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Pour Bercy 2001 j'étais dans les tribunes.
Je n'ai pas fait cas de la voix, j'étais trop content d'être là et c'est plutôt la setlist pourrave avec trop de chansons lentes qui m'a gâché le concert.

C'est vrai que l'album Exciter n'est pas un modèle d'énergie pure. Je me souviens qu'il m'avait beaucoup désorienté à la première écoute.

Pourtant, cette galette renferme des morceaux magnifiques. Personnellement, je trouve When The Body Speaks d'une beauté à tomber par terre et Free Love ainsi que Shine très touchantes, pour ne citer que celles-ci.

Manga-Addict a écrit : ↑sam. déc. 05, 2020 16:28 pm C'est vrai que l'album Exciter n'est pas un modèle d'énergie pure. Je me souviens qu'il m'avait beaucoup désorienté à la première écoute.

Alors ajouter Clean et Waiting for the night à la setlist, c'est un mauvais choix quand tu vois que les tubes rapides Behind the Wheel et Question of Time brillent eux par leur absence. Et s'il fallait choisir deux chansons d'album (des non-singles), alors pourquoi ne pas les avoir remplacés par Rush, Nothing, Fly on the Windscreen ou Something to do?

Quelle voix, et quelle tristesse dans tout ça...

J'aime beaucoup ce qu'il a fait!

Je me demande si cette pièce de François De Roubaix a inspiré un peu Jean-Michel Jarre pour son titre "Oxygène 4"?

Les mêmes synthés employés sans doute, le même son... Je crois savoir que Jarre avait rencontré De Roubaix pour avoir des infos techniques sur la façon de monter un home studio. A l'époque, c'était du jamais vu et De Roubaix fut l'un des premiers à se lancer là-dedans. Il est intéressant de se demander si De Roubaix avait vécu plus longtemps, est-ce que Jarre aurait existé? Je pense que oui.

La démarche commerciale n'était pas la même non?

C'est une vraie question!
Jarre avait des connexions dans le milieu que Roubaix n'avait pas.

Et est-ce qu'il se serait lancé dans de l'électronique ad vitam eternam? Pas sûr. Il est décédé pendant qu'il expérimentait ses Moog et autres AKS, ça lui colle désormais, mais peut-être se serait-il détourné des machines assez vite, et que tout cela n'étaient que des expériences dans la carrière d'un musicien plutôt branché guitare acoustique et jazz. On ne saura jamais.

Un petit classique chanté par Vicky Leandros dont la version instrumentale repris par Paul Mauriat et son orchestre avait atteint le top du palmarès Billboard en 1968.

Cette mélancolie...