre commercial. Alcor : Où est-elle ? / C’est au 1er sous-sol. Il entre dans le hangar où est construit le golgoth. Phénicia est attachée. Phénicia : Alcor ! / Kôji ! Horos (dans un haut-parleur) : Bienvenu, monsieur Alcor. Sois le bienvenu dans ta tombe. Golgoth Scaravageur, commence le travail que je t’ai ordonné. / Bienvenue, Kôji Kabuto ! Ce lieu sera votre tombe ! Vegamonstre Budo-Budo ! Commence l’opération de prise de contrôle de Tôkyô ! Le golgoth se détache. Alcor : Phénicia, attention ! / Maria, attention !

Le monstre détruit la ville devant les yeux éblouis d’Achénor. Achénor : Scaravageur est devenu un grand monstre. Vas-y Scaravageur, casse tout. / Budo-Budo est devenu un monstre géant. Déchaîne–toi, Budo-Budo !

Alcor : Phénicia, tu n’es pas blessée ? / Maria, ça va ? Phénicia : Alcor, avertis tout de suite le prof Procyon et Actarus. Dépêche-toi. / Je vais bien. Kôji, contacte vite le Centre. Alcor : Ici Alcor. J’appelle le Centre. Est-ce que vous m’entendez ? Répondez-moi. / Ici, Kôji Kabuto. Centre Spatial, répondez-moi.

Centre Procyon : Ici Procyon, je t’écoute Alcor. / C’est moi, Kôji. Alcor : Prof, un golgoth détruit la Capitale. / C’est terrible, un Végamonstre est apparu dans Tôkyô. Procyon : Quoi ? Encore un nouveau monstre ? Actarus va voir tout de suite ce qu’il se passe. /Quoi, un Vegamonstre ? Daisuke, pars immédiatement. Actarus : Oui, père. Je pars tout de suite. / Oui, compris !

Métamorphose etc. Actarus : Goldorak, go. Procyon : Actarus, emmène également Alcorak et Fossoirak. Je les branche sur télécommande. / Daisuke, emmène les Double Spazer et Drill Spazer avec l’autopilotage. Actarus : Bien reçu, père. Effectue le branchement. / Entendu. Autopilotage enclenché !

Achénor continue d’encourager son scarabée. Achénor : Vas-y plus fort, Scaravageur. Fais leur voir que tu es le plus fort. Vas-y ! Attaque ! Fonce ! / Budo-Budo, détruis tout ! Déchaîne-toi, Budo-Budo ! Détruis tout ! Alcor : C’est le petit garçon. / C’est lui. Phénicia : Oui. C’est Achénor. Je lui ai parlé tout à l’heure. / C’est Kiyoshi. Je l’ai croisé dans le parc. Alcor : Cet enfant m’intrigue. Il m’a raconté qu’il était sûr que son scarabée deviendrait un monstre. / Il est un peu étrange. Il a dit que son scarabée deviendrait un monstre géant. Phénicia : Hein ? Mais de quoi voulait-il parler ? / Quoi, un scarabée ? Alcor : Et ce monstre ressemble beaucoup à un scarabée. / Et ce Végamonstre ressemble fort à un scarabée. Phénicia : Achénor, éloigne-toi, c’est très dangereux. / Kiyoshi, c’est dangereux, sauve-toi vite ! Alcor : Oui, c’est vrai, il va bientôt y avoir une affreuse bataille. Pars tout de suite. / Elle a raison, il va y avoir une grosse bataille. Sauve-toi vite ! Compris ? Achénor : Démolis tout Scaravageur. Détruit tout ! / Déchaîne-toi, Budo-Budo ! Phénicia : Voilà enfin Actarus. / C’est mon frère ! Alcor : Oh, on est là ! Actarus ! / Ohé, Duke Fleed, on est là ! Actarus : Les voilà; Je vais poser leurs appareils. / Très bien, je vais les faire atterrir. Alcor : Allons-y Phénicia. / Allons-y, Maria. Phénicia : D’accord. Achénor, obéis et éloigne-toi. / Ok. Kiyoshi, mets-toi vite à l’abri.

C’est l’heure du combat. Actarus : Transfert ! Autolargue ! Achéliochoc ! / Chute in ! Dizer, go ! Dizer Kick ! Bon sang… Alcor : Victorang ! / Double Cutter ! Phénicia : Missiles Oméga (erreur !) / Drill Missiles ! Actarus : Il essaye de s’échapper. On le pourchasse en jumelage. / Kôji, il veut fuir en altitude ! On s’arrime ! Alcor : D’accord, quand tu voudras. / Je n’attendais que ça. On y va ! Actarus : Retournement ! Accrochage ! / Scramble Turn ! Combination Cross ! Alcor : Victorang ! / Double Cutter ! Phénicia : Toi, tu ne t’échapperas pas. Missiles Omega ! / Je ne te laisserai pas t’échapper ! Drill Missiles ! Le golgoth tombe au sol et fait tomber Achénor qui perd sa casquette. Du coup, il n’est plus sous hypnose. Actarus : Séparation ! / Séparation, go ! Achénor : Ah, au secours. / Au secours, maman ! Il remet sa casquette. Achénor : Scaravageur, arrête ! Arrête ! Arrête-toi maintenant ! On a assez joué. / Budo-Budo, arrête ! Arrête de te déchaîner !

Minos : Continue Scaravageur. Ne t’arrête pas. Continue. / Qu’est-ce que tu as, Budo-Budo ? Achève-le ! Horos : En perdant son chapeau, l’enfant est sorti de l’hypnose qui conditionnait Scaravageur. / Il a malheureusement perdu sa casquette. Bon sang. Il est sorti de son état d’hypnose. Minos : Et alors ? Ce n’est pas un drame ! / Que fait-on ? L’occasion est inespérée. Horos : On va remettre le golgoth sur télécommande. / Passe le Végamonstre en autopilotage.

Achénor : Tu me suis. Tu es sage maintenant. On rentre. On jouera demain. / Budo-Budo, tu m’as entendu, n’est-ce pas ? Scaravageur agit seul. Actarus : Oh le pauvre petit. Alcor, Phénicia, occupez-vous de l’enfant. / Attention ! Kôji, Maria, allez sauver ce petit garçon ! Alcor et Phénicia : D’accord. / Entendu ! Phénicia : Est-ce que c’est bien toi qui commande ce monstre ? / Kiyoshi, est-ce que ce monstre t’obéit ? Achénor : Evidemment puisque c’est mon scarabée. / Oui, c’est mon scarabée qui a grandi. Phénicia : Alors, arrête-le. Ordonne-lui de se calmer, Achénor, je t’en prie. Sinon, toute la ville sera en ruine. Vite, dépêche-toi ! / Ah oui ? Tu veux bien lui dire d’arrêter ? Il faut le calmer. Sinon, Tôkyô sera détruit. S’il te plait, Kiyoshi. Achénor : Ouais. Phénicia : Ordonne-lui de s’arrêter. / Calme-le vite ! Achénor : Scaravageur, arrête ! C’est fini, maintenant ! Je me demande ce qu’il lui prend. Pourtant d’habitude, il obéit. / Budo-Budo, arrête ! Budo-Budo ! Qu’est-ce qu’il a ? Normalement, il m’obéit. Alcor : La raison est simple, Achénor. Ça n’est pas ton scarabée. / Ce n’est pas ton scarabée. Achénor : Si, c’est mon Scaravageur ! / C’est mon Budo-Budo ! Alcor : Non, non, je t’assure que ce n’est pas lui. Tu as été trompé par les hommes de Vega. / Non, les hommes de Vega se sont servis de toi. Achénor : Qui c’est Vega ? / Les hommes de Vega ? Alcor : Un très méchant monsieur de l’espace qui veut beaucoup de mal à notre planète. Tiens, regarde ça. C’est bien ton chapeau ? Et bien il est équipé d’un spiritapulseur qui contrôle tes pensées. / Ce sont de méchants extraterrestres qui veulent envahir la Terre. Regarde ça. C’est ton chapeau. Il y avait un dispositif de contrôle cérébral. Phénicia : Ah, c’est vraiment démoniaque de se servir d’un pauvre gosse sans défense. / C’est horrible. Comment peut-on se servir d’un enfant ? Achénor : Vous vous trompez. Je sais que c’est mon Scaravageur. / Ce n’est pas vrai ! C’est mon Budo-Budo ! Alcor : Ton vrai scarabée, il a surement été tué, Achénor. Tué par les hommes de Vega. / Ton scarabée est sans doute déjà mort par la faute des méchants Vegans. Achénor : Mon Scarabée ! / Budo-Budo… Il pleure.

Actarus : Cornofulgure ! Astérohaches ! Cabré ! Retournement ! Accrochage ! / Space Thunder ! Double Harkin ! Dizer Jump ! Combination Cross ! Alcor : Victorang ! Mon Victorang est impuissant. / Double Cutter ! Ça ne lui fait rien non plus. Actarus : Il faut l’attaquer à la base des ailes au moment précis où il tirera. Attention. Fuguropoing ! Cornofulgure ! / J’ai compris. C’est sous ses ailes qu’il faut viser. Quand il tire ses roquettes. Maintenant ! Screw Crusher Punch ! Space Thunder ! Le golgoth explose.

Mère : Achénor ! Achénor ! / Kiyoshi ! Kiyoshi ! Achénor : Maman ! Maman ! / C’est ma mère ! Maman ! Mère : Achénor, mon fils ! / Kiyoshi Achénor : Maman ! Maman ! Je suis là. / Maman ! Mère : J’ai cru ne jamais te revoir. Où étais-tu ? / Tu n’as rien, je suis tellement soulagée. Achénor : Maman, qu’est-ce que j’ai eu peur ! / Maman, j’ai eu peur. Mère : Moi aussi. Tout est de ma faute. J’ai eu tort de ne pas croire ce que tu disais, Achénor. Tu avais raison. / Pardon, c’est ma faute. C’est parce que je ne t’ai pas cru. Pardonne-moi. Achénor : Tu me croiras, maintenant ? / C’est vrai, maman ? Mère : Oh oui, tu aurais pu être tué. C’est affreux. Je ne te laisserai plus jamais seul. Je te le jure. / C’est vrai. Je te promets de ne plus te laisser tout seul.

Alcor : ¨Pour un jour de congé, c’est réussi, tu e trouves pas ? On rentre. / Tout est bien qui finit bien. Maria, rentrons. Phénicia : Mais tu es sûr qu’ils n’ont plus besoin de nous ? / Et eux ? Alcor : Non, tout est arrangé. Laissons-les tranquille maintenant. / C’est bien comme ça. Laissons-les en paix. Phénicia : D’accord. / Oui.

Prochain épisode : Grendizer transformé en démon ! En plein milieu d’un combat, Grendizer devient soudain fou. Il détruit ville après ville et finit même par attaquer Hikaru. Que t’arrive-t-il, Duke ? As-tu vraiment perdu la tête ? Duke Fleed !