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Episode 30 Goldorak dans… La pierre de foudre / La ballade de la cicatrice rouge

Une pierre tombe dans un zoo et ouvre la cage d’un lion.

Gardien 1 : Mais dis donc, c’est le lion ! / C’est le lion ! Gardine 2 : Mais qu’est-ce qu’il lui prend ? Pourquoi fait-il ce boucan, au lieu de dormir ? / Que se passe-t-il ? Il y a un problème.

Gardien 1 : Allons voir. / Allons voir.

Le lion sort.

Gardien 1 : Regarde, la cage est ouverte. Il faudrait peut-être le faire rentrer dans sa cage. / La cage est brisée. Il faut vite le ramener dans sa cage. Gardien 2 : Eh bien, je n’ai pas l’intention de servir de petit déjeuner. / Je sais, mais… On essaie de faire les morts ? Gardien 1 : Mais qu’est-ce que c’est ce truc qui brille ? / Tu es sûr ? Les gardiens tremblent de peur et s’éloignent. Le lion met la patte sur la pierre puis le prend dans sa gueule et tombe endormi. Gardien 1 : Il faut prévenir le patron. / Qu’est-ce que c’est ?

Au centre. Etude de la pierre. Alcor : Comment une aussi petite pierre peut-elle produire autant d’électricité ? Je comprends maintenant pourquoi le lion a été foudroyé quand il l’a touché. / Cette petite pierre produit de l’électricité. Même le lion n’a pas tenu le choc, en la croquant. Actarus : Il n’a pas été tué. Il a été sonné par le courant qu’il a reçu mais l’intensité n’était pas suffisante. Je suis sûr qu’on arrivera à le sauver. / Mais heureusement, il s’en est sorti. Il s’est parait-il effondré, avant de se relever. Alcor : C’est à peine croyable. Professeur, quels sont les composants de cette météorite ? / Tant mieux. Mais, professeur, d’où vient cette météorite ? Procyon : Des molécules complexes chargées d’électricité. / Ce matériau dégage de l’électricité. Actarus : Dis-moi, père. Envisages-tu qu’elle puisse avoir été fabriquée ? / Père. Cette pierre serait-elle artificielle ? Alcor : Artificiellement ? Ce serait encore un coup du Grand Stratéguerre ? / Artificielle ? Ça veut dire que ce serait une de leurs armes ? Procyon : Non, je ne crois pas. Les structures moléculaires sont purement minérales. / Non, c’est bel et bien une pierre naturelle. Actarus : Comme celles qui existaient il y a des milliards d’années et qui ont été à la base des acides aminés donc de la vie ? / On trouve donc des pierres semblables dans l’espace ? Procyon : Oui, c’est ça. Cette pierre n’est qu’une poussière de la masse énergétique qui circule dans l’espace galactique et même bien au-delà, j’en suis certain. / Oui, et il ne s’agit certainement que d’un petit fragment. Quelque part dans l’espace se trouve la masse rocheuse d’origine. Alcor : Alors si on sait l’utiliser, elles pourraient être une source inépuisable d’énergie. / Si on mettait la main dessus, ce serait une formidable source d’énergie. Procyon : Nous ignorons toujours comment faire mais nous pourrions étudier la question. / Il doit exister dans l’espace une source infinie de ce matériau inconnu. Alcor : Je n’ai pas le temps d’attendre les résultats. / On ne peut pas rester les bras croisés. Actarus : Attends Alcor. Bon sang, pourquoi est-ce que tu es si pressé ? / Attends, Kôji. Où te précipites-tu comme ça ? Alcor : Parce que je dois mettre au point ma soucoupe à géométrie variable. Elle sera utile au professeur au cas où il voudrait développer son programme spatial. / Vu la situation, il faut se dépêcher. Si je ne finis pas ma soucoupe, je ne pourrai pas participer à votre programme spatial. Procyon : L’énergie contenue dans cette météorite doit être considérable. Mais si d’autres s’en emparaient, ils possèderaient une arme redoutable. / C’est effectivement une formidable source d’énergie. Mais aux mains de l’ennemi, ce serait une arme redoutable.

Sur le camp de la Lune noire. Horos examine la construction d’un golgoth. Minos : J’espère que notre plan se déroule bien. / Le travail avance-t-il ? Horos : Très bien et tu en apprécieras le résultat très bientôt. / Ce sera bientôt fini, comme prévu. Minos : L’idée de faire lancer sur Terre la pierre de foudre par un antérak était excellente. Les hommes croiront qu’elle existe chez eux. / Bâtir un Monstronef avec une pierre de la planète Goda est une remarquable idée, Zuril Horos : Alors qu’on ne la trouve que sur la 10e planète qui semble être le noyau géant des comètes non encore dissociées. / La majorité de la surface de Goda est recouverte de ce matériau. Cette pierre est petite mais puissante. Image de la planète Goda. Ordinateur de Horos : Attention à la phase suivante. Soyez prêt à engager un nouvel antérak. Envoyez le plus perfectionné. / Etape finale. Placez le dispositif Spark dans le Monstronef Goda-Goda. Achevez vite le travail ! Minos : Je vais les ramener au temps où ils craignaient que le ciel leur tombe sur la tête. / Maintenant, on est de taille face à Grendizer.

Alcor dans son atelier. Alcor : Ça y est, j’ai terminé. Bien sûr, ça a une drôle de silhouette pour un OVT. Ça fait un peu démodé. Mais je ne suis pas mécontent d’avoir réalisé ça. Je vais chercher Vénusia et Actarus. Je tiens qu’ils soient les témoins du premier vol du bébé. / Ça y est, j’ai fini. La forme n’est pas exactement la même. Mince, alors ! Peu importe, j’ai achevé le prototype n° 1 de ma soucoupe. Je ferai un vol d’essai avec l’aide de Daisuke et Hikaru.

Horos : Préparez Antérak 127 pour l’attaque. / Envoyez le Monstronef Goda-Goda ! Minos : Je suis impatient de voir la puissance exacte de ce prototype. / Je veux voir la puissance de Goda-Goda. Horos : Antérak 127, attention, attaque immédiate. / Monstronef Goda-Goda, passez en mode de combat. Minos : Opération « Foudre » / Attaque Spark L’antérak fait exploser une pierre dans l’espace.

Sur Terre, il fait de l’orage. Nos trois amis sont dehors pour faire le premier vol d’essai de l’OVT2. Alcor : Flûte, quelle guigne d’avoir un temps pareil pour essayer mon nouvel OVT. / Et voilà que je me farcis une tempête le jour de mon vol d’essai. Actarus : Oui, tu as intérêt d’attendre demain. / Oui. Mieux vaut renoncer. Alcor : Pas question ! Demain, il sera peut-être trop tard. / Ah non, on ne va pas temporiser. Je dois parachever au plus vite ma nouvelle soucoupe. Actarus : Tu as raison. Cet OVT pourra nous être utile mais il ne faut pas l’essayer maintenant. / RAS Vénusia : Vous ne pourrez rien mettre au point dans un orage pareil ! / Mais tu as vu le temps qu’il fait ? Alcor : T’inquiète pas ! Il m’en faudrait plus que ça pour me faire reculer. / Ces quelques gouttes ne me gênent pas ! Actarus : Attends ! Non, non, écoute une seconde. D’accord, on doit se dépêcher de finir la mise au point de ta soucoupe mais si on confond vitesse et précipitation, on risque d’aller à un échec ! / Hé, attends, Kôji. Je sais bien qu’il faut vite achever ta soucoupe. Mais ça ne t’avancera à rien d’échouer par précipitation. Alcor : Fiche-moi la paix. Il faut l’essayer. / Ça ira, laisse-moi faire. Actarus : Alcor, écoute-moi. / Kôji, attends ! La foudre tombe sur un arbre qui prend feu tandis qu’Alcor court vers son appareil. Actarus : Alcor, arrête ! C’est trop dangereux ! / Kôji, arrête, c’est dangereux ! Actarus le suit. Actarus : RAS / Attends ! Alcor : Lâche-moi. Ce n’est pas un orage qui va me faire peur ! / T’inquiète, c’est rien ! La foudre tombe sur l’appareil et l’échelle. Alcor tombe et est retenu par Actarus qui plonge au sol en le protégeant. Il reçoit une barre de fer sur son épaule droite. Vénusia : Oh ! Oh mon Dieu, Actarus ! / Daisuke ! Alcor : Quel manque de chance ! Cet orage de malheur va retarder mon premier vol. / Bon sang, maudit orage ! Tu as gâché mon vol d’essai ! Vénusia : Actarus, tu es blessé ? / Tu n’as rien, Daisuke ? Alcor : Qu’est-ce que tu racontes ? Pourquoi serait-il blessé ? / Tu es blessé, Daisuke ? Vénusia : Parce qu’une poutrelle d’acier lui est tombée dessus quand il a essayé de te protéger. Est-ce que tu as compris, maintenant, ingrat ? / Qu’est-ce que tu racontes ? Daisuke a reçu un pilier sur lui en voulant te protéger ! Alcor : Tu as mal, vieux frère ? / Un pilier ? Actarus : Non, ce n’est pas grave. C’est mon bras qui a amorti le choc. / Ce n’est rien, il m’a juste touché le bras. Vénusia : Ne bouge pas, Actarus. Je vais te faire un pansement provisoire. / Montre-moi ton bras, Daisuke. Actarus : Aie Venusia : Oh, tu souffres. Il faut rentrer pour arranger ça. / Je t’ai fait mal, Daisuke ? Actarus : Non, non, ce n’est pas la peine. Ce n’est rien. C’est fini. Il n’y a rien de cassé. Ça ira maintenant. / Non, ce n’est rien. Merci. Ça va déjà mieux. Alcor : Je suis navré. Excuse-moi, Actarus. / Je m’excuse, Daisuke.

L’antérak rentre dans l’atmosphère terrestre. Argoli : Professeur, j’aperçois un ovni sur le scope radar. / Professeur, un ovni en approche ! Procyon : Très bien, je vais l’observer sur le capteur galaxique. Seigneur, c’est un antérak. / Bien, faisons un agrandissement. C’est un Monstronef. Les jeunes arrivent. Actarus : Qu’est-ce qu’il y a ? / Père ! Procyon : Le camp de la Lune noire nous envoie un visiteur. Il va falloir que tu t’occupes de lui. / C’est un Monstronef de Vega. Pars immédiatement au combat. Actarus : Entendu. / Oui. Il tombe sous la souffrance de son bras. Vénusia : Actarus ! / Daisuke ! Il s’évanouit Procyon : Qu’est-ce que tu as ? Réponds-moi ! / Qu’y a-t-il, Daisuke ? Ressaisis-toi ! Actarus : Mon bras, mon bras / Mon bras… Mon bras… L’antérak continue son entrée. Pendant que tout le monde est à l’infirmerie. Procyon : Aucun anticorps ne fait d’effet. Cette lésion a une cause qui m’échappe. / L’antalgique n’a aucun effet. Ce n’est pas une simple contusion. Alcor : Selon vous, professeur, à quoi serait-elle due ? / Alors, qu’est-ce que c’est ? Procyon : Il se pourrait… non non non, je ne peux rien dire sans un examen approfondi. / C’est peut-être… Non, je dois l’examiner pour être sûr. Alcor : Il avait bien besoin de ça. / Daisuke. Vénusia : Sois tranquille, Actarus, nous te sauverons. / Daisuke, courage !

Minos : Antérak 130, détruis tout ce que tu trouves sur ton passage. Cela forcera Goldorak à sortir de son repère. Dès que tu le verras, envoie-le en enfer. / Goda-goda, détruis tout sur ton passage. Ça obligera Grendizer à se montrer. Détruis Grendizer ! Quoi qu’il en coûte !

A l’infirmerie. Procyon : C’est bien ce que je craignais. / C’était bien ça. Alcor : Qu’est-ce que c’est ? / Professeur. Procyon : Cette blessure a été causée par la radioactivité. / La blessure est d’origine radioactive. Alcor : Mais c’est impossible ! Il a été heurté par une poutrelle. Je ne vois pas ce que la radioactivité vient faire la dedans. / C’est absurde ! Comment un simple pilier aurait fait ça ? Procyon : Je n’ai pas dit que cette blessure datait d’aujourd’hui. Il est possible qu’un traumatisme ancien se soit réveillé et se soit mis brusquement à évoluer. / La blessure date peut-être. Il se peut que la foudre ait aggravé une vieille blessure. Alcor : Quand je pense que tout ça est ma faute ! / Ce n’est pas possible… Venusia (se jetant sur Actarus et pleurant) : Oh, Actarus ! / Daisuke ! Alcor sort de la pièce en courant. Alcor : Tout est ma faute. Actarus s’est fait mal parce qu’il m’a empêché de prendre des risques. C’est ma faute. / C’est à cause de ma stupidité qu’on en est là ! Je suis responsable de ce qui arrive à Daisuke. Argoli : Qu’est-ce qu’il se passe ? On ne trouve Actarus nulle part. Il n’a pas encore décollé. L’antérak s’accage toute la ville. Maintenant, il n’y a que Goldorak qui puisse l’arrêter. / Kôji, comment va Daisuke ? Il ne peut toujours pas sortir ? Le Monstronef est en train de détruire toute la ville. Alcor : Ou moi. / Bon sang !

L’antérak détruit tout. Les gens s’enfuient.

Banta court pour rejoindre le ranch. Banta : C’est épouvantable. On dirait que ce monstre est en train de saccager toute la ville. Faite quelque chose, on va tous être… / Seigneur Dannohyôei ! C’est affreux ! C’est une vraie catastrophe ! Riguel : Allons, un peu de sang-froid, mon garçon. Un ovni attaqué, alors il n’y a pas de quoi paniquer ! / Ne t’affole pas, Banta. Je sais qu’un ovni nous assaille. Banta : Hein, pas de quoi paniquer ! / Sire Dannohyôei. Riguel : Et hop ! Surveille le ranch pendant que moi, je m’en occupe. / Banta, occupe-toi du reste. Banta : Ouh là là ! Riguel : Il n’y a pas une minute à perdre. C’est le moment de passer à l’action. / Danbei Makiba entre en scène !

Alcor arrive sur son OVT. Alcor : Pour un vol d’essai, ça va être mouvementé. Pourvu que cet engin tienne le coup. Soit gentil, essaye au moins de décoller. On va montrer à Actarus ce que nous savons faire. / Pour le premier vol de mon prototype de soucoupe, je dois affronter un Monstronef de Vega. Envole-toi, je t’en prie. Daisuke, je promets de me racheter.

A l’infirmerie. Vénusia : Il a toujours mal. / Daisuke. Procyon : Oui, il s’est évanoui mais il n’y a pas lieu de s’inquiéter. / Ça va, il a juste perdu connaissance. Vénusia : Vous avez trouvé le moyen de le guérir ? / Cela va-t-il le guérir ? Procyon : Pas instantanément et pas complètement mais j’espère que ça calmera la douleur. Vénusia, maintiens-le et empêche-le de bouger. / Dans l’immédiat, pas complètement, mais ça apaisera la douleur. Hikaru, tiens-lui le bras, s’il te plait. Vénusia : Oui. Courage, Actarus. / Entendu. Daisuke, courage.

Riguel : Allez ! C’est pas un ovni qui va me faire peur. Maintenant à nous deux. Ah, le voilà. Je vais lui faire le coup de Sitting Bull. Si tu crois que tu vas t’en tirer comme ça. Reste là, espèce de dégonflé. Reviens ici, tout de suite. Reviens donc. / Te voilà, saleté de soucoupe ! Maudit ovni ! O Dieu de la guerre, j’en appelle à toi. Attends ! C’est lâche de s’enfuir ! Bats-toi à la loyale ! Attends !

Alcor : Voilà cet antérak de malheur. Quelle malchance ! Je n’ai pas assez de puissance pour lui courir après. / Le voilà. Bon sang… Sans cet orage, j’aurais pu armer la soucoupe.

Venusia : Il a bougé. / Daisuke. Procyon : Actarus, comment va ton bras ? Est-ce que tu souffres encore ? / Daisuke. Alors ? Ta blessure te lance ? Actarus : Non, plus du tout. Je me sens en pleine forme. / Ça va mieux. Procyon : Ecoute-moi. Ton mal n’est pas une simple blessure, j’en suis certain. / Attends, Daisuke. Ce n’est pas une simple contusion. Actarus : Quoi ? Procyon : Tu as dû être exposé à des radiations atomiques. Et je pense que cela doit remonter à pas mal de temps. / Tu as été irradié. On dirait une blessure ancienne. Ça te dit quelque chose ? Flashback de la bataille d’Euphor. Procyon : Tu te souviens de quelque chose ? / Tu n’as aucun souvenir ? Actarus : Oui, c’est la cicatrice d’une blessure faite par le lasernium. / C’est dû à la radioactivité du Vegatron. Venusia : Et cette blessure date de quand ? / Le Vegatron ? Actarus : Elle date de la dernière attaque sur Euphor. J’ai été brûlé par l’onde thermique d’une explosion nucléaire. Bon, je crois qu’on m’attend. / C’était peu avant la fin de Fleed. J’ai été blessé par l’explosion d’une bombe à protons de Vega. Je pars au combat. Procyon : Soit prudent. / Daisuke ! Vénusia : Ne prend pas de risque. / Daisuke-san

Scéne de l’Asporat, Métamorphose. Actarus : Goldorak paré pour la descente / Grendizer, paré au décollage. Procyon : Ouvrez la route n° 7 / Descente de Dizer. Route 7, ouverture ! Actarus : Goldorak go / Grendizer, go ! Flashback de l’explosion nucléaire. Actarus : Je savais que le mal m’envahirait un jour. Pourvu qu’il me reste assez de temps pour combattre jusqu’à la victoire. / Je savais que cette blessure se réveillerait un jour, mais j’ai encore le temps.

Alcor : Sans arme, je ne peux rien contre cet antérak. A moins de jouer les kamikazes. / Sans armement, je ne suis sans doute pas de taille, mais je vais tenter de le percuter. Il est touché tandis qu’Actarus arrive sur les lieux. Actarus : Oh Alcor ! / Oh Kôji ! Alcor s’écrase sur un rocher dans une rivière. Actarus : Tu vas me payer ça ! Missiles gamma ! / A nous, Monstronef ! Spin Drill !

Riguel : Oh oh, mais qu’est-ce que c’est que ce truc-là ? Oh mais on dirait Alcor ! Oh Alcor, réveille-toi ! Mais réveille-toi donc ! / Qu’est-ce que c’est que ça ? Kôji ! C’est toi, Kôji ? Ohé ! Tiens bon ! Hé, réveille-toi… Alcor : Riguel ! / Danbei… Riguel : J’ai l’impression que je tombe à pic. Dépêche-toi, vite, allez. Saute derrière moi. / Je vais te sortir de là. Monte vite !

Actarus : Pulvonium ! Planitrons ! Mégavolts ! Transfert ! Autolargue ! Achileochoc ! Fulguropoing ! De la trinitite ! J’aurais dû m’en douter tout de suite. Pour l’instant, l’essentiel est d’échapper à ce monstre. Pulvonium ! Astérohaches ! Cornofulgure ! / Hand Beam ! Space Saucer ! Melt Shower ! Chute in ! Dizer go ! En avant, Monstronef. Dizer kick ! Screw Crush Punch ! Je reconnais cette lumière. Ils ont déjà cette fameuse roche. Ça signifie que l’un est positif et l’autre négatif. Hand Beam ! Double Harkin ! Space Thunder !

Au centre. Procyon : Si tu as été touché par du lasernium, je peux temporairement atténuer tes douleurs. Mais en l’état actuel de la science, il m’est impossible de te guérir. / La radioactivité du Vegatron… On pourra momentanément apaiser la douleur, mais nous n’avons pour le moment aucun vrai remède. Actarus : Oui, je sais que mes jours sont désormais comptés. Et toi aussi tu le sais, n’est-ce pas ? / Si cette blessure rouge s’étend jusqu’à mon cœur, j’en mourrai. Procyon : Hélas oui. / Daisuke. Actarus : Tout ce que j’espère c’est que le mal ne progressera que lentement. Je ne demande qu’une chose. C’est d’avoir suffisamment de temps pour achever mon travail. / Mais ça prendre encore du temps. Tant que je vivrai, j’accomplirai la mission qui est la mienne. Actarus est sur son buggy et regarde la lune. Musique VF de Accours vers nous. Musique VO de Daisuke barado (la ballade de Daisuke) : Dans l’espace obscur, une étoile brûle. Elle était pourtant si belle, la planète Fleed. Ses immenses étendues vertes, pareilles à celles de la Terre ont brûlé dans un brasier infernal. Daisuke, n’oublie jamais cette douleur. Duke Fleed, dresse-toi, pour que cette tragédie plus jamais ne se reproduise.

Episode suivant : L’amitié de Boss fleurit dans le ciel Le venteux mois de mai. Afin de m’encourager après la perte du T-FO, Boss vient au ranch du Bouleau Blanc avec son Boss Spazer. Mais la joie est de courte durée. Le ranch est attaqué par un Monstronef et des Mini-FO. Grendizer et Boss Borot entrent en action !