Monsieur Vilak a écrit : ↑dim. mai 17, 2020 09:27 am
Ah oui, il se renverse un saladier de pâtes sur la tête dans "je suis timide mais je me soigne".
Je n'ai pas vu ça... Je mélange un peu Yves Robert, Jacques Fabbri et Julien Guiomar. Et même Pierre Tchernia et Pierre Bellemare. Ce sont tous des noms qui me font penser à ma grand-mère.
Julien Guiomar était un comédien vraiment incroyable pour jouer la saloperie dans tous ses états. On l'a vu chez Chabrol, Bunuel, et dans ce film remarquable qu'est "la fiancée du pirate". Il faut voir ce film, absolument !!!!
Zuril a écrit : ↑dim. mai 17, 2020 09:17 am
Je sais très bien qui est Pierre Doris, pourtant je ne pourrais rien dire de lui. Ni ce qu'il faisait, ni le son de sa voix, ni dans quoi j'ai pu le voir.
Jacques Fabri, ça vous parle?
Je le connaissais de par de vieux livre-disques de contes que l'on m'avait donné étant gosse.
Jean Lepoulain n'était pas un peu dans le même genre d'emploi?
Y'a tout un paquet d'acteurs/actrices de seconde zone qui ont prêté leur voix dans ce genre de productions, mais aussi des stars comme Deneuve ou Noiret. C'était de la bonne comm' les gosses, ça flattait les parents...
Monsieur Vilak a écrit : ↑ven. mai 15, 2020 09:02 am
J'ai toujours été impressionné par certains clips, grandioses et donc sûrement très chers, qui ont été faits pour des artistes débutants ou pas très célèbres. Je ne voyais pas comment les maisons de disque pouvaient rentrer dans leur frais. Il y a décidément quelque chose qui m' échappe dans ce business...
C'est parfois sur du long terme, comme avec MC Solar. Il a fallu 3 albums pour que Universal l'amortisse et ensuite, il a voulu se barrer et ils lui ont pourri la vie.
Coluche n'était pas un imbécile, loin de là, il n'était pas sans talent... Pourtant, il avait signé un contrat avec une agent, Paul Lederman qui répartissait les gains 15%, 85%. 85% pour Paul Lederman!!!!!
L'illusion du talent, ouaaai. Une carrière qui dure sans être bien défendue par un manager, une bonne maison de disques, il n'y en a pas beaucoup.
J'ai appris que même Georges Brassens se manageait d'une certaine façon. Il savait qui était son public et ce qu'il attendait. Il savait qu'il ne fallait pas lui déplaire.
J'aime beaucoup cette anecdote que raconte Maxime Leforestier. Brassens déjeune avec Joe Dassin et il lui dit qu'il a de la chance d'avoir une aussi belle Ferrari (ou Masseratti, je ne sais plus). Et l'autre lui dit :
"Mais Georges, vous pourriez sans doute vous en acheter une"
"Non, mon public ne le supporterait pas".
Fabri est génial dans ce film qui est un de mes préférés:
Prend Goldorak, parles-en, rassemble les gens qui partagent cette passion et rend la plus vivante.
Au final, il y aura encore plus de Goldorak pour toi-même et pour le monde.
Zuril a écrit : ↑dim. mai 17, 2020 10:11 am
Coluche n'était pas un imbécile, loin de là, il n'était pas sans talent... Pourtant, il avait signé un contrat avec une agent, Paul Lederman qui répartissait les gains 15%, 85%. 85% pour Paul Lederman!!!!!
Bowie était l'une des superstars des années 70 et pourtant, il n'avait pas un rond. Son producteur lui piquait tout à cause de contrats merdeux et jusqu'en 1982! C'est pour ça qu'il a fait ces chansons dégueulasses en 83, les Let's Dance, Blue Jean etc. En entrant dans le studio, il avait clairement dit à Nile Rodgers: "Je veux des hits!" Il voulait enfin avoir du blé en poche, quitte à chanter de la merde. Ça a marché, ce fut des hits, les tournées ont cartonné, il est enfin devenu millionnaire mais ça l'a presque tué artistiquement parlant.
Zuril a écrit : ↑dim. mai 17, 2020 10:11 am
Coluche n'était pas un imbécile, loin de là, il n'était pas sans talent... Pourtant, il avait signé un contrat avec une agent, Paul Lederman qui répartissait les gains 15%, 85%. 85% pour Paul Lederman!!!!!
Bowie était l'une des superstars des années 70 et pourtant, il n'avait pas un rond. Son producteur lui piquait tout à cause de contrats merdeux et jusqu'en 1982! C'est pour ça qu'il a fait ces chansons dégueulasses en 83, les Let's Dance, Blue Jean etc. En entrant dans le studio, il avait clairement dit à Nile Rodgers: "Je veux des hits!" Il voulait enfin avoir du blé en poche, quitte à chanter de la merde. Ça a marché, ce fut des hits, les tournées ont cartonné, il est enfin devenu millionnaire mais ça l'a presque tué artistiquement parlant.
C’est beau ce que dit Bowie, on dirait du Sheila sauf que ça finit bien
Je trouve toujours que c’est de l’auto indulgence, et de la part du chanteur et de là par des fans qui se mettent à part du Grand Public... mais j’en fais autant avec les chanteurs que j’aime
Goût de Luxe. Les vieux se souviendront sans doute de ce duo de 1986 qui traversa le Top 50 avec son single "Les Yeux de Laura". Ils en firent d'autres mais qui ne marchèrent pas et le groupe splitta assez vite.
Goût de Luxe, c'était Marianna Kliska et Jacques le Honsec. La première ne servait pas à grand-chose, c'était juste une rouquine glaçon, ce qui fera toujours de l'effet. Le second était la vraie tête pensante du groupe, écrivant et composant. J'aimais bien "Les Yeux de Laura" à l'époque. C'était pas honteux, assez bien produit et il y avait une très bonne ligne de basse. Même le 2e single, Omaha Beach, bien que pas simple d'accès, sonnait bien dans les oreilles. C'était de la bonne petite new wave française, même si le mouvement était déjà mort. Goût de Luxe était issu de cette scène bretonne, qui nous amena Daho, Niagara ou Marquis de Sade. Là aussi, les vieux s'en souviendront.
Pourquoi je vous parle de ça? Tout simplement pour vous amener sur le site officiel du groupe, plutôt laissé à l'abandon. Dans la section "bio", vous y trouverez toute l'histoire du groupe entièrement écrite par Jacquot. Attention, c'est TRES mal écrit, c'est bourré de fautes, d'erreurs de syntaxe et la présentation est souvent rebutante car pas mise en forme. C'est du brutal! Mais il y un côté "vécu", le mec raconte tout, même le pire, surtout le pire! On y trouve, entre autre, les débuts du groupe, l'arrivée à Paris, un guitariste qui ne sait pas jouer de la guitare, le squat dans un appart de drogués, le pillage du magasin Champs Disques, les fantasmes sexuels de Marianna et le boulot de DJ de l'ami Jacquot dans une boîte de pédés avec des backrooms... Je répète, c'est du brutal mais qu'est-ce qu'on se marre! Un instantané de ces années là.
Je me souviens que "les yeux" est passé en radio bien un an avant de le voir rentrer au top 50.
Prend Goldorak, parles-en, rassemble les gens qui partagent cette passion et rend la plus vivante.
Au final, il y aura encore plus de Goldorak pour toi-même et pour le monde.
Super Shogun a écrit : ↑dim. mai 17, 2020 11:05 am
Je l'ai toujours plus ou moins confondu (Jacques Fabbri) avec Marco Perrin, je ne sais pas pourquoi.
Moi c Renucci et Cluzet don't j'inverse tout le temps le nom.
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Ryoma a écrit : ↑mer. juin 24, 2020 12:35 pm
Moi c'est Schwartzenegger et de Vitto...
Couillon!!!!!!!!!
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