L'attaque du Dragosaure

De Wikirak
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Nom original (caractères originaux) : グレンダイザー・ゲッターロボG・グレートマジンガー 決戦!大海獣

Nom original (caractères latins) : Grendizer, Getter Robo G, Great Mazinger: Kessen! Daikaijuu

Nom français : L'attaque du Dragosaure

Date de sortie initiale : 18 juillet 1976

Durée : 31 minutes

Staff ayant œuvré sur ce deuxième film

Seiyū / comédiens de doublage de ce deuxième film

Ce film devrait en principe se situer en pleine saison 2, entre les épisodes 41 – Le baptême du feu et 42 – Péril en la demeure. Si Great Mazinger et Goldorak sont bien évidemment des séries apparentées, il n’existe par contre aucune connexion avec Getter Robot et sa suite Getter Robot G.

Un monstre marin appelé « dragosaure » sème la terreur en attaquant des bateaux et des installations côtières. Sorte de gigantesque dinosaure mutant, l’animal se nourrit de pétrole et grandit au fur et à mesure qu’il s’alimente. Réunis dans les locaux du ministère de la Défense, les professeurs Procyon, Yumi et Saotome décident de former une unité spéciale composée des robots des différents laboratoires : Goldorak et Alcorak pour le Centre spatial de Recherches, Great Mazinger, Diana Alpha et Vénus Ace pour la Forteresse des Sciences et Getter Robot G pour le Laboratoire Saotome. Le commando de choc est envoyé contre le monstre et constate rapidement que celui-ci est pratiquement invulnérable : les armes utilisées contre lui demeurent sans effet et ses multiples têtes repoussent dès qu’on les coupe. Pour compliquer le tout, Boss Robot (Béliorak) s’est imprudemment joint aux combattants et a été avalé par la bête. Après l’avoir délivré, les robots lutteurs affrontent une deuxième fois le dragosaure, qui menace à présent la ville de Tokyo. Ils parviendront finalement à le détruire en faisant exploser le fuel accumulé dans son estomac.


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À voir par curiosité… et à oublier aussitôt. Pur produit commercial destiné aux fans des différentes séries dont il utilise les personnages, ce cross-over est d’une désolante médiocrité. Son rachitique scénario n’est que le prétexte à une exhibition musclée de robots lutteurs face à un monstre totalement grotesque. La scène où Béliorak s’évade des entrailles du dragosaure en empruntant ses voies naturelles est d’une rare élégance et situe bien le niveau de ce très dispensable court-métrage.

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