C'est une critique bien sèche pour un très bel épisode, dont je ne dirais pas qu'il est un Bis du 37, mais sa suite indispensable.Goldorak Nostalgie : épisode 38, Les faiseurs de ténèbres
Les faiseurs de ténèbres n’est qu’un bis repetita de l’épisode précédent (Une étoile est morte, ép. 37) : la trame en est pratiquement identique.
Diffusé le 20 juin 1976, avec un taux d'audience (estimé) à 18.5%
Il est réalisé par Miyazaki Kazuya, sur un scénario de Tamura Tatsuo et comme souvent avec cette équipe, le directeur artistique est Kikuchi Jouji.
Il est très bien réalisé et à priori, il n'y a pas de reprises de scènes venues d'autres épisodes. C'est du tout neuf !!!!
On y apprend des choses qui en font un épisode essentiel
- Pour Véga, c'est le début de la fin L'empire qu'on croyait invincible, n'est qu'un géant sur un pied d'argile. Véga le dit, Horos et Minos le savent aussi.
- Actarus devient presque sur un pied d'égalité avec Alcor (on peut ne pas être d'accord avec ce point, puisque Alcor est toujours là depuis le début)
- Une piqure de rappel pour distinguer Horos de Minos - je ne sais pas pourquoi mais la VF, masque beaucoup le coté scientifique de Horos.
- Montée en puissance de Vénusia
- Un super combat , très inédit, avec un Golgoth plein de ressources. J'aime énormément l'Hélicopunch qui vient se carrer au coeur du Golgoth.
- Mizar, toujours aussi mignon
- Riguel au meilleur de sa forme, père psychorigide qui s'inquiète pour sa fille, petit passage interessant sur l'héritage, et enfin la révélation de l'identité de Actarus et la tentative (pour rire) de Hara-Kiri
Admettons, peut être, que malgré tous les éléments positifs et neufs, il manque un souffle épique et de l'intensité (du suspens). C'est souvent le cas avec Kazuya et jamais avec Komatsubara Kazuo.