La machine du diable - 10 chapitres - Récit terminé

Vous avez réalisé une création en rapport avec Goldorak que vous souhaitez partager, alors c'est ici :
(fan-art; fan-fiction; figurine custom etc...)
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Gurendaizä
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Re: La machine du diable

Message par Gurendaizä »

merci babeth ! :oops: :oops: :oops: :oops: :oops: :goldo3:
グレンダイザー
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Gurendaizä
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Re: La machine du diable

Message par Gurendaizä »

J'explore une à une les différentes planètes de cet étrange système solaire. Mais à cette époque, je n'ai encore que très peu d'expérience des mondes hostiles. Je me pose sur la seconde, qui semble inoffensive au premier abord, La vitre du cockpit s'ouvre, je me prépare à bondir à l'extérieur....Inexplicablement, tout tourne autour de moi, la gorge me pique, je vais me sentir mal....J'ai juste le temps de refermer la vitre. Je l'ai échappé belle, l'atmosphère de cette planète est hautement toxique. Quelques secondes passées à l'extérieur auraient suffi.... La prochaine fois, j'analyserai la composition de l'air avant de m'aventurer dans de nouveaux mondes.

Notre situation n'est pas brillante, Aucune planète n'est habitable, et je n'y ai trouvé aucune nourriture. Goldorak a besoin d'énergie solaire pour fonctionner. Or l'étoile de ce système n'est pas assez puissante, il m'a fallu une journée entière pour le recharger, là où habituellement quelques minutes me suffisent... De plus, il n'y a aucun matériel médical à bord. Ainsi, j'utilise des pansements de fortune. Ceux-ci sont malheureusement insuffisants. Les blessures bénignes finissent par cicatriser, mais d'autres comme celle de mon bras droit me font toujours souffrir. Je n'arrive même presque plus à le bouger. Maintenant, Goldorak fonctionne la plupart du temps en pilotage automatique.

Pour faire durer mes vivres le plus longtemps possible, je ne me nourris que tous les deux jours. La faim me tenaille, mais je résiste...tant bien que mal il est vrai, je m'affaiblis petit à petit. Maintenant si je devais combattre, je ne pourrais pas résister bien longtemps... Malgré tout, je ne me sens plus vraiment comme une bête traquée comme aux premiers jours de ma fuite. Je n'ai rencontré que très peu de vaisseaux. J'en viens à me demander si la nébuleuse de Véga est le seul monde habité.

*****

Etrange, Goldorak est au minimum de sa vitesse, et pourtant, il semble accélérer brusquement. Que se passe-t-il ? J'ai de plus en plus de difficultés à le contrôler. Nous allons de plus en plus vite. Je sens la panique me gagner. C'est une impression bizarre, je crois bien que c'est la première fois de ma vie que j'éprouve ce sentiment. Sans réfléchir, je tente de fuir avec le mégamach, mais en pure perte. Malgré sa constitution, Goldorak risque de se disloquer. Je dois me rendre à l'évidence, nous sommes attirés dans un trou noir ! Autour de nous, des milliers de débris. Nous allons de plus en plus vite, attirés dans le tourbillon de la mort. Je sens la carcasse de Goldorak vibrer, trembler, dans quelques secondes, nous subirons le même sort que les malheureux vaisseaux dont je viens d'apercevoir les épaves. La température du cockpit augmente brusquement. Je m'accroche aux manettes pour tenter de me rassurer alors que le vaisseau est entraîné de plus en plus vite vers l'inconnu. Je sens soudain comme une décharge électrique sur les manettes qui se propage dans mon corps. Dans quelques secondes Goldorak sera détruit...c'est ma dernière pensée avant de sombrer....


Combien de temps suis-je resté ainsi ? Je tente de me redresser, mais mon corps me fait mal. Malgré ma douleur, je remarque immédiatement que quelque chose ne va pas. Le cockpit est plongé dans l'obscurité, et Goldorak semble dériver. Il ne fonctionne plus. Ma manoeuvre désespérée aura eu raison de ses dernières ressources énergétiques. Heureusement, il existe un générateur de secours qui permet d'apporter de l'oxygène, sinon...Cependant, il ne faudrait pas que ce manque d'énergie s'éternise, sinon ce générateur serait aussi menacé. Je prends tout de même conscience que c'est un miracle que Goldorak ait résisté.

En attendant, après avoir enlevé le haut de ma combinaison, j'examine mon corps endolori. Mes anciennes blessures ne sont pas cicatrisées, de plus certaines ne sont pas très belles. Cette décharge ne va certainement pas les arranger ! Je ne peux réprimer un cri de douleur lorsque j'enfile ma combinaison de nouveau.. Comme pour le moment, je n'ai pas autre chose à faire, je vais essayer de dormir un peu. Je n'utilise plus depuis longtemps la couchette. En cas d'urgence, je préfère rester à ma place pour pouvoir réagir immédiatement. Mais malgré ma fatigue, le sommeil se fait attendre. Soudain, je me redresse. Je me suis laissé surprendre ! Devant moi, une soucoupe de la même taille que Goldorak, de couleur verte et violette, d'où sort une immense gueule prête à me broyer. Je tente de remettre Goldorak en marche, mais il ne répond pas, je ne me souvenais plus à cet instant qu'il n'a plus d'énergie. Le Golgoth va se jeter sur moi, je pousse un cri.... Je me réveille en sursaut, trempé de sueur. J'avais réussi à m'assoupir, mais un cauchemar s'était emparé de moi, le premier d'une longue série....

Pour tenter de me détendre, je fais un brin de toilette. Dans la soucoupe porteuse, il existe effectivement une mini "salle d'eau". Malgré notre situation critique, il est important que je préserve mon hygiène. Cette toilette me fait du bien, et m'apporte un peu de sérénité. La douleur est toujours là, mais j'apprends à passer outre.

Je m'installe de nouveau dans le cockpit après avoir pris une légère collation, la seule de la "journée". Depuis que j'erre dans l'espace, j'ai perdu la notion du temps. S'est il écoulé un jour, une semaine, un mois, un an ? En regardant à travers la vitre, je me rends compte que je ne suis plus dans un désert spatial. Face à moi, s'étale ce qui ressemble à un système solaire. Il est encore loin. Les rayons de son soleil ne peuvent pas encore nous atteindre. Ah, si Goldorak pouvait dériver vers ce système solaire ! Je prie le dieu protecteur Dizer de nous y amener.... Mon regard est soudain attiré par l'une des planètes. Elle est d'un bleu comme je n'en ai encore jamais vu, la couleur de l'espoir....

:salut: :goldo3:
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babeth
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Re: La machine du diable

Message par babeth »

J'attendais la suite avec impatience :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: :coeur:

Merci beaucoup Gurendaizä, c'est toujours un plaisir de te lire :wink: :up:
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"Alors, on se réveille ma Princesse ?"
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Re: La machine du diable

Message par Gurendaizä »

:oops: :oops: :oops: :oops: :oops: :oops: :goldo3:
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Monsieur Vilak
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Re: La machine du diable

Message par Monsieur Vilak »

Vraiment bien joué!

Tu décrits excellemment ces moments de trouble et tu joues formidablement bien avec tous les éléments que la série nous donne.

je te donne dix sur dix!
Prend Goldorak, parles-en, rassemble les gens qui partagent cette passion et rend la plus vivante.
Au final, il y aura encore plus de Goldorak pour toi-même et pour le monde.

Merci Monsieur Huchez...

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Re: La machine du diable

Message par Gurendaizä »

merci Christian !!! :oops: :oops: :oops: :oops: :goldo3:
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Re: La machine du diable

Message par Gurendaizä »

Eh oui, toute chose a une fin... :( voici le dernier chapitre de cette histoire....
**********
Dès lors, je n'ai de cesse que de m'en approcher le plus possible. Mais mon robot ne se trouve pas en meilleure posture que moi. Je n'entends même plus son ronronnement caractéristique lorsque je suis dans le cockpit. Comme dans mon cauchemar, si j'étais attaqué maintenant, je ne pourrais pas réagir. Je ne pourrais même pas m'auto-détruire. Je réalise que je suis enfermé à l'intérieur et que je ne peux pas en sortir comme s'il s'agissait d'un tombeau. La panique m'envahit. Ce n'était pas la fin que j'avais envisagée. Cela ne m'est jamais arrivé auparavant, mais mon corps est secoué par des sanglots. A cette heure, j'aurais préféré mourir avec les miens. Mais il a fallu que naisse cette machine habitée par le dieu protecteur d'Euphor, mais capable du pire entre les mains d'un tyran. Je n'ai qu'une solution si je souhaite que notre calvaire se termine, LE DETRUIRE MOI-MEME !!!! Je me lève de mon siège. Je suis tout étourdi. Cela fait presque une semaine que je n'ai plus aucune nourriture. Malgré tout, ma volonté de destruction me pousse en avant. Je m'empare de tous les ustensiles que je peux trouver avec comme objectif la salle où se trouvent les "organes vitaux" . Je sais très bien que je ne peux détruire Goldorak de mes propres mains, mais à ce moment là, c'est la panique qui s'est emparée de moi qui m'anime. De toutes les forces qui me restent, muni d'une sorte de barre de fer, je frappe tout ce qui se trouve à ma portée, sans résultat. Mais mon état de faiblesse a raison de moi. Je me sens tomber et perdre conscience.

Un léger souffle d'air me ranime, un souffle d'air que je connais bien. Comment est-ce possible ? Dizer ? J'ouvre les yeux. Je me rends vite compte que quelque chose a changé depuis "tout à l'heure". La "respiration" régulière de mon robot se fait de nouveau entendre ! Malgré ma faiblesse extrême, je parviens à me relever. Je me dirige le plus vite possible vers le cockpit. Et là, je comprends ce qui s'est passé. Nous sommes arrivés à portée des rayons du soleil et ceux-ci ont ranimé Goldorak !!!! Ma crise de panique est vite oubliée. Et surtout, l'ordinateur de bord me signale une planète dotée de la vie ! LA VIE !!! ENFIN !!!! Pourvu qu'il s'agisse de la belle planète bleue !!!! Je sens l'impatience me gagner.Je suis las de ce voyage qui a duré une éternité. Mais il faut que Goldorak soit totalement rechargé en énergie pour que j'utilise la vitesse maximale. Je ne peux que me résigner, après tout ce temps passé, je peux bien encore attendre quelques heures ! J'en profite pour regarder ce qui s'offre à mes yeux. Je suis étonné de ne pas croiser de vaisseau spatial dans cette zone. Après celui qui m'avait causé une belle peur au début de mon périple, il m'est arrivé d'en apercevoir quelques-uns. A l'époque, comme j'estimais ne pas être suffisamment éloigné de la nébuleuse de Véga, je préférais rester le plus discret possible, je ne voulais pas que ma présence s'ébruite pour parvenir aux oreilles des hommes de Véga ! Mais maintenant, je suis presque déçu de ne pas en voir, je me sens bien seul. Ce système solaire est-il réellement habité ? Je commence à avoir des doutes. Mais l'ordinateur de bord est formel. La vie existe.

Plus je me rapproche de la belle planète, plus le signal se fait plus fort et insistant. Tout occupé à contempler ce qui s'offre à mes yeux, je ne me rends plus compte du temps qui passe. En jetant un coup d'oeil sur la jauge d'énergie, celle-ci m'indique que Goldorak a récupéré toutes ses capacités. Sans hésiter, j'enclenche la vitesse maximale avec comme objectif la planète bleue dont j'ignore encore le nom. Mon corps meurtri supporte mal l'accélération, je lutte pour ne pas m'évanouir pendant cette manoeuvre délicate. Et à ce moment, je perçois comme une énorme détonation. La soucoupe devient incandescente pendant quelques secondes. Elle est suivie d'une traînée lumineuse. Je suis entré dans l'atmosphère, toujours à vitesse maximale. Surpris par ce phénomène d'ignition, je perds le contrôle de Goldorak. Je m'accroche désespérément aux manettes comme si elles pouvaient me protéger. Je ne peux cependant empêcher le vaisseau de partir en vrille. Dans quelques secondes, je sais que ce sera fini. J'aperçois une montagne "qui s'avance" à toute vitesse. Je ferme les yeux en pressentant l'impact. Je ressens presque tout de suite comme une forte explosion....

J'ouvre les yeux. Je suis toujours là. Ma tenue est déchirée en plusieurs endroits, révélant de multiples blessures. Je parviens cependant à sortir du cockpit. De la fumée s'échappe de Goldorak mais il semble à peu près intact. De ce que je voyais dans l'espace, j'avais l'impression que cette planète était un paradis. Mais ici, j'ai le sentiment d'être arrivé en enfer. Le temps est sombre, comme si la nuit allait bientôt venir. Le ciel est bas, plombé. Il tombe une pluie fine et froide. Notre atterrissage forcé a provoqué la chute de plusieurs arbres. Il n'y a que peu de végétation. L'endroit semble désert. Existe-t-il des êtres vivants ici ? Je fais un pas, puis deux, puis... je m'effondre au sol. J'essaie de me relever, sans succès. Et pourquoi ai-je aussi froid ? Ce n'est pas comme lorsque la température est très basse, mais autre chose. Est-ce cette sensation que l'on a avant de mourir ? J'ai une pensée pour Goldorak, je l'ai emmené le plus loin possible hors des forces de Véga, j'espère que quelqu'un en prendra soin....Des images de ma mère, mon père, ma soeur, défilent dans mon esprit tourmenté. Des larmes coulent sur mes joues. Je glisse doucement vers l'inconscience.
****
"Comme chaque année à cette même époque, mes pas me conduisent vers ce lieu du mont Yatsugatake. J'aime me recueillir ici, en souvenir de ma douce épouse Yoko et de mon jeune fils Daisuke. Ils sont décédés dans un accident de la route il y a vingt ans aujourd'hui. Je me sens coupable parce que c'était moi qui conduisais. Depuis ce jour, je me suis absorbé dans le travail pour oublier. J'ai ouvert un centre de recherches spatiales, j'aime observer les étoiles depuis ma plus tendre enfance. Je travaille sept jours sur sept, je ne prends jamais de congés, sauf le jour anniversaire de cette tragédie, un jour qui leur est consacré. Je m'arrête pour me recueillir quelques instants. Mon regard se pose soudain sur un reflet inhabituel. Il faut que je me dirige vers lui, comme si j'étais attiré. Mais quand je comprends quelle est la cause de ce reflet, je suis en même temps émerveillé et effrayé par la "chose" qui se trouve en ce lieu. Jamais je n'ai rien vu de pareil. Une tête énorme, ornée de quatre cornes en or (ou qui y ressemble) paraît m'observer. Je me rends compte qu'elle a aussi un corps, et deux bras qui entourent un vaisseau qui n'est pas moins énorme. Cette créature ne peut être d'origine terrienne, j'en suis persuadé. A cette dernière pensée, je bute contre quelque chose, non ! quelqu'un allongé au sol. Ses vêtements sont déchirés en plusieurs endroits, et son corps porte de multiples blessures. Son casque est relevé, je peux voir son visage. Je suis sûr qu'il n'a pas plus de vingt ans...l'âge de mon fils s'il avait vécu ! Il a l'apparence d'un être humain. Je le touche délicatement. Je sens un souffle de vie, mais très faible. Que dois-je faire ? Appeler un médecin, pour le soigner ? L'armée pour dégager son engin? Non, si je fais cela, les autorités seront informées, et ce jeune homme et sa machine risque d'être exposés comme des bêtes de foire. C'est le ciel qui me l'a envoyé, au propre comme au figuré. Il a dû vivre une tragédie, à moi de lui offrir un foyer, lui redonner la vie, le goût de vivre, Je raisonne ainsi alors que je ne sais même pas s'il va survivre. Mais il le faut ! Un autre souci se pose, pour sa machine, mais je ne réfléchis pas longtemps. A cette époque, peu de monde passe en cet endroit. Le Centre dispose d'un engin muni de treuils capable de soulever des appareils très lourds. Après avoir mis dans la confidence et sous serment mes collaborateurs, nous irons chercher le vaisseau cette nuit. Mais maintenant l'urgence, c'est toi. Comme j'ignore ton nom, je t'appellerai ...Daisuke ! Je te promets que je te soignerai.


Son état est préoccupant. Atteint de multiples blessures d'origine inconnue, il est aussi dénutri. Il y a certainement longtemps qu'il n'a pas du faire un véritable repas. Mais il s'accroche et bientôt il sera hors de danger.

Quant à sa machine, elle a été cachée sous l'un des hangars du centre. On accède à cet endroit par une caverne qui se trouve à proximité, dissimulée par une cascade.

Qui est il ? D'où vient il ? :wink: Que lui est-il arrivé ? Je le regarde affectueusement. Il me semble qu'un pâle sourire se dessine sur ses lèvres tandis qu'un doux rayon de soleil se pose sur son visage."

:goldonav: :goldonav: :goldonav:
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Monsieur Vilak
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Re: La machine du diable

Message par Monsieur Vilak »

Très émouvant, ton récit est génial et très bien écrit!

Expliquer le célibat de Procyon par un accident passé qui l'aurait rendu veuf est vraiment trop triste.
Bon c'est vrai on va pas en faire un homosexuel non plus mais il y a plein d'hommes qui a 40 ans et plus sont célibataire (divorce, rupture etc...), et n'ont pas d'enfant (par choix, stérilité).
Procyon peut aussi être père et son enfant a depuis longtemps quitté la maison pour étudier.

Ce n'est pas une critique, enfin pas vraiment puisque ton choix se marie bien avec ton récit, mais snif, c'est vraiment trop triste!
Prend Goldorak, parles-en, rassemble les gens qui partagent cette passion et rend la plus vivante.
Au final, il y aura encore plus de Goldorak pour toi-même et pour le monde.

Merci Monsieur Huchez...

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Re: La machine du diable

Message par Gurendaizä »

merci Christian !!! :oops: :oops: :oops: :oops: :oops:

Peut être qu'en effet il aurait pu s'agir d'un fils qu'il aurait eu et qui se trouve à présent loin de lui, et pourtant c'est la version que j'ai décrite qui s'est imposée à moi ! :(

:goldo3:
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Re: La machine du diable

Message par Monsieur Vilak »

En effet c'est ton choix et il faut le respecter.
Et ça n'enlève rien à la beauté de ton récit.
Prend Goldorak, parles-en, rassemble les gens qui partagent cette passion et rend la plus vivante.
Au final, il y aura encore plus de Goldorak pour toi-même et pour le monde.

Merci Monsieur Huchez...

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Re: La machine du diable

Message par Gurendaizä »

tu me touches ! :oops: :oops: :oops: :oops:

En plus au départ, j'avais pensé faire un "one shot" mais petit à petit, mon histoire s'est allongée jusqu'à l'arrivée sur la Terre !

:salut: :goldo3:
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Re: La machine du diable

Message par Goldosan »

:up: Ooh, dommage. L'histoire se termine déjà ?

Je n'ai pas encore lu les 2 derniers chapitres, je le ferai très bientôt, mais pour l'instant je suis en train de terminer la lecture (avec un gros retard) de la fan-fiction "Il était une fois Euphor" de Monsieur Vilak.
Après je m' occuperai de la lecture de la tienne. Ce sera avec beaucoup de plaisir.

:goldo: :salut: :goldo:
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Re: La machine du diable

Message par Gurendaizä »

Ooh, dommage. L'histoire se termine déjà ?
Et encore, comme je l'ai dit dans mon message précédent, elle aurait pu être beaucoup plus courte ! :salut: :goldo3:
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babeth
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Re: La machine du diable

Message par babeth »

Trop émouvant pour moi, j'ai failli avoir la larmette mais en tout BRAVO pour cette FanFiction même si elle est courte :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: :coeur: :coeur:
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Re: La machine du diable

Message par Gurendaizä »

merci babeth ! :oops: :oops: :oops: :oops: :oops: :goldo3:
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