Gurendaizä a écrit :merci !
Mais il n’y a pas de quoi !
Je répond toujours à tes questions, d’autant plus qu’elles sont vraiment pertinentes, même si toi tu as parfois l’impression du contraire, n’est-ce pas hein ?
Il est très important que tous nous comprenions ça !
Goldorak, notre blockbuster, le défonceur de l’audience inégalé depuis bientôt 40 ans, ben c’est le super-bide de la Toeï, leur canard boiteux, leur mouton noir.
Ils ont du en prendre plein la gueule quand Bandaï leur a montré les minables chiffres de vente et ça a du leur piquer aux fesses pendant longtemps.
Ils le voient donc comme leur vautour.
Ok, j’exagère sur les termes, mais dans le fond c’est plutôt ça.
Donc forcément, quand on va leur dire que c’est notre super-chéri à nous, ils nous prennent pour des débiles.
Imagine que tu rencontres un chanteur que t’aimes bien.
Ce type c’est le genre de mec qui chante n’importe quoi pour faire du fric.
« La dance marche ? Je fais de la dance. », « Le reggae marche ? Ok, pas de soucis, je me met au reggae ».
Il y en a beaucoup de ces oiseaux-là…
Tu va lui dire que ton disque préféré est justement celui qui a pas marché des masses alors qu’il s’attendait à être numéro 1 au top 50 et qu’il avait hypothéqué sa baraque pour le faire.
Comme ce disque, il ne peut que le haïr, forcément, toi t’es une conne…
C’est pas logique, mais c’est humain.
Pour en revenir à Goldorak, celui qui a imposé Koji, j’espère pour lui qu’il avait un contrat en béton car il a du en bouffer des reproches. Il faut toujours un coupable…