Texte 33

De Wikirak

Episode 33 Les ailes de la mort / Attaque mortelle ! La fin du mutant.

Sur le camp de la lune noire.

Ordi Horos : Ordinateur à escadrille de navettes spatiales. Préparez-vous. Décollage immédiat. / Que les Mini-FO exécutent le plan mis au point par l’ordinateur !

Ranch du bouleau blanc, Actarus entraîne un cheval. Les Riguel le regardent. Riguel : Ça c’est un bon cheval. On voit que je l’ai élevé avec une tendresse de père. / C’est un beau cheval que j’ai élevé là. Mizar : Le cheval est bon mais le cavalier n’est pas mal non plus. / Le cheval est bien mais le cavalier aussi. Venusia : Tu as raison. / Tout à fait. Mizar : Oh Actarus, qu’est-ce que tu montes bien ! / Daisuke, t’as la classe ! Riguel : Eh Idiot. C’est mon cheval qui est formidable ! Actarus n’a qu’à se laisser guider, c’est à la portée du premier cowboy venu. Eh Actarus ! Essaye au moins de l’aménager cette bête ! / Qu’est-ce que tu racontes ? C’est le cheval qui rend beau Daisuke. Il a encore beaucoup à apprendre. Daisuke, à cheval, il faut y mettre ses tripes ! Actarus : Doucement. Il arrête brutalement son cheval et tombe par terre. Venusia et Mizar : Actarus ! / Daisuke ! Riguel : Ah quand on ne sait pas monter à cheval, on évite de se couvrir de ridicule. / Tu vois ? Je te l’avais dit. Il faut y mettre ses tripes. Actarus : Désolé. / Désolé. Venusia : Je n’ai pas compris ta manœuvre, Actarus. Pourquoi as-tu arrêté le cheval si brutalement ? / Que s’est-il passé ? Pourquoi t’es-tu soudainement arrêté ? Riguel : Monsieur veut se donner en spectacle. Monsieur lui arrache la bouche. Je t’ai vu, pas de chance. J’espère que tu as compris et que cela te servira de leçon. Oh mais tu pourrais au moins m’écouter. / A vouloir faire le beau, et à tirer la bride comme ça, on finit par être désarçonné. Tu ne comprends pas une chose si simple ? Hein ? Idiot, tu m’écoutes ? Actarus ramasse un oisillon. Venusia : J’ai compris. Tu l’avais vu et tu as voulu éviter de piétiner ce pauvre petit oiseau blessé. / C’était donc ça. Tu ne voulais pas écraser cet oisillon blessé. Riguel : Ah ça c’est malin. Tu as failli abîmer mon cheval pour éviter de tuer un oiseau. Tu fais n’importe quoi ! / Quoi, un oisillon ? Tout ça pour un petit oiseau… Mizar : Papa, tu dis des sottises, tu devrais avoir honte de toi. / Papa, comment oses-tu dire ça ? Riguel : Quoi ? / Hein ? Mizar : Ouais. Actarus a vu qu’il était blessé. Il a eu raison d’éviter de le piétiner. / Papa, Daisuke tentait de sauver ce pauvre oiseau ! Riguel : J’ai rien dit. Mizar : Il n’a pas voulu le tuer et c’est pour ça qu’il est tombé. Au lieu de l’attraper, tu pourrais lui dire merci, espèce de bourreau de moineau. / Il n’a pas eu peur de faire une chute pour ça ! Et toi, tu te permets de le traiter d’idiot ? Actarus : Ça suffit, tais-toi Mizar. / Du calme, Gorô. Mizar : Papa, excuse-toi tout de suite auprès d’Actarus ou je ne te parle plus. / Papa, tu dois t’excuser auprès de Daisuke. Riguel : Pas question. Je ne suis pas arrivé à mon âge pour faire des excuses. / En fait, ce que je voulais dire… Il faut le nourrir ! Mizar : Papa, tu m’as toujours dit qu’il fallait reconnaître ses erreurs alors tu vas faire tes excuses à Actarus. / C’est bien toi qui m’as dit qu’un homme devait immédiatement corriger ses fautes. Riguel : Tu as raison, fiston, je reconnais que j’ai eu tort. Excuse-moi, Actarus. / J’ai compris, Gorô. J’ai eu tort. Pardonne-moi, Daisuke. Actarus : Non, je t’en prie Riguelguel, ce n’est rien. C’est ma faute. J’aurais dû voir l’oiseau plus tôt et arrêter le cheval en douceur. Tiens, Vénusia, prend-le. / Non, c’est moi. J’aurais dû voir l’oiseau plus tôt. Ça m’aurait évité de faire peur au cheval. Venusia : Merci, l’essentiel c’est d’avoir sauvé cette petite bête. / Heureusement, tu as pu sauver l’oiseau. Mizar : Tu crois qu’on pourra le guérir ? / On peut le guérir ? Venusia : Oui surement, il faut soigner sa blessure tout de suite. / Oui, si on le soigne bien. Mizar : Oh puisses-tu dire vrai. / Oui Riguel : Si tu veux le sauver, il faut qu’on l’emmène à l’infirmerie. Bon alors, tu viens. Allez dépêche-toi un petit peu. / Rentrons vite le soigner. Hein, Gorô ? Allez, file. Venusia et Actarus restent ensemble. Venusia : Oh mais tu t’es fait mal en tombant. Mais regarde ton bras. / Oh, tu t’es fait ça en tombant ? Ton bras… Actarus : Oh non, ça ce n’est pas bien grave, c’est une vieille cicatrice. Ça ne m’empêche pas de bouger le bras. Ce n’est rien (pour rappel, Venusia connait cette cicatrice et les conséquences) / C’est ma vieille blessure. Je ne sens plus rien. Regarde. Actarus court vers le cheval et saute dessus par la croupe. Venusia : C’est toi qui le dis. (elle n’est pas dupe, ouf) / Daisuke…

Au centre, à l’infirmerie. Procyon : La cicatrice s’étend petit à petit et je n’aime pas ça du tout, Actarus. / Elle s’étend comme une malédiction du diable. Actarus : Ne t’inquiète pas, père. Ton traitement endort la douleur et c’est ça le plus important. / Tout va bien, père. Grâce à cet appareil, ça ne fait plus mal. Procyon : Il ne fait qu’endormir la douleur mais il ne guérit pas. Je crains qu’il ne puisse enrayer la progression du mal. Ce qui me tracasse c’est que le lasernium laisse des séquelles qui risquent de se réveiller brutalement. J’ai peur qu’à la longue, cela ne mette ta vie en danger, mon fils. / Ça soulage, en effet, la douleur, mais ça ne peut pas stopper la propagation du mal. Si cette blessure due au Vegatron gagne ton cœur, alors, tu perdras la vie, Daisuke. Actarus : Après tout, père, nous sommes tous né pour mourir un jour, n’est-ce pas ? / Père, d’ici là, je vivrai comme il se doit. Procyon : Actarus ! / Daisuke… Actarus : Mon Dieu, laisse-moi encore un peu de temps. Juste ce qu’il faut pour libérer la planète bleue. / Il me reste encore du temps. Tant que je vivrai, j’assumerai la mission qui m’a été confiée.

Les miniFO arrivent sur Terre Actarus : Qu’y a-t-il père ? Encore des ennuis ? / Que se passe-t-il ? Procyon : Regarde le scope radar. / Regarde ça. Actarus : C’est une escadrille de navettes. / Une troupe de Mini-FO Alcor : Bon sang, quel malheur ! Si seulement mon nouvel OVT était au point, j’aurais pu essayer de les repousser. / Bon sang, si ma nouvelle soucoupe était prête, je les abattrais avec le canon-cyclone. Procyon : Je suis persuadé qu’elles ne sont pas seules et qu’un golgoth doit les suivre. Actarus, tu vas aller jeter un coup d’œil. / Il se peut qu’un Monstronef se cache derrière. Daisuke, vas-y, mais sois prudent. Actarus : Oui, d’accord, j’y vais tout de suite. / Oui, c’est compris. Alcor : Actarus, fais attention à toi / On compte sur toi.

Asporat, Métamorphose, route n° 7, Goldorak go !

Actarus : Et voilà nos navettes. Megavolts ! Pulvonium ! / Vous voilà, Mini-FO ! Melt Shower ! Hand Beam !

Ordi Horos : Chercher le défaut de la cuirasse. Pour se faire, provoquer Goldorak. J’enregistrerais les images de la bataille et en tirerais les conclusions ultérieurement. / La caméra a enregistré tous les mouvements de Grendizer. Il a forcément un point faible… Il a forcément un point faible.

Actarus : Pulvonium ! Cornofulgure ! Pulvonium ! Tranfert ! Autolargue ! Fulguropoing ! Astérohaches ! Vous ne m’aurez pas. Cabré ! / Hand Beam ! Space Thunder ! Hand Beam ! Chute in ! Dizer go ! Screw Crusher Punch ! Double Harkin ! Je vous aurai ! Dizer jump !

Ordi : Données insuffisantes. Continuez. / Il a forcément un point faible.

Actarus : Récupération ! Cabré ! Arrimage ! Missiles gamma ! Planitrons ! / Spazer go ! Dizer jume ! Spazer Cross ! Spin Drill ! Spin Saucer !

Horos : J’ai trouvé ! J’ai découvert les points faibles de Goldorak. / Ça y est ! J’ai trouvé le point faible de Grendizer !

Alcor : Bravo, Goldorak, encore une belle victoire ! Je vais finir par être jaloux. Si je veux pouvoir l’égaler, il faut que je finisse ma nouvelle soucoupe le plus tôt possible. / Toujours aussi épatant. C’est remarquable. Moi aussi, il faut que j’assure. Je dois vite terminer ma nouvelle soucoupe. Actarus : J’ai descendu toutes les navettes de l’escadrille. / J’ai abattu tous les Mini-FO. Procyon : Bien maintenant rentre mais ouvre l’œil. / Bien. Fais attention en rentrant. Actarus : Entendu ! / Entendu !

Au centre, debriefing. Procyon : C’est curieux qu’aucun Golgoth n’ait montré le bout de son nez. / Il n’y a pas eu de Monstronef. Actarus : Moi aussi, je trouve ça étonnant mais il se pourrait qu’ils n’aient voulu faire qu’une simple attaque de routine. / Exact. Et leur tactique d’attaque ne différait en rien des autres fois. Procyon : On avait l’impression que l’escadrille était sacrifiée d’avance. Mais dans quel but auraient-ils fait ça ? / Comme s’ils étaient venus se faire abattre. Quel était leur objectif ? Actarus : Peut-être ont-ils voulu faire une attaque de diversion pour nous effrayer ? / Je ne sais pas, mais ça préfigure peut-être quelque chose. Procyon : Oui, c’est possible. Mais je les connais bien. Cela m’étonnerait qu’ils aient fait ça pour rien. Actarus, qu’est-ce qu’il y a ? Tu as encore mal ? / Oui, peut-être. Ils n’en resteront pas là. Que trament-ils donc ? Daisuke, ta blessure te fait mal ? Actarus : Non, c’est un réflexe. Quand j’ai l’esprit tendu, je me souviens de la blessure que m’ont faite les envahisseurs. Ne t’inquiète pas. / Non, mais quand je serre ma blessure, ça me donne du courage pour les affronter. Procyon : Si je m’inquiète. / Daisuke…

Camp de la lune noire Minos : Commandant Horos ! Je suis scandalisé qu’un officier soumette sa stratégie aux régurgitations d’un ordinateur ! / Professeur Zuril ! Vous n’avez pas tous les droits ! Quelle est cette opération générée par un ordinateur ? Horos : Rien n’est plus précis qu’un ordinateur. / L’ordinateur a été parfait. Minos : J’en doute. Vous avez fait détruire une escadrille de navettes et apparemment pour rien. / Comment ? Les Mini-FO ont été anéanties en pure perte. Horos : Vous devriez savoir que je ne fais jamais rien pour rien. / Leur sacrifice n’a pas été vain. Minos : Si je comprends bien, vous avez délibérément sacrifié toute une escadrille ? / Leur sacrifice ? Vous aviez prévu dès le début de les sacrifier ? Horos : Exactement. / Tout à fait. Minos : C’est incroyable ! / C’est impardonnable ! Minas : C’est aussi mon avis et j’aimerais que vous me l’expliquiez. Si vos réponses ne sont pas satisfaisantes, je devrais en référer au Grand Stratéguerre. / Pourquoi les avoir sacrifiés ? Expliquez-vous. Selon votre réponse, je devrai en informer sa Majesté Vega. Horos : Ce raid était une mission de renseignements. / C’est pour abattre Grendizer. Minas : Pouvez-vous nous dire quelles précieuses informations vous en avez tirées ? / Très bien. Et pour quel résultat ? Horos : Oui, regardez ! / Regardez ! Ordi : Goldorak ne peut effectuer son cabré que jusqu’à 350 m. Son autonomie en vol est très limitée. Privé de sa soucoupe porteuse, il est hors d’état de s’échapper par ses propres moyens. J’ai remarqué également qu’il avait besoin de 6 secondes pour s’arrimer. Vous avez compris ? Voilà ce que je voulais savoir. Connaître les points faibles de Goldorak. Maintenant où nous savons où porter nos coups, nous allons pouvoir le vaincre. / Grendizer peut sauter à 350 mètres de haut. En revanche, il ne peut pas voler. Pour voler, il doit s’arrimer au Spazer. Il lui faut 6 secondes pour accomplir l’opération. Voilà. Ce sont les deux points faibles de Grendizer. Si on en profite, on est sûr de pouvoir le détruire. Minas : Et qui ira lui porter les coups décisifs ? / Quel est votre plan ? Horos : Un golgoth animé par l’esprit d’un esclave d’Euphor. / Utiliser Zari-Zari de la planète Zari. Minas : Un être supérieur, j’espère ! / Zari-Zari de la planète Zari ? Minos : Nous enverrons un prince. / Ce mutant ? Horos et Minos devant la vitre du laboratoire.

Horos : Je vous présente Golgoth 33. / Voici Zari-Zari. Minos : On dit que c’est un membre de la famille royale d’Euphor qui anime cet engin. Il y a donc une chance pour qu’il soit aussi fort que le Prince. / Ce serait un mutant apparu après notre attaque de la planète Zari. Horos : N’en doutez pas. Son quotient intellectuel était de 180. Nous avons pu utiliser toute sa puissance. De plus, un traitement par lasernium a perméabiliser ses cellules ce qui l’a rendu apte à assimiler n’importe quel ordre. Quand nous avons eu en main toutes les données fournies par l’ordinateur, nous l’avons programmé pour exploiter les faiblesses de Goldorak. / C’est cela. Tous les êtres vivants de Zari ont péri. Seul Zari-Zari a survécu. La radioactivité du Vegatron l’a transformé en mutant géant. Sa capacité de mouvement s’est accrue, et sa taille l’a rendu plus féroce. De plus, la pesanteur sur Zari est treize fois celle de la Terre. Minos : J’espère pour vous que cette fois, vous réussirez. / Sur Terre, sa vitesse sera prodigieuse. Minas : Horos, vous venez de créer la première génération d’armes capables de mettre Goldorak en difficulté. / Le Monstronef Zari-Zari sera l’arme idéale pour exploiter les points faibles de Grendizer.

Au ranch. Actarus entraîne le cheval. Sa douleur se réveille. Mizar : Actarus ! Actarus ! / Daisuke ! Daisuke ! Actarus : Mizar ! Pourquoi cries-tu ainsi ? / Qu’y a-t-il ? Mizar : Regarde l’oiseau ! Regarde l’oiseau ! / C’est l’oisillon… Venusia : On l’a bien soigné mais il a continué à s’affaiblir. Je crois qu’il est mort. / Il continue de s’affaiblir. Il est peut-être déjà trop tard. Mizar : Oh non, c’est pas possible Actarus. Dis-moi qu’il n’est pas mort. Je l’aimais bien mon oiseau. Faut que tu essayes de le guérir, Actarus. / Dis-mi que ce n’est pas vrai, hein, Daisuke ? Daisuke, dis-moi que ce n’est pas vrai ! Hein, Daisuke ? Actarus : J’ai une idée. On peut le ranimer. On va l’emmener au centre. / Ecoute, on peut le soigner. Allons au Centre.

Au centre, Procyon essaye le traitement d’Actarus. Mizar : T’es un champion, oncle Procyon. Tu as ressuscité mon oiseau. / Merci, m’sieur ! Merci, Daisuke. Venusia : Merci, professeur. / Merci. Mizar : Merci Actarus / Allons-y ! Venusia et Mizar s’en vont. Actarus : Père, veux-tu en faire autant pour moi ? / Père. Pour moi aussi. Procyon : Actarus ! / Daisuke !

Venusia et Mizar sont dans la forêt Mizar : Oh regarde ! / Il est trop mignon. Venusia : Alors, tu es content ? Attend-moi Mizar. Attend-moi. / Tout va bien. Attends, Gorô !

Au centre. Procyon : Est-ce que ça va ? / Daisuke… Actarus : Il faut que je résiste. Je dois continuer à me battre pour que mes amis puissent vivre en paix. / Pour ne plus subir cette douleur, je me battrai.

Le golgoth entre dans l’atmosphère. Argoli : Jamais vu ça. Professeur, un ovni approche de la Terre à une vitesse invraisemblable. / Quelle vitesse ! Professeur, un ovni s’approche à une vitesse incroyable. Procyon : Quoi ? / Quoi ? Argoli : Mais c’est incroyable. Il est déjà dans l’atmosphère. / Il est déjà dans l’atmosphère.

Actarus dans le couloir, asporat. Actarus : Métamorphose ! Goldorak go ! Qu’est-ce que c’est encore ça ? Missiles gamma ! Megavolts ! Planitrons ! Transfert ! Autolargue ! Astérohaches ! Cabré ! / Duke Fleed ! Grendizer go ! Te voilà, Monstronef. Spin Drill ! Melt Shower ! Spin Saucer ! Chute in ! Dizer go ! Double Harkin ! Dizer Jump ! Il rate le golgoth. Actarus : Récupération ! Cabré ! / Bon sang. Spazer go ! Dizer jump ! Le golgoth le percute avant qu’il rejoigne la soucoupe. Il tombe. Il y a une explosion.

Horos : Bien joué, Golgoth. Bien joué. Continue. Continue. Si tu parviens à détruire Goldorak, nous pourrons enfin envahir la Terre. / Bravo ! Bien joué, Zari-Zari ! Sans Grendizer, la Terre est déjà à nous.

Procyon : Actarus, ici le Centre. Réponds-moi. Réponds-moi / Daisuke ! Daisuke, réponds-moi ! Venusia : Actarus, réponds ! / Daisuke… Alcor : Bon sang, ils ne l’emporteront pas au paradis. / Bon sang ! Je vais le venger ! Alcor prend sa jeep. Alcor : Quel monstre ! J’espère que mon canon nucléaire pourra au moins l’égratigner. / Maudit Monstronef, tu vas tâter du canon-cyclone.

Riguel est sur son cheval un arc à la main Riguel : Allez, allez. Avance un peu fainéant. Oh Alcor, attends-moi. Moi aussi je veux participer à la fête. / Hue ! Hue ! Oh, Kôji ! Attends un peu ! Je me battrai à tes côtés !

Flashback sur un combat avec le Golgoth Procyon : Actarus, est-ce que tu me reçois ! Réponds-moi ! / Daisuke, réponds-moi; Daisuke ! Actarus se réveille. Actarus : Ce golgoth me rappelle quelque chose. Je l’ai déjà vu mais où ? / Ce Monstronef me dit quelque chose. Procyon : Actarus, Actarus, tu m’entends ? / Daisuke ! Daisuke, réponds ! Actarus : Oui, père. / Père ? Procyon : Pourquoi ne répondais-tu pas ? / Ça va ? Actarus : La douleur a dû provoquer une syncope. Maintenant ça va. / J’ai déclenché une fausse explosion. Cette fois-ci… Il a mal au bras. Venusia : Actarus ! Oh mon Dieu. Qu’est-ce qu’il a ? / Daisuke ! Daisuke, tiens bon ! Procyon : Actarus, il faut que tu te sortes de là ! / Daisuke, tiens bon. Venusia : Reprends les commandes. Le golgoth est surement moins fort que toi. Actarus, tu dois revenir. Ton père a réussi à guérir l’oiseau. Il pourra certainement te guérir aussi. / Tu ne vas pas te laisser abattre pour si peu ! Même l’oisillon s’est totalement rétabli ! Daisuke, tiens bon ! Actarus : L’oiseau. J’aurais dû comprendre plus tôt. Ce golgoth est animé par le cerveau de mon cousin Obéron. Quand nous étions enfants, notre animal préféré était ce petit grillon dont le Golgoth a pris la forme. Obéron a dû être traité au lasernium puisque mon mal se réveille aussitôt que le golgoth s’approche de moi. Pardon Obéron, ce n’est pas toi que je vais éliminer mais le monstre que tu es devenu. / L’oisillon, l’oisillon… Mais oui, je reconnais ce Monstronef. Zari-Zari était mon animal de compagnie quand j’étais petit. Il aurait été transformé en Monstronef ? Je croyais que Zari avait péri lors de l’attaque de Vega. La radioactivité a dû le métamorphoser. Pauvre Zari-Zari. Mais maitnenant, tu es un Monstronef. Alcor tire avec son canon. Riguel arrive. Riguel : Alcor, tiens bon, je viens à ton secours. / Kôji, je viens t’aider ! Alcor : Oh Riguel, il ne manquait plus que lui. / Danbei ! Riguel : Je suis le vieux Riguel, le roi du far West. Descend un peu espèce de lâche. Descend si tu es un homme. / Mon nom est Dannohyôe Makiba ! Viens te battre à la loyale ! Alcor : Arrête tes bêtises. Le plus prudent c’est de fiche le camp d’ici en vitesse. / Qu’est-ce que vous raconter ? Vous devez vous enfuir ! Riguel : Quoi ! Tu oserais fuir devant l’ennemi ? Tu n’es qu’un trouillard. / Quoi ? Et tourner le dos à l’ennemi ? Le Golgoth tire sur la jeep. Riguel : Eh viens donc. Ce n’est pas toi qui va me faire peur ! / Approche ! Viens te battre à la loyale ! Devant Alcor, Goldorak apparaît. Alcor : Voilà Goldorak. Vas-y, je te laisse la place. / Grendizer, je compte sur toi ! Actarus : Malgré la peine que j’éprouve, je ne peux que te détruire. C’est affreux. Obéron et moi étions les meilleurs amis. C’est lui ou moi. / Pour le vaincre, je dois guetter le moment opportun. Double Harkin ! Je dois viser sa queue au bon moment. C’est le moment ! Space Thunder ! Il lance l’astérohache et le cornofulgure.

Le soleil se couche. Mizar et Venusia courent sur le chemin après l’oiseau. Mizar : Oh, regarde-le. Bon voyage ! / C’est bien. Courage ! Venusia : Et fais attention de ne pas te blesser à nouveau. / Ne te blesse plus ! Un peu plus loin, sont réunis Alcor, Actarus et Procyon Alcor : C’est affolant. Quand on pense qu’ils ont réussi à transformer ton ami Obéron en monstre. / Je n’arrive pas à croire que c’était ton animal quand tu étais jeune. Procyon : Ils peuvent changer n’importe qui en monstre. Il suffit d’irradier les cellules nerveuses au lasernium jusqu’à ce qu’elles soient perméables à tous les ordres. / La radioactivité en a fait un mutant. C’est une pauvre victime qui a été utilisée comme une arme. Actarus : Nous devons nous méfier de tout. Même d’un oiseau. Cette bête innocente pourrait devenir les ailes de la mort. / Nul ne peut garantir que cet oiseau ne subira pas le même sort. Il faudra tout faire pour que ça ne lui arrive jamais.

Prochain épisode : Et les larmes du loup devinrent une étoile filante. Un mystérieux pistolero apparaît au ranch du Bouleau Blanc. Il vient se venger d’un vieil ennemi. Et cet ennemi n’est autre que Duke Fleed. Je m’interpose pour protéger Daisuke, mais je ne suis pas de taille. Daisuke est en danger ! Finalement vaincu par Duke Fleed, cet homme va changer. Quelque chose brille dans son regard.