"Mon destin", court récit

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Monsieur Vilak
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"Mon destin", court récit

Message par Monsieur Vilak »

Voici une nouvelle fan fiction que j'ai écrit cet après midi (au travail...).
Je vais surement faire de nombreuses modifications car je n'ai pas encore vérifié si cela collait au niveau des écart de temps avec mes autres récits.


Je suis né dans une ferme il y a plus de cinquante ans.

Mon père élevait quelques vaches et chevaux sur ses terres.

Après la guerre, guerre qui lui a pris mes trois frères ainés, la crise du lait l’a mis sur la paille et il a pensé au suicide.

Le monde rural est un milieu dur mais où la solidarité n’est pas un vain mot. On ne compte pas sa peine pour aider un ami dans la panade.
Notre plus proche voisin, Kenshiro Procyon, un gros éleveur métisse et son plus cher ami d'enface, nous a racheté nos terres un très bon prix et nous en a laissé l’usage.

Kenshiro, outre d’être le meilleur des hommes, était riche, vraiment très riche, et n’avait pas besoin de travailler, possédant de nombreux biens immobiliers dans la grande ville voisine. Mais son amour de la terre et des bêtes le faisait se lever néanmoins aux aurores.

Mon père a toujours eu une immense gratitude pour Kenshiro, c’est grâce à lui qu’il a toujours pu vivre et finalement s’éteindre l’année dernière, à 94 ans, dans la maison où, près d’un siècle auparavant, il avait vu le jour.

J’ai donc grandi entouré de vaches et de chevaux et mon amour des bêtes ne s’est jamais démenti, je n’ai d’ailleurs jamais pensé à faire autre chose de ma vie que de devenir éleveur.

Mes premières années, ma seule compagne de jeu était la petite Hara Harano, une furie de mon âge qui me dépassait d’une tête.

A mon entrée à l’école, je réalisais que ce n’était pas Hara qui était grande, mais moi qui était petit.
J’ai entendu quelques paroles désobligeantes et subi quelques moqueries mais avec deux ou trois paires de gifles bien étalées, j’ai su mettre un terme à tout cela. Tous mes camarades étaient fils d’agriculteurs.

Je ne devais pas avoir dix ans lorsque Kenshiro devint enfin père. Le petit garçon, Genzo, égaya nos soirées, nos deux maisons n’ayant pas cent mètres de distance. Il était étonnement mature et intelligent pour son âge et je me disais dans ma barbe « Il est trop malin pour faire ce métier, il partira à la ville où il vieillira vite... ». J’adorais ce petit bout de chou. Il est encore aujourd’hui mon meilleur ami.

Il a pleuré lorsqu’à 25 ans, je suis parti me former aux Etats-Unis sur les conseils, les injonctions presque, de mon père. Ce pays m’a émerveillé, j’y suis resté de nombreuses années.
L’occupation américaine d’après guerre nous avait tous un peu obligé à connaître l’anglais et j’avais un très bon niveau, mon adaptation fut donc relativement facile.

Bien sur, je connu le racisme, surtout le ressentiment envers les Japonais qui avait lâchement attaqué Pearl Harbour, la guerre était toute récente.
Mais c’était quand même nos femmes et nos enfants qui s’étaient pris deux bombes atomiques sur la gueule...

Engagé comme palefrenier dans un ranch au Texas, j’ai appris de nombreux rudiments de médecine vétérinaire. Grâce à ma connaissance des bêtes et quelques ancestrales techniques japonaises, j’ai pu en sauver certaines que l’on disait absolument perdues. Je suis devenu en quelque temps une espèce de sorcier qui avait un pouvoir magique, pouvoir que j’ai commencé à faire payer au prix fort. Et je me suis enrichis...

Mais, même si j’y retournais deux fois par an, le Japon, ou plutôt y vivre, me manquait. Sa simplicité, sa propreté, son sens de l’honneur, ses paysages surtout. Mais je gagnais trop d’argent dans ce far-west pour abandonner maintenant. Allez, encore 100 millions de plus (je parle en Yen !) et je rentre.

Finalement, après quelques Nöel à plus ou moins arnaquer les gens tout en sauvant de précieuses vies animales, j’avais enfin gagné la somme que j’estimais suffisante pour un retour triomphant au pays. Je dis donc au revoir à ce nouveau monde et partis prendre l’avion à Houston pour rentrer chez moi.

Devenu friand de Whisky, j’entrais dans une boutique acheter quelques fioles d’un élixir qu’on ne trouve nul part ailleurs. Et je tombais sur la plus belle femme de l’univers.

Cynthia venait d’entrer dans ma vie. Elle était non seulement merveilleusement belle, elle était également merveilleusement triste... Devenue Miss Texas à 20 ans, elle était allée de déception en déception. Elle avait eu son lot de promesses de rôles au cinéma qui se terminaient à chaque fois dans un lit avec un vieux bedonnant bavant de désir. Lassée de ce monde de requins, elle avait tout plaqué et avait retrouvé les plaisir simples du quartier calme où ses parents tenaient un drugstore très réputé.
Son père avait été un GI et fait la guerre du pacifique. C’est là, dans un camp de réfugiés pour coréens, qu’il les avait rencontrées, elle et sa mère, In Sook, et qu’il les avait ramenées aux USA pour en faire sa famille.

Cynthia m’a retourné le cœur et j’ai bien sur tout oublié sur le choc, ratant mon avion.

Je ne pensais qu’à elle, j’ai donc pris une chambre au motel d’en face, cherchant le moyen de l’aborder, de la côtoyer puis, finalement, de la conquérir.

Car je n’était pas seul sur la ligne de départ, mon aimée était courtisée par de très beaux jeunes hommes, grands et forts. Elle était belle, elle était, grâce au magasin de ses parents, un très beau parti et, ah indécrottables prétentieux, elle avait été miss Texas !

Mais moi j’étais riche, très riche et je me foutais qu’elle soit Miss Texas, Miss mes fesses ou Miss clocharde. Je l’aimais. J’estimais donc pouvoir tourner la situation à mon avantage.

Je rachetais le bar voisin, un sublime établissement, montrant ainsi mon aisance financière. Gràce à mes pitreries, mon sens de l’humour et mes prouesses avec un lasso lors des nombreuses soirées spéciales, je devins une attraction dans la ville et le bar ne désemplissait pas du tour de cadran que je passais quotidiennement derrière le comptoir. Encore une fois, je gagnais donc beaucoup d’argent et ce succès profitait aux commerces voisins. J’étais donc très apprécié dans le quartier.

Je me rendais souvent au drugstore, prétextant tel produit qui me manquait pour servir mes clients. J’invitais aussi la famille complète à chaque soirée spéciale du week-end, leur offrant la meilleure table et m’asseyant à chaque fois sur l’addition, justifiant cette largesse par les services qu’ils me rendaient. Evidemment, comme Cynthia venait à ces soirées, il y en avait très souvent et je les organisais dans le but qu’elle s’amuse elle. Parfois, quand un cow-boy un peu plus courageux que les autres l’invitait à danser, je sentais poindre en moi les affres de la jalousie et mon visage devenait rouge pivoine, ce qui amusait beaucoup le paternel qui me regardait discrètement un sourire complice aux lèvres.

C’est ainsi que petit à petit nos rapports de commerçant devenaient une amitié sincère.

Mes origines Japonaises ne dérangeaient pas trop sa famille, sa mère savait faire la part des choses. Je n’avais rien de commun avec les bourreaux qui ont martyrisé son peuple. De plus, elle se languissait de voir sa fille enfin retrouver le sourire car ses rêves de gloire ne s’étaient pas encore tout à fait éteints. Ils n’étaient pas dupes, ils se doutaient bien que j’avais des vues sur Cynthia mais mon respect et ma correction tranchait avec la relative vulgarité des autres prétendants. Et j’étais bien établi, j’avais de l’argent, ce qui ne gâche rien!

Le père m’avait déjà glissé, sur le ton de la plaisanterie, deux ou trois allusions que je pris comme un encouragement. Bref, je sentais que les parents étaient dans ma poche, il ne me restait plus qu’à escalader la montagne..

J’avais très rarement l’occasion de me retrouver seul avec elle. En général c’était dans la boutique lorsque j’allais lui acheter quelque chose. Nous discutions de tout et de rien, je tâtais timidement le terrain. Pour la première fois de ma vie, j’étais complexé par mon apparence mais j’avais d’autres arguments.
Mais je n’avançais pas, elle ne se livrait pas.

Rêver joue et nuit de quelqu’un que l’on aime, que l’on côtoie quotidiennement et avec qui on pense n’avoir que très peu de chance est déprimant et mes espoirs s’amenuisaient puisque mon courage de parler faisait défaut.

Mais non, je n’y arrivais pas.

Cela dura longtemps...

Tout se décida un dimanche, au début du printemps, lors d'un barbecue auquel je fus invité chez l'oncle de Cynthia.

Après le repas, son père l’encouragea à me montrer le petit ruisseau derrière la colline. Nous marchâmes donc pendant quelques hectomètres, parlant de tout et de rien, et nous retrouvâmes devant un spectacle enchanteur. Malgré la différence topographique, ce paradis me rappela mon Japon natal. Alors me cœur se dilata, mon amour pour elle me submergea et je parlais enfin :
Je lui dis que mon pays me manquait et que j’y serai retourné probablement depuis longtemps, car j’avais « fait mes sous », si les sentiments que j’avais pour elle ne me retenaient pas ici.

« Je le savais mais pourquoi avoir attendu aussi longtemps pour me le dire ? » me répondit-elle.

Alors je lui parlais de cet espoir de la conquérir qui s’amenuisait de jour en jour et qui me tordait le cœur.
Elle me dit que j’étais un homme bon et que, même si elle se méfiait encore, elle pensait que j’étais l’un des plus honnêtes et droit qu’elle ai jamais rencontré et que, peut-être, son bonheur était au près de moi.

Nous avons fait l’amour dans l’herbe. J’en garde un souvenir merveilleux et tendre alors que la réalité fut sans doute plus bestiale.

Nous nous sommes fiancés le mois suivant et avons convolé avant la fin des beaux jours.

Mon père, présent, me fit alors part qu'il attendait mon retour pour reprendre la ferme familiale.

Nous en avons longuement discuté avec Cynthia et ses parents. Finalement, je leur laissais le bar et emmenais mon épouse, alors enceinte, de l’autre coté du Pacifique ou nous débutâmes une vie paisible, saine et heureuse.

Grâce à l’argent amassé au Texas, j’ai pu racheter les terres de mon père à son ami afin qu’il puisse vivre ses dernières années « chez lui ». Comme il en restait encore pas mal dans ma besace, j’ai acquis les terrains de derrière jusqu’au-delà du barrage et réalisé mon rêve d'élever mes propres chevaux. Finalement, lorsque Kenshiro a passé la main à son fils, avec Genzo on a tout mis en commun, laissant toutefois l’entière propriété de chacune des maisons à nos pères qui devinrent des retraités de carnaval, joyeux et pétant la forme, empiétant constamment sur nos plates-bandes. Notre propriété commune faisait 5 kilomètres carrés, ce qui faisait de nous parmi les plus grand propriétaires foncier de ce tout petit pays. Étant plus intéressé par la science, Genzo me laissa tout gérer comme bon me semblait.

Nous eûmes une fille, Vénusia, et un fils, Mizar, et nous nous croyions heureux jusqu’à la fin des temps.

Puis vint la Leucémie...

Elle emporta Cynthia en quelques mois. L’amour pour mes enfants me permit de me relever, mais j’en demeurais néanmoins brisé.

L'homme marchait depuis peu sur la Lune, mais la science n'avait rien pu faire pour ma femme...

J’ai refusé de me remarier, Cynthia n’est pas remplaçable et j’ai donc élevé mes enfants seuls.

Genzo fut d’un soutien sans borne. Astronome accompli, une histoire dont il n’a jamais voulu me parler l’avait mis au ban de sa confrérie et il projetait, avec sa fortune, de construire un centre de recherche spatiale privé dans ce coin où lui aussi il avait ses racines.
Je ne lui fut pas d’une grande aide mais je l’assistais du mieux que je pus dans la construction d’une petit merveille technologique sur le barrage.

Et je découvris avec passion l’astronomie...

Ah les étoiles, les planètes. Il devait y avoir de la vie sur ces mondes lointains.

Il fallait prendre contact avec leurs habitants. J’avais du très bon Whisky et je savais recevoir.

J’en fis une fixation, j’avais désormais un but dans la vie !

Lorsque Genzo me demanda d’engager son fils Actarus dans la ferme qui était devenu un vrai ranch texan, je me délestais sur lui des tâches de tous les jours, tâches qu’il exécutait à la perfection, et pu fonder un comité d’accueil des hommes de l’espace dont je m’occupais à plein temps et tenter d’établir contact avec ceux qui traversaient sans doute notre ciel.

Mais ce comité n’a pas beaucoup de succès et les autres membres, c’est à dire ceux que j’avais inscrit malgré eux, ne viennent pas aux réunions. C’est fort dommage, j’espère que les extraterrestres ne se vexeront pas lorsqu’ils viendront nous rendre visite.
Modifié en dernier par Monsieur Vilak le mer. août 03, 2016 12:08 pm, modifié 2 fois.
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Gurendaizä
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Re: "Mon destin", court récit

Message par Gurendaizä »

Magnifique !!!! Il m'a cependant fallu lire plusieurs lignes pour comprendre qui était le narrateur ! :wink:

Bravo Christian !!! :up: :up: :up: :up: :up: :up: :up: :goldo3:
(au travail...).
:mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :salut: :goldo:
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Re: "Mon destin", court récit

Message par Monsieur Vilak »

Oui journée calme tout le monde est en vacance. Alors comme l'après midi ma tache principale est d'expédier leur courrier, j'ai pas eu grand chose à faire.

A quel moment précis as-tu compris qui était le narrateur?
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Re: "Mon destin", court récit

Message par Gurendaizä »

Ici : :wink:
A mon entrée à l’école, je réalisais que ce n’était pas Hara qui était grande, mais moi qui était petit.
:salut: :goldo3:
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Re: "Mon destin", court récit

Message par Goldosan »

:up: Et bien, c'est une réussite totale cette histoire, Monsieur Vilak. Chapeau !!!!!!

Une idée très originale de nous raconter le passé du bon vieux Rigel et quelle belle histoire d'amour !
Ca m'a vraiment touché profondement ! A un moment donné je n'ai même pas pu retenir les larmes et pour réussir ce coup-là il faut avoir un certain talent. Savoir ouvrir les portes du coeur et de l'âme, ce n'est pas donné à tout le monde.

Je conseille vivement à tout le monde de lire cette fan-fiction. Cela demande seulement un quart-d'heure de votre temps, mais ce que vous en recevrez en retour vaut plus que ce petit effort.

Faites-le, vous ne serez pas déçu !

A +++++

:goldo: :salut: :goldo:
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Re: "Mon destin", court récit

Message par Monsieur Vilak »

Et bien ce que tu dis me touche beaucoup!

Je suis bien évidemment ravi que tu ais aimé à ce point.

Ca me trottait depuis quelques temps de faire les origines de Rigel et puis l'occasion a fait le larron.

Vraiment content de ton commentaire.
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Re: "Mon destin", court récit

Message par euphoria »

quant à moi je suis d'accord aussi ' c'est vraiment un très beau récit et sans mentir, j'ai de suite compris que c'était Rigel qui parlait à cause de "suis né il y a plus de 50 ans"!
Tu as vraiment beaucoup de talent d'écriture, je t'envie moi qui n'arrive pas à avoir toute cette imagination et cette écriture fluide que tu possèdes!! encore bravo c'est un plaisir de te lire...
nous sommes tous nés pour mourir un jour, n'est ce pas ?...
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Re: "Mon destin", court récit

Message par Monsieur Vilak »

C'est gentil mais au niveau de l'écriture, je trouve que ce que vous faites est beaucoup mieux que mon style que je trouve froid et clinique.

C'est en effet mon imagination qui compense.

Ce recit est un premier jet et je n'ai pas vraiment réfléchis aux dates, je crois que j'ai fais une boulette :

-si In Sook et le père de Cynthia sont devenu amant en 45, cette dernière n'a pu naitre qu'en 46 au plu tôt.
-Si elle épouse rigel, c'est donc minimum 65 (on est miss à 17/18 ans donc ca le fait).
-donc Vénusia nait en 66 et comme elle atteint sa majorité dans la serie, goldorak ne peux se dérouler ni en 75 ni en 78....

Ou alors je fais de In Sook une coréenne qui s'est réfugiée aux USA vers 40...

Z'en pensez quoi?
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Re: "Mon destin", court récit

Message par Monsieur Vilak »

Petit changement sur les origines de Mme Rigel.
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Re: "Mon destin", court récit

Message par Pyrna »

Quel beau texte!! L'idée de raconter cette histoire à la première personne est excellente. D'ailleurs, je crois que je vais te la piquer pour celle sur laquelle je suis en train de travailler (sur la jeunesse d'un des hommes de Véga).

Je n'y ai trouvé que deux petites "imperfections".

La première est sur la formulation de cette phrase:
Monsieur Vilak a écrit :[...] Tout se décida lors d’un barbecue au début du printemps chez l’oncle de Cynthia auquel je fus invité un dimanche. [...]
Elle me donne l'impression que Rigel a été invité ... "dans" l'oncle de Cynthia 8O (ou mieux, "dans" Cynthia ^^ ... :oops: ). Je t'en propose donc une reformulation sous cette forme (je n'ai changé que l'ordre des mots):
proposition de reformulation: a écrit :Tout se décida un dimanche, au début du printemps, lors d'un barbecue auquel je fus invité chez l'oncle de Cynthia.
L'autre est une erreur de vocabulaire lorsque tu parles de la création du Centre. (je l'ai mise en bleu pour la faire ressortir un peu.)
Monsieur Vilak a écrit :[...] Genzo fut d’un soutien sans borne. Astronome accompli, une histoire dont il n’a jamais voulu me parler l’avait mis aux bancs de sa confrérie et il projetait, avec sa fortune, de construire un centre de recherche spatiale privé dans ce coin où lui aussi il avait ses racines. [...]
Comme je pense que tu parles du fait qu'il a été plus ou moins banni, écarté par ses confrères de la société scientifique, il faudrait remplacer ces 2 mots par "au ban" (orthographe vérifiée sur un dictionnaire papier).
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Re: "Mon destin", court récit

Message par Monsieur Vilak »

Tu as tout a fait raisons pour ces deux coquilles.

Je les corrigerai.

Merci d'avoir apprécié mon récit.
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Re: "Mon destin", court récit

Message par Monsieur Vilak »

Les erreurs sont corrigées.

Oui Pygma, écrire à la première personne, même si le coté omniscient et omnipotent (Oh oh, turbulente flamme, oh oh, flamme divine!!!) reste, on peut préciser beaucoup de choses et donner plus de profondeur aux sentiments.

Regarde dans ma fan fiction "Il était une fois Euphor", mettre mon récit à la première personne, ce que j'ai fait tardivement, m'a permis d'ajouter beaucoup de détails. Avec un narrateur, un passage comme l'aventure de Bébé Actarus dans sa poussette n'aurait pas eu sa place et aurait été moins drôle à lire.
J'y suis allé à reculons mais mes lecteurs et amis d'ici m'ont donné un très bon conseil.
C'est donc sans l'ombre d'une hésitation que je te dis :
-Oui, passe à la première personne.

il n'y a plus que "Cependant Là-bas" qui ait un narrateur parmi mes fan-fictions, mais ça, pour un si court récit, c'est ce qu'il y a de mieux.
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Re: "Mon destin", court récit

Message par homnorak »

Une longue absence ou plutôt un manque de suivi et j'ai raté cette fic qui a déjà un an.

J'ai beaucoup aimé cette fic qui donne le point de vue de Riguel et comment le ranch a été créé.
Homnorak

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Re: "Mon destin", court récit

Message par babeth »

Mince je viens juste de le découvrir et vais le lire tranquillement dans mon lit. Je te dirai ce que j'en pense dès que possible :wink: :up:
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"Alors, on se réveille ma Princesse ?"
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Re: "Mon destin", court récit

Message par Monsieur Vilak »

babeth a écrit : je vais le lire tranquillement dans mon lit. Je te dirai ce que j'en pense dès que possible :wink: :up:
Mais j'espère bien!!!
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